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32 critiques presse
CinemaTeaser
par Renan Cros
Adaptation personnelle du puissant roman d’Eric Reinhardt, L’Amour et les forêts intrigue, sidère, bouleverse et procure constamment de grandes émotions de cinéma. Un très grand film.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Franceinfo Culture
par Anthony Jammot
L'adaptation du roman d’Eric Reinhardt par Valérie Donzelli raconte la descente aux enfers d'une femme sous l'emprise d'un mari possessif et violent. Un film puissant dans lequel Virginie Efira interprète deux rôles, en passant par toutes les émotions.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un film utile et bouleversant.
20 Minutes
par Caroline Vié
Un thriller palpitant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Isabelle Danel
Portrait d’une femme, anatomie d’une emprise, L’Amour et les forêts est plus qu’une fiction bien troussée sur un fléau de notre temps, qui trop souvent conduit au féminicide. C’est une radiographie et un avertissement. Et un grand film de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
[Un] film qui nous prend aux tripes.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Closer
par J.B.
Incarnation puissante et charnelle de cette femme qui perd pied, Virginie Efira force le respect.
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Vous en avez marre de Virginie Efira ? Pas de bol, elle est encore une fois parfaite dans cette fausse histoire d'amour et vrai cauchemar intime.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par La Rédaction
Puissant.
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Blanche et Grégoire s’aiment. Mais la passion se mue en persécution quand l’homme se met à vouloir contrôler les faits et gestes de son épouse. Un thriller psychologique et le récit d’une émancipation.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Sophie Grassin
En minorant sa fantaisie – scène chantée, passage du 16 mm au numérique –, l’auteure de « La guerre est déclarée » livre son film le plus mûr et le plus abouti.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Virginie Efira et Melvil Poupaud sont incroyablement justes dans cette adaptation très réussie du roman d’Éric Reinhardt, sur une femme victime de l’homme qu’elle aime.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
La cinéaste gradue avec intelligence le drame à venir et retranscrit sans caricature toute l’ambiguïté duale de la séduction de Grégoire, servi ici par un Melvil Poupaud remarquable.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
La cinéaste ajoute le brio à la démonstration, bien aidée en cela par Virginie Efira et Melvil Poupaud (terrifiant !), deux comédiens au meilleur de leur art.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce drame intime, qui flirte avec le thriller hitchcockien, aborde un sujet périlleux avec une intelligence remarquable : l’emprise et les violences conjugale, psychologique et physique, à travers un mécanisme insidieux qui prend progressivement au piège l’héroïne pour la broyer.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par M. Dl
A la cohérence du parti pris esthétique, s’ajoute la précision entomologique avec laquelle le film observe le mécanisme de l’emprise.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Virginie Efira est formidable d’intensité et Melvil Poupaud glaçant dans le rôle d’un authentique salaud.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
Porté par le formidable duo d'acteurs et une mise en scène au cordeau, tout à la fois conte et thriller, le film nous précipite dans un labyrinthe infernal aux accents hitchcockiens. Glaçant.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Avec ce puissant drame intimiste et psychologique, Valérie Donzelli trouve le ton juste.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Le couple a souvent été l’affaire de Valérie Donzelli mais rarement on avait vu une cinéaste dont on pensait connaître par cœur les recoins de son monde, se réinventer à ce point et lorgner vers un territoire aussi strict que celui du thriller psychologique aux influences hitchcockiennes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Fabrice Leclerc
En adaptant ce récit d’Eric Reinhardt, la réalisatrice observe et décortique la mécanique des violences conjugales, sans jamais donner de leçon ou d’aller dans le sens du vent. Son film n’oublie jamais non plus le cinéma, à la mise en scène précise et inventive, aux cadres impeccables, sa caméra devenant le témoin invisible d’une violence qui ne l’est pas moins.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Chèze
N’enfonçant jamais les portes ouvertes, Valérie Donzelli signe son plus grand film, porté par des acteurs majeurs.
