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Nath0301
50 abonnés
133 critiques
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1,0
Publiée le 29 mai 2023
Il faut beaucoup de talents pour renouveler le traitement d'un sujet déjà tellement "vu et revu" et là, pour moi, ça ne fonctionna pas vraiment. Parce que, le méchant homme manipulateur / Pervers narcissique et la pauvre femme / Victime, c'est un sujet qui devient vite saoulant et surtout affreusement prévisible. L'histoire me parait peu crédible, je n'ai pas trouvé la montée en puissance de la manipulation très subtile et surtout la partie où la victime "se réveille" et se rebelle est totalement bâclée. Tout arrive bien trop vite, d'un claquement de doigt, hop...Pourtant le reste du film est long, très long... Dommage, les acteurs sont plutôt très bons et investis, ce qui ne m'a pas empêchée de m'ennuyer ferme.
voilà un theme deja eculé et le film de V Donzelli n'apporte aucune originalité à l'hsitoire dont on devine la fin! l'auteur du livre raconte des histoires de femmes et le dénouement est terrible mais que reste t-il de ce type de relations. Virginie Efira doublée d'une jumelle donne le sentiment d'un trop de Efira! dommage je pense que l'adaptation est ratée.Bien sur Donzelli a pris sa part de liberté sur l'histoire. et malheureusement ca ne fonctionne pas
Niais, convenu. Je n'ai cru en rien: les jumelles tartes, le séducteur qu'on voit venir à la seconde, la femme fragile ( merci d'arrêter de faire ces portraits de cruche! ) Elle jouit donc elle devient encore plus bête : Ben voyons !! Image fake, effet mode qui fleure l'agence de pub , finit de faire de ce film niais un pensum bien-pensant dans une enveloppe tarte! Un roman photo 21 ieme siècle .. #metoo paresseux du bulbe ! Ça fait redouter le pire pour le reste de la programmation cannoise.
"L'amour et les Forêts" est un que je n'ai pas aimé. L'histoire est sympa mais traîne en longueur, les personnages ne sont pas attachants et les dialogues sont parfois affligeants. Je trouve dommage que ce long-métrage ne soit pas mieux développé et la mise en scène de m'a pas convaincu.
Voilà un film sur un sujet éculé qui ne passe à côté d'aucun poncif du genre. C'est long, mais c'est long. Les têtes à tête avec l'avocate nous font espérer un climax, une dramatisation dans un scénario tellement plat, erreur, ça ne va nulle part.Virginie Efira est formidable, Melvil Poupaud, hélas dénué de toute présence, tout charisme, l'Amour et les Forêts est un film qui n' AUCUN intérêt. Une demi-heure à couper,ou mieux, tout le film à couper.
J'ai trouvé le film mou et me suis ennuyée à plusieurs reprises. Rien de bien intéressant à part quelques plans et le sujet de la gémellité. trop de flashbacks et une voix off ennuyeuse. Je vais lire le roman pour me faire une idée plus précise. Par contre Efira et Poupaud sont au top, les seconds rôles aussi. Pourquoi ce film a-t-il été sélectionné à Cannes ? Mystère. Il ne brille pas par l'intelligence de son scénario en tout cas.
