AlloCiné
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Votre avis sur Bernadette ?
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Un film qui parle d'une époque traversée par un couple fascinant, tant par leurs punchlines que par leurs manigances.
Un très bon film.
Cathetine Deneuve campe avec talent une femme efficace et déterminée. Elle, qui a oeuvré toute sa vie pour faire réussir un époux charismatique, mais sans grande épaisseur ni talent ni conviction, se voit confinée dans une discrétion obligée quand il accède à la fonction suprême, par une bande de groupies un peu méprisants. Bernadette est ringarde, c'est ce qu'ils pensent; et Jacques Chirac, aveuglé par sa réussite, ne voit et ne pense que par ces flatteurs.
Mais Bernadette possède l'obstination de ceux qui ont raison et qui le savent. Et un sens politique bien meilleur que son époux et sa bande. Elle va contourner l'omerta dont elle victime de la part de ceux qui l'isolent de son mari (dont sa fillle) en devenant médiatique : telle Cendrillon qui se transforme de souillon à princesse, elle va se métamorphoser de ringarde en bienfaitrice, d'héritière de la vielle noblesse conservatrice et dépassée en vedette médiatique qui met sa célébrité au service de la générosité. Et faire réélire un époux bien falot.
Deneuve est épatatante, Michel Vuillemoz campe un Jacques Chirac crédible, en cfrétin charismatique mais sans épaisseur, et Denis Podalydès est jouissif en conseiller en communication méprisé mais avisé.
Cathetine Deneuve campe avec talent une femme efficace et déterminée. Elle, qui a oeuvré toute sa vie pour faire réussir un époux charismatique, mais sans grande épaisseur ni talent ni conviction, se voit confinée dans une discrétion obligée quand il accède à la fonction suprême, par une bande de groupies un peu méprisants. Bernadette est ringarde, c'est ce qu'ils pensent; et Jacques Chirac, aveuglé par sa réussite, ne voit et ne pense que par ces flatteurs.
Mais Bernadette possède l'obstination de ceux qui ont raison et qui le savent. Et un sens politique bien meilleur que son époux et sa bande. Elle va contourner l'omerta dont elle victime de la part de ceux qui l'isolent de son mari (dont sa fillle) en devenant médiatique : telle Cendrillon qui se transforme de souillon à princesse, elle va se métamorphoser de ringarde en bienfaitrice, d'héritière de la vielle noblesse conservatrice et dépassée en vedette médiatique qui met sa célébrité au service de la générosité. Et faire réélire un époux bien falot.
Deneuve est épatatante, Michel Vuillemoz campe un Jacques Chirac crédible, en cfrétin charismatique mais sans épaisseur, et Denis Podalydès est jouissif en conseiller en communication méprisé mais avisé.
defleppard
Satire de qualité, Nicolas Sarkozy est très bien décrit dans toute sa splendeur . Trois étoiles et demie.
Bonjour
Quel film, une trés bonne surprise de ce film sur la vie de Bernadette Chirac, beau reportage sur la vie d etre 1ere dame de France
On découvre une belle histoire avec humour
Bravo a Catherine Deneuve pour son interprétation du rôle, bien entourée par des acteurs qui portent les rôles de tous ces personnages d actualités
Beau travail, les scenes nous rappellent les images d archives tant deja vues
A découvrir sans modération
Quel film, une trés bonne surprise de ce film sur la vie de Bernadette Chirac, beau reportage sur la vie d etre 1ere dame de France
On découvre une belle histoire avec humour
Bravo a Catherine Deneuve pour son interprétation du rôle, bien entourée par des acteurs qui portent les rôles de tous ces personnages d actualités
Beau travail, les scenes nous rappellent les images d archives tant deja vues
A découvrir sans modération
Ratage complet, un mauvais tv film. Aucune profondeur et pas drôle. On attendait mieux, il y avait pourtant de la matière.
Je m'attendais à mieux concernant l'étude du personnage, le rythme est un peu lent, mais le choix du cast est judicieux, petit film à voir en semaine mais pas au cinéma.
Mais quel vilain film!
