Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Bande à part
par François-Xavier Taboni
Ce film portrait lumineux et généreux permet au réalisateur de "More" et "Barfly" de tracer le portrait d’un artiste, mais aussi d’un passeur, aussi à l’aise pour évoquer l’histoire de l’art que pour initier des enfants à la peinture dans son atelier en Bretagne.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
L’amitié entre les deux hommes autorise le cinéaste à entrer dans le cadre, et on sent le bonheur qu’il a, lui qui a connu tous les modes de production, y compris ceux du blockbuster hollywoodien, à s’accorder à cet artisanat, mais aussi sa crainte de trop déranger les choses.
Le Figaro
par V.D.
Dans Ricardo et la peinture, Barbet Schroeder, 82 ans, apporte le même regard à la fois large et minutieux à son ami peintre, l'Argentin de Bretagne, Ricardo Cavallo, qu'il marche avec son matériel vers le motif et sa grotte marine ou qu'il fasse cuire son riz quotidien, comme un moine.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Barbet Schroeder consacre un précieux documentaire à son ami Ricardo Cavallo, un peintre qui ne vit que pour son art et pour l'amour de la transmission. Une pépite.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Quoi de plus beau, émouvant de simplicité que deux vieux amis qui escaladent des rochers, au risque de s’y blesser parce qu’ils ne sont plus tout jeunes, pour aller créer, l’un avec ses pinceaux et ses couleurs, l’autre avec sa caméra et un micro ?
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Anne Diatkine
Le cinéaste filme son ami peintre Ricardo Cavallo dans un beau documentaire sur l’art qui révèle en creux un autoportrait.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Une leçon de peinture et de bonheur.
Sud Ouest
par Julien Rousset
Une vivifiante leçon d’intelligence et d’amitié.
Télérama
par Samuel Douhaire
Le processus créatif et ses mystères dévoilés par un Barbet Schroeder humble et admiratif qui dresse le portrait de son ami le peintre Ricardo Cavallo.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Avec le retour inespéré de Barbet Schroeder sur les écrans depuis 2016, on a le droit à une Odyssée intime et sensitive dans l’œuvre d’un grand peintre, Ricardo Cavallo, ami de longue date du réalisateur, et plus largement dans l’histoire de l’art depuis l’Antiquité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par F. F.
La lumière et la couleur les conduisent à plonger avec passion dans l’histoire de l’art (le Fayoum, Delacroix, Caravage, Vélasquez, les sculptures aztèques), à regarder avec affection des enfants apprendre le dessin, et à chercher un certain idéal de pureté dans la contemplation des œuvres. Le film est à la fois une prière, une méditation, un essai, ce qui n’exclut pas une forme d’humour.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Barbet Schroeder a repris sa caméra pour filmer le peintre Ricardo Cavallo, un artiste littéralement habité par son travail, et nous fait cheminer avec lui à travers l’histoire de l’art. Un éloge de la création.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Barbet Schroeder et Ricardo Cavallo sont amis depuis de nombreuses années. Le premier dresse ici le portrait du second, entre évocation de sa création et renvois à l’Histoire de l’art. Tout n’est pas réussi, mais le film parvient à communiquer la passion du peintre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Nicolas Moren
De la Bretagne au Pérou, il se dégage quelque chose d’immédiatement touchant et intime dans la démarche du film, qui semble d’abord guidée par le désir du cinéaste de passer du temps avec son ami.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Cl. F.
Reste que ce film, trop linéaire, peine à trouver sa forme et tient essentiellement de la chronique bienveillante d’une amitié entre deux passionnés de l’histoire de l’art.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Bande à part
Ce film portrait lumineux et généreux permet au réalisateur de "More" et "Barfly" de tracer le portrait d’un artiste, mais aussi d’un passeur, aussi à l’aise pour évoquer l’histoire de l’art que pour initier des enfants à la peinture dans son atelier en Bretagne.
Cahiers du Cinéma
L’amitié entre les deux hommes autorise le cinéaste à entrer dans le cadre, et on sent le bonheur qu’il a, lui qui a connu tous les modes de production, y compris ceux du blockbuster hollywoodien, à s’accorder à cet artisanat, mais aussi sa crainte de trop déranger les choses.
Le Figaro
Dans Ricardo et la peinture, Barbet Schroeder, 82 ans, apporte le même regard à la fois large et minutieux à son ami peintre, l'Argentin de Bretagne, Ricardo Cavallo, qu'il marche avec son matériel vers le motif et sa grotte marine ou qu'il fasse cuire son riz quotidien, comme un moine.
Les Echos
Barbet Schroeder consacre un précieux documentaire à son ami Ricardo Cavallo, un peintre qui ne vit que pour son art et pour l'amour de la transmission. Une pépite.
Les Inrockuptibles
Quoi de plus beau, émouvant de simplicité que deux vieux amis qui escaladent des rochers, au risque de s’y blesser parce qu’ils ne sont plus tout jeunes, pour aller créer, l’un avec ses pinceaux et ses couleurs, l’autre avec sa caméra et un micro ?
Libération
Le cinéaste filme son ami peintre Ricardo Cavallo dans un beau documentaire sur l’art qui révèle en creux un autoportrait.
Ouest France
Une leçon de peinture et de bonheur.
Sud Ouest
Une vivifiante leçon d’intelligence et d’amitié.
Télérama
Le processus créatif et ses mystères dévoilés par un Barbet Schroeder humble et admiratif qui dresse le portrait de son ami le peintre Ricardo Cavallo.
aVoir-aLire.com
Avec le retour inespéré de Barbet Schroeder sur les écrans depuis 2016, on a le droit à une Odyssée intime et sensitive dans l’œuvre d’un grand peintre, Ricardo Cavallo, ami de longue date du réalisateur, et plus largement dans l’histoire de l’art depuis l’Antiquité.
L'Obs
La lumière et la couleur les conduisent à plonger avec passion dans l’histoire de l’art (le Fayoum, Delacroix, Caravage, Vélasquez, les sculptures aztèques), à regarder avec affection des enfants apprendre le dessin, et à chercher un certain idéal de pureté dans la contemplation des œuvres. Le film est à la fois une prière, une méditation, un essai, ce qui n’exclut pas une forme d’humour.
La Croix
Barbet Schroeder a repris sa caméra pour filmer le peintre Ricardo Cavallo, un artiste littéralement habité par son travail, et nous fait cheminer avec lui à travers l’histoire de l’art. Un éloge de la création.
Les Fiches du Cinéma
Barbet Schroeder et Ricardo Cavallo sont amis depuis de nombreuses années. Le premier dresse ici le portrait du second, entre évocation de sa création et renvois à l’Histoire de l’art. Tout n’est pas réussi, mais le film parvient à communiquer la passion du peintre.
Première
De la Bretagne au Pérou, il se dégage quelque chose d’immédiatement touchant et intime dans la démarche du film, qui semble d’abord guidée par le désir du cinéaste de passer du temps avec son ami.
Le Monde
Reste que ce film, trop linéaire, peine à trouver sa forme et tient essentiellement de la chronique bienveillante d’une amitié entre deux passionnés de l’histoire de l’art.