Avis : Omar la fraise - Page 6

Je recommande 1000 fois j’y retourne demain pour ma part.
Je ne suis pas d’origine algérienne et je ne connaissais pas l’Algérie. Cependant ce film éloigne les clichés tout en se rapprochant, tel est le talent d’une réalisateur comme Elias.
Les plans et l’ambiance sont très soigner, le fait que le film sois filmer avec Bande sur le côté change tout.
L’intrigue et l’histoire est un peu ce qu’on aime lorsque on a l’habitude de voir des Tarantino.

Bref jai aimer et j’aimerais.

Très bon film ! Je recommande fortement ! Le film présentent des paysages incroyables et met très bien en valeur les acteurs !

Une vraie comédie romantique originale !!!!
On oscille entre moments de comédie et de l'action bien menée.
Des grands moments de cinéma d'une vraie intensité.
La caméra du réalisateur Elias Belkkedar est une véritable caresse venant apaiser un environnement parfois hostile.

PS : N'hésitez pas à reserver vos billets a l'avance, la salle était complete pour moi la premiere fois.

On ne comprend pas le scénario de ce film : deux ex-truands issus de l'Hexagone, se retrouvent "exilés" en Algérie..et essayent de se refaire. Où le réalisateur veut en venir ? On sait pas ! Le film est TRES LONG...Il n'y a que les prises de vues d'Alger-la-blanche qui sont sympas. Les deux acteurs passent leur temps à snifer, boire comme des trous et divaguer...si c'est ça un film d'aventure ? Bref à éviter à tout prix : aucun intérêt. Y a que la bande annonce qui est intéressante

Omar est un braqueur au grand cœur contraint de refaire sa vie dans son Algérie natale puisque persona non grata en France suite à une opération qui a mal tourné. Film hybride empruntant autant à la comédie qu'à l'ultra violence tarentinesque nous montrant un pays hors des clichés habituels. Tout n'est pas parfait mais le tandem Kateb-Magimel lui l'est, et même si les potards sont poussés parfois dans le rouge ça fait plaisir de voir un tel film produit de l'autre côté de la Méditerranée.

Ce film parviens à faire ressentir à travers une émulsion d'idée et d'image foisonnante une forme de dépaysement rafraîchissant assez rare au cinéma

Un film hilarant et emouvant, des acteurs cultes !! a voir d’urgence, aussi divertissant que profond

Premier long-métrage du scénariste de "Athena", "Omar la fraise" est un film qui mélange les genres et permet aux émotions de Reda Kateb et Benoît Magimel d'exploser dans l'Algérie ensoleillée, solidaire, mais également violente et anxiogène. Une histoire d'amitié forte et passionnément improbable portée à bras-le-corps par ses comédiens talentueux et ce, même si le scénario est quelquefois décousu.

Photographie très belle, acteurs au top, très belle ambiance portée par une belle BO. Seule ombre au tableau, un scénario bcp trop conventionnel qui empêche le film d'atteindre d'autre genre de sommet.

A Magnifique ! Un air de vacances une bande sonore qui fait danser et un jeu d'acteurs au top. Reda et benoit un duo qui marche super bien !

Mi figue, mi raisin, mi fraise. Les paysages et les plans sont profonds et incandescents. Vous auriez pu me raconter n'importe quelle histoire, je scrutais l'Algerie.Les enfants portent encore le malheur de l'Algerie. Magimel transperce l'écran. Reda est authentique.

Omar la fraise. Comédie dramatique tournée cette fois ci vraiment en Algérie et non au Maroc, même si l'histoire doit se dérouler chez son voisin . Rien que pour ça, Big up. Film entrainant, je conseille. Trois étoiles et demie.

Ça paye pas de mine, ça ne mange pas de pain, mais franchement, Omar la Fraise dans son registre régal !

C'est toujours un peu particulier de découvrir un film en salle, je corrige, en étant seul dans la salle. Au moins la question de rire trop fort ne se pose pas. Loin d'être au final le cas, ce Scarface comique du bled est une pitrerie qui prête surtout à sourire plus qu'à l'éclat de rire. Reda Kateb et Benoit Magimel forment ce binôme plein d'entrain et d'exubérance, il pousse le délire et la farce vers une dynamique qui prend de suite et s'intensifie. Car franchement oui,, le film devient nettement plus délicat passé les beuveries et les jeux de billes ou le rail fait office de parcours ...

La romance, cousu de fil blanc est aussi assez délectable à suivre, tant celle-ci est drôle, et venant éclaté une convenance plus subtil qu'il n'y parait. La bande de mioche, le gang de renégat à l'état brut qui braque et envoie des coups de machettes qui s'éclatent dans la rue devant le spectacle qui s'y passe sous leurs yeux est aussi un pied de nez avec lequel tout le film miroite et livre une once de cet entre-deux bienvenue.

Il y'a des envolées à droite et à gauche dans l'interstice de ce film à franche rigolade interne. Le combat de bouc, la course dans le désert, les fights agrémentent le point de vue de la violence normalisé mais servent aussi de défouloirs comiques, une ritournelle qui a du coffre. Je lui préfère toutefois ses rèf de pâtisseries ! Mélange des genres oblige.

La plongé de Français dans le milieu Algérien, de ses reflets à ses déconvenues critique le sort de ses passerelles, en s'en moquant, le jeu en vaut de surcroit la chandelle, vaille que vaille !

Superbe fin. Bien ouej Elias Belkeddar ! Envie d'en voir d'autres.

La Bambe annonce et l'affiche sont trompeuse , film noir et social , je ne vois pas où est l'humour, qui ne ma pas atteinte.
Deux gangster en perdition, qui Trene leur vie entre drogue et violence .
Vue par erreur.
Malgré tous c'est un film de qualité , pour ceux qui aime ce genre, et les acteurs sont bon.

Porté par un duo Reda Kateb/Benoît Magimel absolument magistral, Omar la Fraise raconte l’histoire de deux truands français bloqués à Alger, car condamnés à de lourdes peines en France pour des faits de banditisme. Ballottés entre la tentation du business illégal et le ronron des journées d’ennui, les deux compères vont se confronter aux mœurs algériennes, tantôt pour leur plus grand bonheur, tantôt à leurs dépends. Parfois maladroit, souvent étonnant, cette comédie de gangster sous le soleil d’Alger nous offre aussi une plongée brutale dans les quartiers pauvres de la ville, dressant le portrait sans concession d’une jeunesse livrée à elle-même, devant sa survie à l’organisation de trafics en tous genres. Énergique, un brin foutraque mais très enthousiasmant.