Cet objet hybride qui se veut un biopic tout en revendiquant la liberté de divaguer dans la comédie est consternant. A cet entre-deux inepte, Léa Domenach aurait mieux fait de préférer une femme de Président fictive, une vraie figure de comédie dans laquelle Catherine Deneuve aurait pu, peut-être, s'amuser au lieu de composer cette Bernadette Chirac figée dans sa légende. L'actrice ne joue pas, elle parle, en prenant de temps en temps un air pincé. Son interprétation inexpressive et la direction d'actrice sont affilgeantes. Tous les comédiens sont mauvais, d'ailleurs, empêchés par des rôles pseudo fantaisistes complètement dépourvus de matière, tant politique qu'humaine. La réalisatrice ose même une petite mélodie larmoyante spoiler: quand elle invoque la maladie de Laurence Chirac ou l'avc de Jacques Chirac (Et Bernadette d'étouffer un sanglot pour son mari qu'elle aime bien quand même)
Grotesque.
spoiler: La comédie se déroule entre 1995 et 2007, et la relecture des deux quinquennats
, avec quelques images d'archives, est digne d'un élève de cinquième. Léa Domenach ne cherche pas tant à réhabiliter le rôle politique de Bernadette Chirac que, suivant une idée féministe dans l'air du temps, de lui faire prendre sa revanche sur un mari qui cumule tant de défauts et qui prend toute la lumière. Infidèle et indifférent, mal entouré spoiler: (De Villepin en souffre-douleur des autrices), sans aucun sens politique, au contraire de son épouse qui elle seule (ah bon?) a vu le Front National au second tour en 2002,
le grand Jacques ne sort pas grandi de cette plaisanterie qui relève de la vraie mauvaise idée.
La mise en scène, elle, n'en a pas, d'idées. Elle a la platitude et le rythme adoptés par son interprète principale. Et la réalisatrice fait preuve d'un bien pauvre sens comique, peut-être persuadée que Bernadette Deneuve est un personnage rigolo.
Cet objet hybride qui se veut un biopic tout en revendiquant la liberté de divaguer dans la comédie est consternant. A cet entre-deux inepte, Léa Domenach aurait mieux fait de préférer une femme de Président fictive, une vraie figure de comédie dans laquelle Catherine Deneuve aurait pu, peut-être, s'amuser au lieu de composer cette Bernadette Chirac figée dans sa légende. L'actrice ne joue pas, elle parle, en prenant de temps en temps un air pincé. Son interprétation inexpressive et la direction d'actrice sont affilgeantes. Tous les comédiens sont mauvais, d'ailleurs, empêchés par des rôles pseudo fantaisistes complètement dépourvus de matière, tant politique qu'humaine. La réalisatrice ose même une petite mélodie larmoyante spoiler: quand elle invoque la maladie de Laurence Chirac ou l'avc de Jacques Chirac (Et Bernadette d'étouffer un sanglot pour son mari qu'elle aime bien quand même)
Grotesque.
spoiler: La comédie se déroule entre 1995 et 2007, et la relecture des deux quinquennats
, avec quelques images d'archives, est digne d'un élève de cinquième. Léa Domenach ne cherche pas tant à réhabiliter le rôle politique de Bernadette Chirac que, suivant une idée féministe dans l'air du temps, de lui faire prendre sa revanche sur un mari qui cumule tant de défauts et qui prend toute la lumière. Infidèle et indifférent, mal entouré spoiler: (De Villepin en souffre-douleur des autrices), sans aucun sens politique, au contraire de son épouse qui elle seule (ah bon?) a vu le Front National au second tour en 2002,
le grand Jacques ne sort pas grandi de cette plaisanterie qui relève de la vraie mauvaise idée.
La mise en scène, elle, n'en a pas, d'idées. Elle a la platitude et le rythme adoptés par son interprète principale. Et la réalisatrice fait preuve d'un bien pauvre sens comique, peut-être persuadée que Bernadette Deneuve est un personnage rigolo.
"Bernadette", le premier long-métrage de Léa Domenach, est une œuvre cinématographique qui gravite autour de la vie de Bernadette Chirac pendant les mandats présidentiels de son mari, Jacques Chirac. Catherine Deneuve, dans le rôle-titre, livre une performance nuancée et captivante, étoffant avec brio le personnage de Bernadette, une femme éclipsée par les ombres de son mari et de sa famille, cherchant sa place dans un monde politique tumultueux.
Le film se distingue par sa réalisation habile et sa narration satirique, offrant un aperçu pénétrant de la politique française et des dynamiques de pouvoir au sein de l'Élysée. L'approche de Domenach, à la fois respectueuse et critique, confère au film une dimension unique, mêlant humour et gravité. La direction artistique, notamment la photographie d'Elin Kirschfink et la musique d'Anne-Sophie Versnaeyen, enrichit le film, lui donnant une texture visuelle et sonore qui capture l'époque avec précision et élégance.
Le casting est un autre point fort. Michel Vuillermoz en Jacques Chirac et Denis Podalydès en Bernard Niquet complètent harmonieusement la performance principale de Deneuve. Leurs interactions offrent des moments de comédie subtile et de tension dramatique. Sara Giraudeau, en Claude Chirac, apporte une dynamique familiale complexe qui renforce le récit.