J'ai été très décue et je ne comprends pas les éloges dithyrambiques de la presse . C'est sans doute que le sujet est dans l'air du temps ??? Virginie Effira sublime comme d'habitude porte le film à bout de bras, mais le scénario est sans consitance, les dialogues plats voire nunuches Melvil Poupaud surjoue mal, déservi par un texte à coté de la plaque. La monté en puissance de l'emplrise est complètement escamotée et manque de subtilité , et cerise sur ce gâteau indigeste, l'intensité dramatique est réduite à zéro, puisqu'on connait la fin de l'histoire dès le début ! A fuir si vous ne voulez pas predre votre temps ou à aller voir avec votre vieille cousine lectrice de " Nous deux " Le " Mon Roi " de Maïwenn dans la même catégorie était d'une qualité bien supérieure
Film nullissime qui semble avoir été construit uniquement dans une visée éducative en intégrant maladroitement les nouveaux lieux communs 2023 des relations toxiques entre un profil manipulateur et sa proie. Il n'y a pas d'âme artistique. Aucune finesse. Le grain grossier du film qui semble tout droit sortir des années 70 n'ajoute rien à la narration mécanique et anachronique dans laquelle on trouve à la fois des smartphones et des véhicules/mobiliers du siècle dernier. Je ne crois pas que le but était de décrire ou de surfer sur la vague pervers narcissique et si c'était le cas, c'est raté, il manque trop des subtiles caractéristiques qui en font l'essence même. Cependant on pourrait s'y méprendre Bref on dirait un téléfilm pseudo-éducatif 2023 sous la forme de mode opératoire par/pour les femmes Je regrette de l'avoir vu et pour avoir vécu aux prises d'un tel personnage, je trouve dommage que ce sujet ait été baclé ainsi... Puis-je vous conseiller la lecture du livre 'Les manipulateurs sont parmi nous" d'Isabelle Nazare-Aga sur la base des travaux fondateurs de Jean-Claude Racamier
J'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire. Un couple qui se dit "je t'aime" mais qui ne laisse pas transparaître de véritable amour. Juste un "je m'accommode" faute de mieux. Ça sent le désastre à plein nez. Où est le conte de fées dans cette histoire là? Déménager loin des siens à l'autre bout de la France, sans emploi, dans une maison glauque et une région froide? Avec un mari menteur? Qui y croit? Rien de transcendant sous le soleil. Film long. Heureusement, il reste le jeu des acteurs.
On nous dit dès le début que c'est un manipulateur étouffant, mais qu'elle s'en sortira, donc on s'ennuie ferme. Poupaud n'amène rien, il essaie juste de jouer son perso, scolairement, et ça se voit trop, aucune surprise, aucun charisme, aucun impact émotionnel, tout est appliqué scolairement sans idées ni intuitions ni éclairs, mais ça n'a même pas la précision chirurgicale, c'est en-dessous de ce qui se passe dans la réalité des cas vécus. Que l'actrice joue aussi sa jumelle est un cliché qui n'apporte rien. La reconstitution des décors, vêtements, coiffures et accessoires d'époque est soignée, bravo, mais cette application nuit plutôt au film, en le restreignant à une époque au lieu de tendre vers l'universel. Même le grain de l'image est une fausse bonne idée, il sonne faux. La dernière partie, la rébellion, devrait être libératoire mais, comme on savait depuis le début qu'elle triompherait , on continue à s'ennuyer, et les flashbacks surabondants, pauvres et redondants de la fin, inutiles et mal utilisés sont juste la cerise moisie sur un piètre gâteau. Dommage !
Vu au ciné, c'est nul. Ca aurait pu être un film intéressant sur les pervers narcissiques, les sociopathes, l'emprise, la psychologie des victimes, comment elles réagissent, tout ça. Au lieu de ça, le PN et la victime ne reflètent pas la réalité, la victime est stupide de suivre ses ordres farfelus, de plus, le film nous dit que la solution, spoiler: c'est l'adultère . Et ce dernier point, c'est un truc des films français que je déteste.
J'avais beaucoup aimé le précédent film de Valérie Donzelli "Notre Dame". Sans doute est-elle plus habile dans la comédie que dans le drame. "L'amour et les forêts" -quel joli titre au demeurant- est un drame conjugal (à ranger dans la mouvance féministe de notre époque) qui prend des allures de thrillers au fur et à mesure que le personnage de Melvil Poupaud révèle ce qu'il a de fausse gentillesse, de névroses cachées et, peut-être, de dangerosité. Donzelli ne nous fait certes pas croire que la belle histoire d'amour amorcée entre Blanche (Virginie Efira), dont le film suit exclusivement le point de vue, et Grégoire sera pavé de pétales de roses. On sait tout de suite que le beau Grégoire n'est pas le prince charmant qu'il parait être. Et tout le sujet de Donzelli est de marquer les étapes d'une relation amoureuse qui s'étiole au fil du temps.
