Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
"Il pleut dans la maison" fait à la fois état d’une humeur joyeuse tout en distillant, avec un sens infini du détail et de la composition, une constellation de ruptures contrastées.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Transfuge
par Mathieu Guetta
"Il pleut dans la maison" est à la fois un grand film documentaire sur le plafond de verre de la jeunesse wallonne et une incroyable fiction, film d'ado, à la façon des eighties américaines, sur un frère et une sœur lors du dernier été de leur enfance.
Culturopoing.com
par Pierig Leray
Sermon-Daï réussit à s’immiscer dans cette étroite interstice entre le social, le réel, et l’ambition artistique d’une poésie de la douleur, un film sincère, tenu et retenu, où de la détresse jaillit l’espoir d’un avenir différent, certes pas révolutionnaire, mais peut-être un peu plus égalitaire.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Isabelle Danel
Le quotidien lourd (elle fait des ménages, il chaparde) s’allège au rythme des chamailleries des deux ados. Le lien réel à la ville des deux (non-)comédiens, viscéral, palpable, donne une texture unique à leurs échanges. Et chasse l’air de déjà-vu.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Sans pathos mais avec une justesse de cœur épatante, un premier long métrage rappelant la vitalité du cinéma d’outre-Quiévrain.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Vincent Thabourey
La cinéaste porte sur ce duo oublié de tous un regard d’une grande tendresse teintée d’une ironie discrète, s’attachant à rendre compte de leurs mots et de leurs gestes affectueux qui les raccordent au monde.
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
Brillant dans la peinture des affections familiales, l’œuvre naissante de Paloma Sermon-Daï semble également attachée à suggérer le trouble enfoui sous le calme apparent des images et des visages, comme lorsque Makenzy, allongé sur un canapé, fixe la pale d’un ventilateur de plafond.
Le Monde
par M. Dl
C’est le grand atout du film : faire le récit d’une jeunesse qui n’a ni les moyens ni les codes pour s’en sortir, quand bien même le lac est beau.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Laura Tuillier
L’on peut reprocher le balisage du filmage documentaire par une signalétique narrative qui, même minimale, se fait par trop voyante. [...] Ses plus beaux moments, à l’inverse, tiennent à une sorte de gratuité de la captation, pour le plaisir d’observer ces corps d’ados, et leur physicalité si peu en adéquation avec les sentiments enfantins qui les habitent encore.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Nicolas Moreno
C’est prometteur, passionnant parfois, mais les séquences manquent un peu de force parfois, au montage notamment, pour faire oublier les intentions derrière le film.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
Il pleut dans la maison est autant un titre poétique qu’un programme : il dit l’érosion d’un foyer, celui qui abrite Purdey et Makenzy, vraie fratrie d’acteurs, dans leur propre rôle ou presque. Tous deux sont filmés avec douceur par la jeune réalisatrice belge Paloma Sermon-Daï.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Robin Vaz
L'écriture du film est plus verrouillée qu’il n’y paraît, la faute à une succession de situations sursignifiantes qui ramènent schématiquement chaque séquence à la condition sociale de ses protagonistes.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Dotée de peu de moyens, cette chronique sociale explore une veine désespérée et solaire présente dans le cinéma indépendant américain, avec ses figures répétées de jeunes contraints de s’assumer dans la vacuité estivale. Mais si son authenticité séduit, Il pleut dans la maison ne parvient hélas pas à épargner aux spectateurs l’ennui qu’il décrit.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
"Il pleut dans la maison" fait à la fois état d’une humeur joyeuse tout en distillant, avec un sens infini du détail et de la composition, une constellation de ruptures contrastées.
Transfuge
"Il pleut dans la maison" est à la fois un grand film documentaire sur le plafond de verre de la jeunesse wallonne et une incroyable fiction, film d'ado, à la façon des eighties américaines, sur un frère et une sœur lors du dernier été de leur enfance.
Culturopoing.com
Sermon-Daï réussit à s’immiscer dans cette étroite interstice entre le social, le réel, et l’ambition artistique d’une poésie de la douleur, un film sincère, tenu et retenu, où de la détresse jaillit l’espoir d’un avenir différent, certes pas révolutionnaire, mais peut-être un peu plus égalitaire.
L'Obs
Le quotidien lourd (elle fait des ménages, il chaparde) s’allège au rythme des chamailleries des deux ados. Le lien réel à la ville des deux (non-)comédiens, viscéral, palpable, donne une texture unique à leurs échanges. Et chasse l’air de déjà-vu.
Les Fiches du Cinéma
Sans pathos mais avec une justesse de cœur épatante, un premier long métrage rappelant la vitalité du cinéma d’outre-Quiévrain.
Positif
La cinéaste porte sur ce duo oublié de tous un regard d’une grande tendresse teintée d’une ironie discrète, s’attachant à rendre compte de leurs mots et de leurs gestes affectueux qui les raccordent au monde.
Cahiers du Cinéma
Brillant dans la peinture des affections familiales, l’œuvre naissante de Paloma Sermon-Daï semble également attachée à suggérer le trouble enfoui sous le calme apparent des images et des visages, comme lorsque Makenzy, allongé sur un canapé, fixe la pale d’un ventilateur de plafond.
Le Monde
C’est le grand atout du film : faire le récit d’une jeunesse qui n’a ni les moyens ni les codes pour s’en sortir, quand bien même le lac est beau.
Libération
L’on peut reprocher le balisage du filmage documentaire par une signalétique narrative qui, même minimale, se fait par trop voyante. [...] Ses plus beaux moments, à l’inverse, tiennent à une sorte de gratuité de la captation, pour le plaisir d’observer ces corps d’ados, et leur physicalité si peu en adéquation avec les sentiments enfantins qui les habitent encore.
Première
C’est prometteur, passionnant parfois, mais les séquences manquent un peu de force parfois, au montage notamment, pour faire oublier les intentions derrière le film.
Télérama
Il pleut dans la maison est autant un titre poétique qu’un programme : il dit l’érosion d’un foyer, celui qui abrite Purdey et Makenzy, vraie fratrie d’acteurs, dans leur propre rôle ou presque. Tous deux sont filmés avec douceur par la jeune réalisatrice belge Paloma Sermon-Daï.
Critikat.com
L'écriture du film est plus verrouillée qu’il n’y paraît, la faute à une succession de situations sursignifiantes qui ramènent schématiquement chaque séquence à la condition sociale de ses protagonistes.
La Croix
Dotée de peu de moyens, cette chronique sociale explore une veine désespérée et solaire présente dans le cinéma indépendant américain, avec ses figures répétées de jeunes contraints de s’assumer dans la vacuité estivale. Mais si son authenticité séduit, Il pleut dans la maison ne parvient hélas pas à épargner aux spectateurs l’ennui qu’il décrit.