Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
I'm A Rocket Man
288 abonnés
3 115 critiques
Suivre son activité
1,5
Publiée le 1 décembre 2023
Pfff... ce film est nul nul nul... et dire que j'avais hésité à le regarder à Halloween... ouf ! Non franchement c'est long, sans intérêt, le scénario ne prend pas et on ne ressent pas du tout la tension monter... un thriller psychologique complètement raté... à oublier !
Film que j'ai trouvé très intéressant et intriguant, j'ai beaucoup aimé le plot twist. Tres bon jeu d'acteur de la part de Noah Schnapp. J'espère qu'il y aura une partie 2 !!
Les premières minutes sont surprenantes et plutôt prometteuses. D’ailleurs la caméra est assez propre, avec des jeux de couleurs qui donnent une esthétique particulière au film. Mais le scénario vire rapidement à une soupe incongrue, tant les événements qui surviennent sont grotesques et invraisemblables. Tantôt on reprend les facilités les plus éculées des mauvais films à suspense, tantôt les surprises sont très mal amenées. Les personnages n’ont aucune consistance. C’est dommage car il y a un début d’intrigue. Mais la production n’avait sans doute pas plus d’ambition pour ce long métrage qui mérite la sortie directe en DVD. Dommage de revoir Garrett Hedlund (le seul acteur qui mérite d’être mentionné) dans ce truc à peine digeste et ce n’est clairement pas sa meilleure prestation.
Jeux d'acteur peu crédibles, scénario décevant, rien ne se tient dans ce film qui aurait pu être intéressant dans son intrigue. Assez déçue également du jeu d'acteur de Noah Schnapp (Jackson) qui s'enferme décidément dans des rôles de garçons torturés et larmoyants (cf Stranger Things). Film à éviter.
spoiler: Il faut toujours se méfier d'une proposition trop alléchante... Ethan, qui donne des cours particuliers, reçoit une offre très lucrative pour enseigner au fils d'un homme riche. Si Ethan a besoin d'argent pour l'arrivée de son enfant, l'offre était de toute manière trop intéressante pour être refusée. Il se rend donc dans une grande maison pour enseigner à Jackson sans savoir qu'il va vivre une véritable descente aux enfers. Alors qu'il essaie d'être le plus professionnel possible, le professeur est mis mal à l'aise par le comportement de ses hôtes. "The Tutor" change de la traditionnelle histoire spoiler: entre un enseignant et une élève où l'attirance physique est à l'origine des problèmes. Ici, c'est différent et le film de Jordan Ross part sur de plutôt bonnes bases avant de prendre une tournure plus conventionnelle. Il y a des révélations, mais rien qui ne fait l'effet d'une bombe. Le film n'insiste pas assez sur cette ambiguïté intrigante quand Ethan se fait mener en bateau et malmener. Une fois dévoilée, l'histoire perd en intérêt puisque cela ressemble au scénario d'un banal téléfilm d'après-midi. Ça se laisse regarder, mais "The Tutor" se croit beaucoup plus intelligent qu'il ne l'est en réalité.
Professeur particulier au talent hors pair, Ethan obtient une place en or en étant grassement payé pour venir en aide à Jackson, fils unique d'une famille très aisée. Mais le comportement étrange de l'adolescent à son égard va vite le faire déchanter...
Aucune leçon à tirer de ce laborieux "The Tutor" ! Ses quelques efforts pour placer le thème de l'obsession au sein d'un jeu de miroirs qui aurait pu réserver quelques sympathiques surprises vont se retrouver désamorcer en permanence par la pauvreté de son exécution.
Après une trèèèès longue première partie censée créer et faire monter une forme de malaise au quotidien entre le professeur et son élève (spoiler: bah non !), "The Tutor" s'embarque dans tous les clichés les plus téléfilmesques du récit de stalker, où une victime voit sa vie confortable réduite à néant par l'emprise tentaculaire de son agresseur, sans que la dynamique spécifique de son duo principal (la jeunesse de Jackson utilisée comme façade d'innocence jusqu'à l'absurde) n'y change vraiment quoi que ce soit de fondamental pour éveiller un soupçon d'intérêt chez le spectateur.
Se traînant pendant près d'une heure en ne proposant que le fond du panier des rebondissements inhérents à ce rapport de forces, le long-métrage paraît enfin se réveiller avec la révélation de son tournant le plus majeur. En soi, sa teneur n'est pas idiote, surtout dans le changement de dynamique qu'elle laisse augurer ou l'éclairage qu'elle apporte sur la personnalité de Jackson, mais tout ce qu'elle aurait pu offrir comme caractère un brin malin à "The Tutor" se retrouve à nouveau annihiler par un traitement digne d'un mauvais soap-opéra, qui ridiculise la plupart de ses personnages au passage, les emmène le plus sommairement possible à une confrontation finale pathétique et condamne la totalité de l'entreprise à une perte de temps futile ou juste bonne à occuper la case "téléfilm de l'après-midi" sur une chaîne TV peu regardante sur la qualité de ses programmes.
Le seul bon point à retenir du coma généralisé provoqué par les cours de ce "Tutor" est peut-être la prestation de Garrett Hedlund, acteur qui, au contraire d'un Noah Schnapp amorphe et d'une insignifiante Victoria Justice (comme son personnage d'ailleurs), peut prétendre à passer dans une classe supérieure, on en vient même à se demander comment il a échoué ici à vrai dire...