Malheureusement, ce que raconte la réalisatrice a été vu des dizaines de fois au cinéma. Déjà, on ne croit pas à ce jeune couple sur le point de faire deux enfants en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, pour au moins la raison que Efira et Poupaud, aussi beaux soient-ils, font quand même quinquagénaires ou pas loin. Ensuite, le suspens conjugal frelaté qui prend forme avec la révélation de la personnalité inquiétante de Grégoire et de son comportement insidieux est tout aussi banal que prévisible. Donzelli ne fait dans ce domaine qu'enfoncer des portes ouvertes. Le contraste entre le bonheur à la plage (Normandie) et l'inquiétude en Lorraine ( vous savez, cette région du bout de la France sinon du monde, froide, humide et pleine d'arbres, qui fait peur)- pas bien aimable de la part de la vosgienne Donzelli !- exprime un changement de ton et de décor malheureusement totalement dépourvu de singularité. spoiler: Quant au dénouement, vite expédié, il relève de l'enseignement de bon sens fait aux jeunes femmes: si vous tombez sur un mari pas gentil, voire brutal: n'hésitez pas à prendre un avocat et à divorcer...
Scenario d'une banalite abyssale. Acteurs peu crédibles. Erreur de casting sur le role masculin complètement absent... Qu'est ce que la magnifique Effira est venue faire dans cette galère d'ennui. Passez votre chemin... rien à voir...
Les acteurs jouent très bien, l’interprétation est bonne. On assiste à une escalade victime/ persécuteur mais, j ai eu en réalité peu d’empathie pour la victime car spoiler: elle passe son temps à lui mentir. Lui n’est pas’idiot et voit ses mensonges ce qui renforce l’insécurité chez lui également . J’ai trouvé le comportement de la victime ridicule spoiler: D’autant plus qu’´au départ il ne l’a frappe pas donc vraiment je ne comprends pas pourquoi elle reste. On assiste au culte de la victime, et c’est assez désagréable et dénué d’intérêt. Dès le premier mensonge elle aurait dû partir, ce pourquoi ce film est horripilant et une épreuve a regarder , qui ne m’a pas vraiment mit en empathie tant il donne une image de la femme comme étant fragile et faible. Ce film n’honore pas la femme en réalité.
Miam ! Pile poil le genre de films que j'adore défoncer ! Parce que je vais vous dire un truc les potes : les féministes sont quand même vachement balèzes. Ces gens se persuadent (et essaient de persuader les autres) que, pour plaider la cause des femmes, il n'y a qu'une seule façon de faire : stigmatiser les hommes. Tout ce qui a un zigouigoui entre les jambes est forcément pourri et un potentiel prédateur. Tout ce qui n'en n'a pas est forcément pur, immaculé, presque angélique. Si je dis ça, c'est parce "L'amour et les forêts" est exactement basé sur cette façon de faire. Et forcément, tout le monde (enfin, tout ce petit monde de l'entre-soi) applaudit puisque le concept est à la mode, permet de traîner ses fesses dans les festivals et de glaner des prix ou de simples nominations. Et pourtant, tout ça, ça vaut nib. Malgré le côté plus qu'à charge du bestiaud, on pourrait (très éventuellement) se montrer un peu cool si le duo "vedette" fonctionnait. Mais non, pas du tout. Efira et Poupaud (comme qu'il fait pour encore avoir des rôles c'ui-là ?) sont aussi nuls l'un que l'autre. Et le pire n'est même pas là. Okay, la mère Donzelli y va de sa propagande (presque prosélytisme) féministe de bas étage mais, plus son film avance, plus il apparaît clair qu'elle ne connaît absolument pas le sujet qu'elle aborde. C'est fort non ? Comme le dit la maxime : "mieux vaut se taire et passer pour un gros neuneu, plutôt que de l'ouvrir et ne laisser aucun doute à ce sujet". Je ne sais même pas pourquoi je mets 1 étoile à ce machin. Sans doute parce que je suis sympa et que Virginie aussi elle est sympa. Et tiens, comme je suis vraiment super sympa, j'en profite pour adresser toutes mes amitiés à Dominik Moll et sa grandissime (selon les avis "compétents") "Nuit du 12".