Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un duo hors pair qui rappelle les grandes heures du cinéma français de malfrats.
20 Minutes
par Caroline Vié
Violent et hilarant.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Absolument épatant, d'autant plus pour un premier long métrage.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Ce duo impayable et attachant est servi par un scénario impeccable, dans le ton de la grande comédie italienne grinçante, grotesque et farcesque.
Elle
par Françoise Delbecq
Une comédie enlevée et rayonnante.
Franceinfo Culture
par Mohamed Berkani
Le réalisateur Elias Belkeddar signe un premier film attachant sur une histoire d'amitié et de déracinement. Le duo Réda Kateb-Benoît Magimel fonctionne à merveille. Efficace.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Omar la fraise, un film hybride drôle, imparfait et attachant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Qui aurait imaginé Benoît Magimel en train de rapper ? On a beau savoir que c’est un grand acteur et qu’il peut tout jouer, il explore un registre étonnant. Et Reda Kateb, allure de margoulin dégingandé, tchatche de frimeur, se lâche comme jamais.
Le Figaro
par Bertrand de Saint Vincent
Dans une comédie noire, hilarante et speedée, Elias Belkeddar suit la cavale de deux malfrats en perdition. Reda Kateb et Benoît Magimel sont jubilatoires.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Drôle et tendu, flirtant parfois avec l’humour sanglant d’un Tarantino, le film a d’autres mérites, dont le principal est de nous faire découvrir une Alger méconnue, celle des cités, certes rongée par la pauvreté et le banditisme, mais pleine d’une énergie propre à la jeunesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
À mi-chemin entre le film de gangsters et la comédie noire, Omar la fraise flotte un peu pour passer d'un registre à l'autre, mais il est porté d'un bout à l'autre par un duo d'acteurs complices qui jouent la carte du rire et de l'émotion. Et ça marche !
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Paris Match
par Christophe Carrière
Le tandem Kateb-Magimel est d’une réjouissante complémentarité, évoluant dans une Algérie aux antipodes des clichés.
Télé Loisirs
par M.L.
Cette comédie au cœur tendre brosse un portrait d'Alger cruel mais poétique, marqué par deux acteurs au sommet de leur art et dont les tribulations sont très amusantes.
L'Obs
par Jérôme Garcin
Portrait d’une amitié virile à la vie à la mort, « Omar la fraise », présenté en Séance de Minuit au Festival de Cannes, est aussi celui, inédit, surprenant, d’une certaine Algérie moderne, où tout est permis. Même le pire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Tout en confrontant la pègre d’hier à une nouvelle délinquance qui a choisi d’autres armes, ce film malicieusement hybride (un peu polar, un peu comédie) repose sur son duo de héros « bras cassés », façon Pulp Fiction : Reda Kateb est hilarant en Scarface dépassé par les événements et Benoît Magimel prend un plaisir évident à jouer avec les clichés.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Cl. F.
Ce film est une friandise, mais sous la couche sucrée affleure quelque chose de plus profondément documentaire. Comme un morceau d’Algérie, avec sa chaleur et son énergie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Un étrange patchwork d’idées et d’influences, tantôt séduisant, tantôt trop en décalage, qui se cherche encore.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Damien Leblanc
Mais à force de propositions visuelles surprenantes, cette déclaration d’amour aux paysages algériens et à l’oralité méditerranéenne finit par faire mouche.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
L'histoire assez amusante de deux tocards magnifiques.
Télérama
par Cécile Mury
L’évidente complicité entre un Benoît Magimel impérial et dense, présence à la fois menaçante et désinvolte, et un Reda Kateb aussi instable et explosif que drôle et poignant, est de celles qui marquent l’histoire du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Thomas Grignon
Le film finit par révéler son profond conformisme, typique de l'œuvre faussement subversive des Gavras, Chapiron et consorts.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Au-delà du show Magimel, qui rend cette déroute moins soporifique, il faut toutefois reconnaître à la caméra d’Elias Belkeddar de saisir par instants et avec une certaine vitalité le portrait d’un territoire.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Malgré un Benoît Magimel parfait, comme toujours, et un Reda Kateb qui amène de l’épaisseur à ce gangster en quête de rédemption, les personnages inspirent peu la sympathie et la compassion.
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Dans cet univers viriliste, une femme sert de caution pour noyer un gros poisson avarié.
