Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
L'Ecran Fantastique
par Quélou Parente
Le suspense est haletant tout au long de ce film sensoriel à la croisée des genres, qui ne parle en creux que de la vie et de ce qu’il en reste quand les êtres qu’on aime disparaissent.
Ouest France
par Thierry Chèze
Un film en équilibre parfait entre drame intime et science-fiction poétique, porté par le magnétisme de Megan Northam (...) dans son premier grand rôle.
Ecran Large
par Antoine Desrues
Avec Pendant ce temps sur Terre, Jérémy Clapin se confirme en nouvelle voix passionnante d’un imaginaire sensible et sans barrière. Son drame intime de science-fiction prend des risques, et c’est pour ça qu’on l’aime.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Monde
par Cl.F.
Le cinéaste nous agrippe au jeu intense et à la beauté de la comédienne Megan Northam, laquelle est aussi une force de la nature. Il emprunte des codes de la SF et de l’épouvante, tout en les détournant des habituels récits d’envahisseurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
Cette puissante fable poétique convoque l’imaginaire de ses spectateurs, qui deviennent cocréateurs du film qu’ils construisent en même temps qu’ils le voient.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Bernard Génin
Ce qui l'originalité du travail de Clapin, c'est sa retenue, son tact, mais son imaginaire garde néanmoins un pied dans le réel (...). On s'inquiète, on plane entre terre et ciel avec Elsa (touchante Megan Northam qui est de tous les plans) poursuivant son dialogue avec l'invisible.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Jérémy Clapin mélange science-fiction cosmique, horreur terrestre, invasion extraterrestre, dans une tragédie familiale sensible.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Le scénario supporte les (magnifiques) ambitions formelles de son auteur, mais laisse un arrière-goût d’inachevé.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifllet
Le beau travaille à chaque instant, dans les images léchées du directeur de la photographie Robrecht Heyvaert.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Convoquer la science-fiction, revenir parfois à l’animation, pour évoquer l’intimité, le deuil et la nécessité d’aller de l’avant, voilà la bonne idée d’un film à la mise en scène élégante.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Bastien Assié
Pendant ce temps sur Terre emprunte à la science-fiction pour interroger le Bien et le Mal tout en considérant avec gravité l’isolement des jeunes dans les campagnes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 2 semaines
par S.O.
Avec de belles qualités formelles, ce premier essai en prises de vues réelles du réalisateur J'ai perdu mon corps surprend par ses ruptures de ton, avant de s'engager dans une voie plus banalisée qui nous laisse sur notre faim.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Nul besoin d'effets spéciaux spectaculaires pour embarquer le spectateur, consentant à l'étrangeté, dans ce récit singulier qui raconte aussi, à travers des petits bijoux de séquences animées, la nostalgie de l'enfance.
Cahiers du Cinéma
par Circé Faure
Mêlant prises de vues réelle, séquences animées, maquillage SFX body-perturbant (par l’incontournable Olivier Afonso) et imaginaire de la périphérie (en l’occurrence, une petite commune rurale), ce second long métrage coche toutes les cases de la French touch contemporaine (Le Règne animal, Vermines…).
Critikat.com
par Clément Colliaux
La figuration de la douleur de l’héroïne écrase toute autre ambition de mise en scène.
Le Parisien
par Catherine Balle
D’abord mélancolique, poétique, onirique, le film devient fantastique et même gore. Malgré une réalisation très soignée et le jeu habité de la comédienne Megan Northam, il a quelque chose d’inachevé : il pose une question métaphysique, mais ne parvient pas à nous intriguer ou à nous surprendre vraiment.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La rédaction
Malgré quelques belles scènes et une interprétation intense de Megan Northam, Pendant ce temps sur terre ne se hausse jamais tout à fait à la hauteur de son modèle et reste en deçà de sa belle promesse romanesque.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Visant une véritable expérimentation, Pendant ce temps sur Terre peine néanmoins à se libérer de l’académisme de son récit et reste bloqué dans un entre-deux frustrant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Frédéric Strauss
Les audaces de Jérémy Clapin se retournent contre lui quand son scénario de science-fiction devient plus complexe, voire tordu, et se perd dans des idées discutables, finalement gagné par un étrange désenchantement… Dommage !
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par B.T.
On se réjouissait de découvrir le nouveau film de l’auteur de J’ai perdu mon corps (2019), mais on ne réussit pas à s’intéresser à cette histoire décousue qui mêle les genres (drame intime, horreur et science-fiction ; images en prises réelles et échappées animées) et appuie sur les effets sans vraiment nous mettre la tête dans les étoiles.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
L'Ecran Fantastique
Le suspense est haletant tout au long de ce film sensoriel à la croisée des genres, qui ne parle en creux que de la vie et de ce qu’il en reste quand les êtres qu’on aime disparaissent.