La critique complète est disponible sur le site Première
Public
par La Rédaction
Melvil Poupaud livre une performance fascinante.
Sud Ouest
par Julien Rousset
Un film à la fois romanesque et d'une grande rectitude dans sa fidélité au processus décrit par les victimes de maltraitances conjugales
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Du roman éponyme d’Éric Reinhardt, Valérie Donzelli tire un polar psychologique intense, dans lequel elle explore les mécanismes de l’emprise et l’ambivalence des sentiments qu’elle suscite.
Télérama
par Marie Sauvion
Dédoublée comme en écho à Madeleine Collins (Antoine Barraud, 2021), prof de lettres comme dans Les Enfants des autres, Virginie Efira arrive à ce stade d’une carrière où les beaux rôles dialoguent les uns avec les autres. Star de proximité, elle oscille ici entre l’ombre et la lumière avec mille variations subtiles.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Récit prenant d’une emprise mentale, L’amour et les forêts au ton hitchcockien est une grande réussite du genre et le meilleur film de Valérie Donzelli.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Résultat globalement convaincant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Télé Loisirs
par Mathilde Aubry
En jouant avec les codes du genre - de la romance légère au thriller angoissant - et en s'appuyant sur l'incarnation brillante du duo Virginie Efira-Melvil Poupaud, Valérie Donzelli réussit à extraire son film d'une narration convenue qui guide, parfois lourdement, la réflexion.
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Plus le calvaire dure, plus l’on se demande comment une voie peut se frayer dans un film trop installé dans sa visée descriptive.
Critikat.com
par Josué Morel
C’est au début que le film convainc le plus, quand il révèle, par touches, le fond malade d’un monstre tristement banal. Mais la suite du récit se révèle plus monocorde.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par Françoise Dargent
À partir du roman d'Éric Reinhardt, Valérie Donzelli décrypte maladroitement ce phénomène qui ne se déroule que dans l'intimité d'un couple.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
CinemaTeaser
Adaptation personnelle du puissant roman d’Eric Reinhardt, L’Amour et les forêts intrigue, sidère, bouleverse et procure constamment de grandes émotions de cinéma. Un très grand film.
Franceinfo Culture
L'adaptation du roman d’Eric Reinhardt par Valérie Donzelli raconte la descente aux enfers d'une femme sous l'emprise d'un mari possessif et violent. Un film puissant dans lequel Virginie Efira interprète deux rôles, en passant par toutes les émotions.
Ouest France
Un film utile et bouleversant.
20 Minutes
Un thriller palpitant.
Bande à part
Portrait d’une femme, anatomie d’une emprise, L’Amour et les forêts est plus qu’une fiction bien troussée sur un fléau de notre temps, qui trop souvent conduit au féminicide. C’est une radiographie et un avertissement. Et un grand film de cinéma.
CNews
[Un] film qui nous prend aux tripes.
Closer
Incarnation puissante et charnelle de cette femme qui perd pied, Virginie Efira force le respect.
Ecran Large
Vous en avez marre de Virginie Efira ? Pas de bol, elle est encore une fois parfaite dans cette fausse histoire d'amour et vrai cauchemar intime.
Femme Actuelle
Puissant.
L'Humanité
Blanche et Grégoire s’aiment. Mais la passion se mue en persécution quand l’homme se met à vouloir contrôler les faits et gestes de son épouse. Un thriller psychologique et le récit d’une émancipation.
L'Obs
En minorant sa fantaisie – scène chantée, passage du 16 mm au numérique –, l’auteure de « La guerre est déclarée » livre son film le plus mûr et le plus abouti.
La Croix
Virginie Efira et Melvil Poupaud sont incroyablement justes dans cette adaptation très réussie du roman d’Éric Reinhardt, sur une femme victime de l’homme qu’elle aime.
La Septième Obsession
La cinéaste gradue avec intelligence le drame à venir et retranscrit sans caricature toute l’ambiguïté duale de la séduction de Grégoire, servi ici par un Melvil Poupaud remarquable.
