Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
L’acteur belge offre une prestation sensible dans cette fantaisie douce signée Marie Garel-Weiss, la réalisatrice de « La Fête est finie ».
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Juliette Berliat
L’esthétique de Sur la branche est, d’une manière générale, très soignée, de même que la bande-son.
Le Dauphiné Libéré
par Juliette Berliat
Après son premier long-métrage La fête est finie, qui a été multi primé aux festivals de Saint-Jean-de-Luz et Sarlat, Marie Garel-Weiss revient avec un film onirique, et la fête semble loin d’être terminée pour cette talentueuse réalisatrice.
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Souvent très drôle, et par endroits émouvante, une comédie à l’amplitude modeste, mais réussie.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Ariane Allard
"Sur la branche" ravit de bout en bout. Sans doute parce qu’il magnifie les perdants et les inadaptés... Mais aussi parce qu’il a la bonne idée de réunir Daphné Patakia, Benoît Poelvoorde et Agnès Jaoui, trois interprètes atypiques eux aussi, et virtuoses.
Télé 2 semaines
par Cédric Choukroun
On suit avec jubilation les pérégrinations parfois absurdes de ce duo de cabossés drôle et touchant.
Télé Loisirs
par Cédric Choukroun
On suit avec jubilation les pérégrinations parfois absurdes de ce duo de cabossés drôle et touchant. D'autant que les acteurs sont tous formidables, Daphné Patakia en tête.
Télérama
par Guillemette Odicino
Un film sympathique et plein de fantaisie porté par son tandem comique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Céline Rouden
Une comédie charmante et décalée qui doit beaucoup à ses acteurs.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Voilà l’exemple même du film fragile, humble mais attachant, qui repose essentiellement sur l’alchimie d’un casting de premier plan.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
On pense au cinéma d’Albert Dupontel pris dans le rythme de figures burlesques et attachantes qui tirent leur crédibilité d’une foi à toute épreuve.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Pour son deuxième long, Marie Garel-Weiss fait preuve d’un talent d’écriture burlesque incontesté qui s’incarne avec justesse et drôlerie dans les mouvements (in)contrôlés de ses personnages border, quitte à délaisser un scénario qui se consume en se faisant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Eloïse Duval
Malgré l’énergie des acteurs – Benoît Poelvoorde, Daphne Patakia, Raphaël Quenard –, la comédie policée et son avocat quinqua dépressif restent trop prudents pour passer outre les clichés.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
Un drôle de tandem sur lequel la réalisatrice ne pose aucun regard moqueur mais brille à l’inverse à célébrer leur singularité, tant dans l’écriture des situations qu’ils rencontrent que dans le choix du Scope pour les filmer et raconter leur perception d’un monde dans lequel ils se sentent souvent tout petits.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Ce polar dépressif ne s’envole jamais vraiment. On se raccroche alors à ces doux dingues marginaux, filmés avec une infinie tendresse, qui finissent par emporter le morceau.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Le film souffre toutefois d’une série d’invraisemblances qui nuisent parfois au propos joyeux et léger du long-métrage. L’issue notamment laisse relativement perplexe. Pour autant, on sait qu’on aura eu un peu de plaisir à s’abandonner au destin fantasque de ces personnages hors du monde.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
C’est le troisième film d’une cinéaste repérée avec « La fête est finie », en 2018. Mais, ici, l’intrigue inutilement complexe finit par lasser.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par La Rédaction
L’intrigue, elle aussi, nous laisse une impression d’inachevé : le scénario nous emmène sur plusieurs pistes, sans aller au bout d’aucune : on attend la naissance d’une amitié, d’une relation amoureuse, une réconciliation… Et on reste sur sa faim. Même Benoît Poelvoorde semble en roue libre. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
20 Minutes
L’acteur belge offre une prestation sensible dans cette fantaisie douce signée Marie Garel-Weiss, la réalisatrice de « La Fête est finie ».
Dernières Nouvelles d'Alsace
L’esthétique de Sur la branche est, d’une manière générale, très soignée, de même que la bande-son.
Le Dauphiné Libéré
Après son premier long-métrage La fête est finie, qui a été multi primé aux festivals de Saint-Jean-de-Luz et Sarlat, Marie Garel-Weiss revient avec un film onirique, et la fête semble loin d’être terminée pour cette talentueuse réalisatrice.
Les Fiches du Cinéma
Souvent très drôle, et par endroits émouvante, une comédie à l’amplitude modeste, mais réussie.
Positif
"Sur la branche" ravit de bout en bout. Sans doute parce qu’il magnifie les perdants et les inadaptés... Mais aussi parce qu’il a la bonne idée de réunir Daphné Patakia, Benoît Poelvoorde et Agnès Jaoui, trois interprètes atypiques eux aussi, et virtuoses.
Télé 2 semaines
On suit avec jubilation les pérégrinations parfois absurdes de ce duo de cabossés drôle et touchant.
Télé Loisirs
On suit avec jubilation les pérégrinations parfois absurdes de ce duo de cabossés drôle et touchant. D'autant que les acteurs sont tous formidables, Daphné Patakia en tête.
Télérama
Un film sympathique et plein de fantaisie porté par son tandem comique.
La Croix
Une comédie charmante et décalée qui doit beaucoup à ses acteurs.
La Voix du Nord
Voilà l’exemple même du film fragile, humble mais attachant, qui repose essentiellement sur l’alchimie d’un casting de premier plan.
Le Monde
On pense au cinéma d’Albert Dupontel pris dans le rythme de figures burlesques et attachantes qui tirent leur crédibilité d’une foi à toute épreuve.
Les Inrockuptibles
Pour son deuxième long, Marie Garel-Weiss fait preuve d’un talent d’écriture burlesque incontesté qui s’incarne avec justesse et drôlerie dans les mouvements (in)contrôlés de ses personnages border, quitte à délaisser un scénario qui se consume en se faisant.
Libération
Malgré l’énergie des acteurs – Benoît Poelvoorde, Daphne Patakia, Raphaël Quenard –, la comédie policée et son avocat quinqua dépressif restent trop prudents pour passer outre les clichés.
Première
Un drôle de tandem sur lequel la réalisatrice ne pose aucun regard moqueur mais brille à l’inverse à célébrer leur singularité, tant dans l’écriture des situations qu’ils rencontrent que dans le choix du Scope pour les filmer et raconter leur perception d’un monde dans lequel ils se sentent souvent tout petits.
Télé 7 Jours
Ce polar dépressif ne s’envole jamais vraiment. On se raccroche alors à ces doux dingues marginaux, filmés avec une infinie tendresse, qui finissent par emporter le morceau.
aVoir-aLire.com
Le film souffre toutefois d’une série d’invraisemblances qui nuisent parfois au propos joyeux et léger du long-métrage. L’issue notamment laisse relativement perplexe. Pour autant, on sait qu’on aura eu un peu de plaisir à s’abandonner au destin fantasque de ces personnages hors du monde.
L'Obs
C’est le troisième film d’une cinéaste repérée avec « La fête est finie », en 2018. Mais, ici, l’intrigue inutilement complexe finit par lasser.
Le Parisien
L’intrigue, elle aussi, nous laisse une impression d’inachevé : le scénario nous emmène sur plusieurs pistes, sans aller au bout d’aucune : on attend la naissance d’une amitié, d’une relation amoureuse, une réconciliation… Et on reste sur sa faim. Même Benoît Poelvoorde semble en roue libre. Dommage.