Ouest France
Un film en équilibre parfait entre drame intime et science-fiction poétique, porté par le magnétisme de Megan Northam (...) dans son premier grand rôle.
Ecran Large
Avec Pendant ce temps sur Terre, Jérémy Clapin se confirme en nouvelle voix passionnante d’un imaginaire sensible et sans barrière. Son drame intime de science-fiction prend des risques, et c’est pour ça qu’on l’aime.
Le Monde
Le cinéaste nous agrippe au jeu intense et à la beauté de la comédienne Megan Northam, laquelle est aussi une force de la nature. Il emprunte des codes de la SF et de l’épouvante, tout en les détournant des habituels récits d’envahisseurs.
Les Fiches du Cinéma
Cette puissante fable poétique convoque l’imaginaire de ses spectateurs, qui deviennent cocréateurs du film qu’ils construisent en même temps qu’ils le voient.
Positif
Ce qui l'originalité du travail de Clapin, c'est sa retenue, son tact, mais son imaginaire garde néanmoins un pied dans le réel (...). On s'inquiète, on plane entre terre et ciel avec Elsa (touchante Megan Northam qui est de tous les plans) poursuivant son dialogue avec l'invisible.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Jérémy Clapin mélange science-fiction cosmique, horreur terrestre, invasion extraterrestre, dans une tragédie familiale sensible.
L'Obs
Le scénario supporte les (magnifiques) ambitions formelles de son auteur, mais laisse un arrière-goût d’inachevé.
Le Dauphiné Libéré
Le beau travaille à chaque instant, dans les images léchées du directeur de la photographie Robrecht Heyvaert.
Paris Match
Convoquer la science-fiction, revenir parfois à l’animation, pour évoquer l’intimité, le deuil et la nécessité d’aller de l’avant, voilà la bonne idée d’un film à la mise en scène élégante.
Première
Pendant ce temps sur Terre emprunte à la science-fiction pour interroger le Bien et le Mal tout en considérant avec gravité l’isolement des jeunes dans les campagnes.
Télé 2 semaines
Avec de belles qualités formelles, ce premier essai en prises de vues réelles du réalisateur J'ai perdu mon corps surprend par ses ruptures de ton, avant de s'engager dans une voie plus banalisée qui nous laisse sur notre faim.
Télé 7 Jours
Nul besoin d'effets spéciaux spectaculaires pour embarquer le spectateur, consentant à l'étrangeté, dans ce récit singulier qui raconte aussi, à travers des petits bijoux de séquences animées, la nostalgie de l'enfance.
Cahiers du Cinéma
Mêlant prises de vues réelle, séquences animées, maquillage SFX body-perturbant (par l’incontournable Olivier Afonso) et imaginaire de la périphérie (en l’occurrence, une petite commune rurale), ce second long métrage coche toutes les cases de la French touch contemporaine (Le Règne animal, Vermines…).
Critikat.com
La figuration de la douleur de l’héroïne écrase toute autre ambition de mise en scène.
Le Parisien
D’abord mélancolique, poétique, onirique, le film devient fantastique et même gore. Malgré une réalisation très soignée et le jeu habité de la comédienne Megan Northam, il a quelque chose d’inachevé : il pose une question métaphysique, mais ne parvient pas à nous intriguer ou à nous surprendre vraiment.
Le Point
Malgré quelques belles scènes et une interprétation intense de Megan Northam, Pendant ce temps sur terre ne se hausse jamais tout à fait à la hauteur de son modèle et reste en deçà de sa belle promesse romanesque.
Les Inrockuptibles
Visant une véritable expérimentation, Pendant ce temps sur Terre peine néanmoins à se libérer de l’académisme de son récit et reste bloqué dans un entre-deux frustrant.
Télérama
Les audaces de Jérémy Clapin se retournent contre lui quand son scénario de science-fiction devient plus complexe, voire tordu, et se perd dans des idées discutables, finalement gagné par un étrange désenchantement… Dommage !
Le Journal du Dimanche
On se réjouissait de découvrir le nouveau film de l’auteur de J’ai perdu mon corps (2019), mais on ne réussit pas à s’intéresser à cette histoire décousue qui mêle les genres (drame intime, horreur et science-fiction ; images en prises réelles et échappées animées) et appuie sur les effets sans vraiment nous mettre la tête dans les étoiles.