Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Bande à part
par Nadia Meflah
Ravir les cœurs de tout un chacun et l’emporter dans une rieuse insurrection, telle est la savoureuse invitation à danser et aimer que nous propose Paul Vecchiali avec son dernier opus.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Vincent Roussel
Cette valse des sentiments [...] touche et émeut comme un dernier tour de piste. Ce petit cabaret joyeux filmé par Vecchiali apparaît comme un dernier îlot de résistance face à la violence et la bêtise [...] Un art qui peut transfigurer et nous permettre de résister face à un monde qui, pourtant, ne nous fait pas de quartier…
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Mille et unième film de Paul Vecchiali (parce qu’on en a perdu le compte), ce “musicodrame”, comme il l’appelle, est l’œuvre tendre et décalée d’un franc-tireur.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Gérard Lefort
Que nous fredonne Pas… de quartier ? Mélancolique, que toute jeunesse est de passage. Lyrique, qu’il faut chanter sa vie en adagio. Alors d’accord : vive la vie, vite l’amour et chantons Vecchiali.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
Dans «Pas… de quartier», drame antifasciste rétro et contemporain, Paul Vecchiali accentue encore son goût des paradoxes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Pierre Eugène
La lourdeur du propos politique et désirant pesant sur une bonne partie du film, la lumière étale et parfois cruelle, le découpage minimaliste, la densité quelque peu étouffante (mais amusante, aussi) de dialogues-chansons surécrits, versifiés et bourrés de jeux de mots, n’estompe pas le jeu franc et incarné des interprètes principaux, sans filet.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Si le scénario peine à dessiner une fin pleinement convaincante, cette miniature désenchantée possède un irrésistible charme.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Positif
par Alain Masson
Ce musico-drame, comme ses auteurs l’appellent, ne manque donc pas d’un certain charme : toutes sortes d’amours y sont attendrissants et personne n’y adhère vraiment à la méchanceté, car la dissimulation et la haine ne sont rien d’autre que les fruits d’une inquiétude affective.
Télérama
par Louis Guichard
Le film, à l’économie drastique, passe du parlé au chanté (a capella) et aux numéros musicaux, sans aucune concession à la vraisemblance. Si l’on accepte ce pacte, le résultat réserve des considérations d’une profondeur rare, l’émotion qui va avec, et la crudité malicieuse d’un éternel franc-tireur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Murielle Joudet
En s’inspirant d’un fait divers datant de 1997, le film avoue son anachronisme de principe et consolide son récit autour d’enjeux qu’il ne parvient pas à réactualiser.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Bande à part
Ravir les cœurs de tout un chacun et l’emporter dans une rieuse insurrection, telle est la savoureuse invitation à danser et aimer que nous propose Paul Vecchiali avec son dernier opus.
Culturopoing.com
Cette valse des sentiments [...] touche et émeut comme un dernier tour de piste. Ce petit cabaret joyeux filmé par Vecchiali apparaît comme un dernier îlot de résistance face à la violence et la bêtise [...] Un art qui peut transfigurer et nous permettre de résister face à un monde qui, pourtant, ne nous fait pas de quartier…
Les Fiches du Cinéma
Mille et unième film de Paul Vecchiali (parce qu’on en a perdu le compte), ce “musicodrame”, comme il l’appelle, est l’œuvre tendre et décalée d’un franc-tireur.
Les Inrockuptibles
Que nous fredonne Pas… de quartier ? Mélancolique, que toute jeunesse est de passage. Lyrique, qu’il faut chanter sa vie en adagio. Alors d’accord : vive la vie, vite l’amour et chantons Vecchiali.
Libération
Dans «Pas… de quartier», drame antifasciste rétro et contemporain, Paul Vecchiali accentue encore son goût des paradoxes.
Cahiers du Cinéma
La lourdeur du propos politique et désirant pesant sur une bonne partie du film, la lumière étale et parfois cruelle, le découpage minimaliste, la densité quelque peu étouffante (mais amusante, aussi) de dialogues-chansons surécrits, versifiés et bourrés de jeux de mots, n’estompe pas le jeu franc et incarné des interprètes principaux, sans filet.
L'Obs
Si le scénario peine à dessiner une fin pleinement convaincante, cette miniature désenchantée possède un irrésistible charme.
Positif
Ce musico-drame, comme ses auteurs l’appellent, ne manque donc pas d’un certain charme : toutes sortes d’amours y sont attendrissants et personne n’y adhère vraiment à la méchanceté, car la dissimulation et la haine ne sont rien d’autre que les fruits d’une inquiétude affective.
Télérama
Le film, à l’économie drastique, passe du parlé au chanté (a capella) et aux numéros musicaux, sans aucune concession à la vraisemblance. Si l’on accepte ce pacte, le résultat réserve des considérations d’une profondeur rare, l’émotion qui va avec, et la crudité malicieuse d’un éternel franc-tireur.
Le Monde
En s’inspirant d’un fait divers datant de 1997, le film avoue son anachronisme de principe et consolide son récit autour d’enjeux qu’il ne parvient pas à réactualiser.