Note moyenne
3,1
15 titres de presse
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Dernières Nouvelles d'Alsace
D’une cruauté douce et jubilatoire.
Le Dauphiné Libéré
Le polyamour déboussole avant le happy end aimable que choisit la réalisatrice, digne du Woody Allen de la grande époque avec sa comédie désopilante au romantisme acide, à l’humour piquant.
Le Parisien
C’est un film qui bouscule, dérange, mais qui touche profondément parce que ses situations se révèlent d’une grande justesse et que ses personnages font toujours preuve de respect et d’une immense sincérité les uns vis-à-vis des autres.
Les Echos
Sans jamais s'abîmer dans le didactisme, Selma Vilhunen, avec ses personnages agités par leurs contradictions, entraîne le spectateur dans un récit aussi surprenant que profond. Une tragicomédie subtile sur les intermittences du cœur.
Marianne
Film spirituel et charnel, Amours à la finlandaise fait preuve d’une inventivité et d’une malice qui, croisons les doigts, seront à l’honneur dans de nombreuses fictions tout au long de l’année 2024.
Voici
Touchant.
L'Obs
(...) Selma Vilhunen braconne avec sensibilité dans l’air du temps et sur les terres de Bergman (les dîners compassés chez les parents du couple initial). Dommage qu’elle ne creuse pas davantage l’impact des amours plurielles de ses personnages sur leur entourage social.
Le Figaro
Sur un sujet qui pourrait s'avérer scabreux, la réalisatrice Selma Vilhunen préfère la tendresse et l'introspection. Elle n'est pas là pour se moquer du polyamour mais examine ses personnages comme un sociologue. Douleur et rires sont omniprésents. Pas forcément dans les situations ou quiproquos où on les attend.
Ouest France
Dépaysant à défaut d'être entièrement convainquant.
Première
La protagoniste travaillant dans le milieu politique, ce projet polyamoureux, en rien semblable à un long fleuve tranquille, revendique aussi une portée collective et sociétale, à l’image de ce mélodrame étonnamment calme et apaisant. Une curiosité.
Télérama
Un charme inédit parcourt ce drôle de film déterminé à mêler réflexion personnelle sur le couple, thérapie de groupe et projet de société.
Le Monde
Hélas, le choix d’un naturalisme sociétal appliqué, de la quête d’une vérité sociologique introuvable, ne débouche que sur une suite de clichés, de situations attendues et de contradictions très vite désamorcées.
Télé 2 semaines
Ce drame saupoudré d'humour manque un peu de relief pour marquer vraiment. Heureusement, les acteurs sont excellents, Alma Pöysti en tête.
Télé Loisirs
Ce drame saupoudré d'humour manque un peu de relief pour marquer vraiment.
Libération
Mais le film glisse sur tout ça sans s’y attarder, préférant s’accrocher à la sentimentalité un peu mièvre de ses personnages et à l’horizon d’ouverture et de tolérance convenu qu’ils rejoignent finalement le jour de Noël : polyamour pour chacun, et Dieu pour tous.