Ouest France
Un duo hors pair qui rappelle les grandes heures du cinéma français de malfrats.
20 Minutes
Violent et hilarant.
CinemaTeaser
Absolument épatant, d'autant plus pour un premier long métrage.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Ce duo impayable et attachant est servi par un scénario impeccable, dans le ton de la grande comédie italienne grinçante, grotesque et farcesque.
Elle
Une comédie enlevée et rayonnante.
Franceinfo Culture
Le réalisateur Elias Belkeddar signe un premier film attachant sur une histoire d'amitié et de déracinement. Le duo Réda Kateb-Benoît Magimel fonctionne à merveille. Efficace.
L'Humanité
Omar la fraise, un film hybride drôle, imparfait et attachant.
Le Dauphiné Libéré
Qui aurait imaginé Benoît Magimel en train de rapper ? On a beau savoir que c’est un grand acteur et qu’il peut tout jouer, il explore un registre étonnant. Et Reda Kateb, allure de margoulin dégingandé, tchatche de frimeur, se lâche comme jamais.
Le Figaro
Dans une comédie noire, hilarante et speedée, Elias Belkeddar suit la cavale de deux malfrats en perdition. Reda Kateb et Benoît Magimel sont jubilatoires.
Le Parisien
Drôle et tendu, flirtant parfois avec l’humour sanglant d’un Tarantino, le film a d’autres mérites, dont le principal est de nous faire découvrir une Alger méconnue, celle des cités, certes rongée par la pauvreté et le banditisme, mais pleine d’une énergie propre à la jeunesse.
Le Point
À mi-chemin entre le film de gangsters et la comédie noire, Omar la fraise flotte un peu pour passer d'un registre à l'autre, mais il est porté d'un bout à l'autre par un duo d'acteurs complices qui jouent la carte du rire et de l'émotion. Et ça marche !
Paris Match
Le tandem Kateb-Magimel est d’une réjouissante complémentarité, évoluant dans une Algérie aux antipodes des clichés.
Télé Loisirs
Cette comédie au cœur tendre brosse un portrait d'Alger cruel mais poétique, marqué par deux acteurs au sommet de leur art et dont les tribulations sont très amusantes.
L'Obs
Portrait d’une amitié virile à la vie à la mort, « Omar la fraise », présenté en Séance de Minuit au Festival de Cannes, est aussi celui, inédit, surprenant, d’une certaine Algérie moderne, où tout est permis. Même le pire.
Le Journal du Dimanche
Tout en confrontant la pègre d’hier à une nouvelle délinquance qui a choisi d’autres armes, ce film malicieusement hybride (un peu polar, un peu comédie) repose sur son duo de héros « bras cassés », façon Pulp Fiction : Reda Kateb est hilarant en Scarface dépassé par les événements et Benoît Magimel prend un plaisir évident à jouer avec les clichés.
Le Monde
Ce film est une friandise, mais sous la couche sucrée affleure quelque chose de plus profondément documentaire. Comme un morceau d’Algérie, avec sa chaleur et son énergie.
Les Fiches du Cinéma
Un étrange patchwork d’idées et d’influences, tantôt séduisant, tantôt trop en décalage, qui se cherche encore.
Première
Mais à force de propositions visuelles surprenantes, cette déclaration d’amour aux paysages algériens et à l’oralité méditerranéenne finit par faire mouche.
Sud Ouest
L'histoire assez amusante de deux tocards magnifiques.
Télérama
L’évidente complicité entre un Benoît Magimel impérial et dense, présence à la fois menaçante et désinvolte, et un Reda Kateb aussi instable et explosif que drôle et poignant, est de celles qui marquent l’histoire du cinéma.
Critikat.com
Le film finit par révéler son profond conformisme, typique de l'œuvre faussement subversive des Gavras, Chapiron et consorts.
Les Inrockuptibles
Au-delà du show Magimel, qui rend cette déroute moins soporifique, il faut toutefois reconnaître à la caméra d’Elias Belkeddar de saisir par instants et avec une certaine vitalité le portrait d’un territoire.
Télé 7 Jours
Malgré un Benoît Magimel parfait, comme toujours, et un Reda Kateb qui amène de l’épaisseur à ce gangster en quête de rédemption, les personnages inspirent peu la sympathie et la compassion.
Cahiers du Cinéma
Dans cet univers viriliste, une femme sert de caution pour noyer un gros poisson avarié.