La Voix du Nord
La cinéaste ajoute le brio à la démonstration, bien aidée en cela par Virginie Efira et Melvil Poupaud (terrifiant !), deux comédiens au meilleur de leur art.
Le Journal du Dimanche
Ce drame intime, qui flirte avec le thriller hitchcockien, aborde un sujet périlleux avec une intelligence remarquable : l’emprise et les violences conjugale, psychologique et physique, à travers un mécanisme insidieux qui prend progressivement au piège l’héroïne pour la broyer.
Le Monde
A la cohérence du parti pris esthétique, s’ajoute la précision entomologique avec laquelle le film observe le mécanisme de l’emprise.
Le Parisien
Virginie Efira est formidable d’intensité et Melvil Poupaud glaçant dans le rôle d’un authentique salaud.
Le Point
Porté par le formidable duo d'acteurs et une mise en scène au cordeau, tout à la fois conte et thriller, le film nous précipite dans un labyrinthe infernal aux accents hitchcockiens. Glaçant.
Les Fiches du Cinéma
Avec ce puissant drame intimiste et psychologique, Valérie Donzelli trouve le ton juste.
Les Inrockuptibles
Le couple a souvent été l’affaire de Valérie Donzelli mais rarement on avait vu une cinéaste dont on pensait connaître par cœur les recoins de son monde, se réinventer à ce point et lorgner vers un territoire aussi strict que celui du thriller psychologique aux influences hitchcockiennes.
Paris Match
En adaptant ce récit d’Eric Reinhardt, la réalisatrice observe et décortique la mécanique des violences conjugales, sans jamais donner de leçon ou d’aller dans le sens du vent. Son film n’oublie jamais non plus le cinéma, à la mise en scène précise et inventive, aux cadres impeccables, sa caméra devenant le témoin invisible d’une violence qui ne l’est pas moins.
Première
N’enfonçant jamais les portes ouvertes, Valérie Donzelli signe son plus grand film, porté par des acteurs majeurs.
Public
Melvil Poupaud livre une performance fascinante.
Sud Ouest
Un film à la fois romanesque et d'une grande rectitude dans sa fidélité au processus décrit par les victimes de maltraitances conjugales
Télé 7 Jours
Du roman éponyme d’Éric Reinhardt, Valérie Donzelli tire un polar psychologique intense, dans lequel elle explore les mécanismes de l’emprise et l’ambivalence des sentiments qu’elle suscite.
Télérama
Dédoublée comme en écho à Madeleine Collins (Antoine Barraud, 2021), prof de lettres comme dans Les Enfants des autres, Virginie Efira arrive à ce stade d’une carrière où les beaux rôles dialoguent les uns avec les autres. Star de proximité, elle oscille ici entre l’ombre et la lumière avec mille variations subtiles.
aVoir-aLire.com
Récit prenant d’une emprise mentale, L’amour et les forêts au ton hitchcockien est une grande réussite du genre et le meilleur film de Valérie Donzelli.
Les Echos
Résultat globalement convaincant.
Télé Loisirs
En jouant avec les codes du genre - de la romance légère au thriller angoissant - et en s'appuyant sur l'incarnation brillante du duo Virginie Efira-Melvil Poupaud, Valérie Donzelli réussit à extraire son film d'une narration convenue qui guide, parfois lourdement, la réflexion.
Cahiers du Cinéma
Plus le calvaire dure, plus l’on se demande comment une voie peut se frayer dans un film trop installé dans sa visée descriptive.
Critikat.com
C’est au début que le film convainc le plus, quand il révèle, par touches, le fond malade d’un monstre tristement banal. Mais la suite du récit se révèle plus monocorde.
Le Figaro
À partir du roman d'Éric Reinhardt, Valérie Donzelli décrypte maladroitement ce phénomène qui ne se déroule que dans l'intimité d'un couple.