Cependant, malgré ces atouts, le film souffre parfois d'un rythme inégal et d'une certaine prévisibilité dans son scénario. Les tentatives de mélanger satire et biographie ne réussissent pas toujours, laissant par moments le spectateur dans un entre-deux insatisfaisant. De plus, certains personnages secondaires, bien que performants, semblent sous-développés, perdant ainsi l'opportunité d'approfondir davantage le contexte politique et personnel.
En somme, "Bernadette" est un film qui, tout en brillant grâce à ses performances et à sa direction artistique, manque parfois de cohérence dans son ton et sa narration. Il est à la fois une peinture fascinante d'une figure politique méconnue et un commentaire sur le rôle des femmes dans les sphères de pouvoir. Ce mélange de force et de faiblesse fait de "Bernadette" un film intéressant et digne d'attention, bien qu'il ne réalise pas pleinement son potentiel.
Le film se distingue par sa réalisation habile et sa narration satirique, offrant un aperçu pénétrant de la politique française et des dynamiques de pouvoir au sein de l'Élysée. L'approche de Domenach, à la fois respectueuse et critique, confère au film une dimension unique, mêlant humour et gravité. La direction artistique, notamment la photographie d'Elin Kirschfink et la musique d'Anne-Sophie Versnaeyen, enrichit le film, lui donnant une texture visuelle et sonore qui capture l'époque avec précision et élégance.
Le casting est un autre point fort. Michel Vuillermoz en Jacques Chirac et Denis Podalydès en Bernard Niquet complètent harmonieusement la performance principale de Deneuve. Leurs interactions offrent des moments de comédie subtile et de tension dramatique. Sara Giraudeau, en Claude Chirac, apporte une dynamique familiale complexe qui renforce le récit.
Cependant, malgré ces atouts, le film souffre parfois d'un rythme inégal et d'une certaine prévisibilité dans son scénario. Les tentatives de mélanger satire et biographie ne réussissent pas toujours, laissant par moments le spectateur dans un entre-deux insatisfaisant. De plus, certains personnages secondaires, bien que performants, semblent sous-développés, perdant ainsi l'opportunité d'approfondir davantage le contexte politique et personnel.
En somme, "Bernadette" est un film qui, tout en brillant grâce à ses performances et à sa direction artistique, manque parfois de cohérence dans son ton et sa narration. Il est à la fois une peinture fascinante d'une figure politique méconnue et un commentaire sur le rôle des femmes dans les sphères de pouvoir. Ce mélange de force et de faiblesse fait de "Bernadette" un film intéressant et digne d'attention, bien qu'il ne réalise pas pleinement son potentiel.
Inspiré de la vie de Bernadette Chirac lors des deux mandats de son mari à la présidence de la République (1995-2007), ce premier long-métrage raconte l’émancipation de l’ex-première dame, longtemps peu considérée par un époux volage et volontiers humiliant, avant de s’imposer davantage dans la foulée d’une campagne visant à la rendre plus populaire auprès des Français. Fort sympathique, ce film qui nous fait esquisser des sourires – et parfois des rires plus francs – s’appuie sur un scénario propre, qui monte agréablement en puissance, mais aussi sur des acteurs qui semblent y prendre du plaisir, Catherine Deneuve en tête. Un long-métrage plaisant, qui ne manque pas d’interroger sur un point : la réhabilitation de la figure d’une Bernadette Chirac montrée ici sous un jour particulièrement attachant.
la découverte d'une Bernadette qui se rebelle, qui veut exister et sortir de l'ombre de son mari..
ses propos acerbes, sa finesse d'esprit sont bien montrés ainsi que son humour "pince sans rire"
On découvre une facette inconnue, celle aussi d'une femme qui a bcp subi, qui a bcp accepté les écartades de son mari.
Nous avons l'image d'un Chirac, jovial, bon vivant et là nous découvrons un homme, façonné par son époque et qui est très dur avec sa femme..
Ce film c'est la revanche de Bernadette !
Je n'étais pas enthousiasmée par le fait que Deneuve incarne ce rôle mais très rapidement, nous ne voyons plus que Bernadette.
ses propos acerbes, sa finesse d'esprit sont bien montrés ainsi que son humour "pince sans rire"
On découvre une facette inconnue, celle aussi d'une femme qui a bcp subi, qui a bcp accepté les écartades de son mari.
Nous avons l'image d'un Chirac, jovial, bon vivant et là nous découvrons un homme, façonné par son époque et qui est très dur avec sa femme..
Ce film c'est la revanche de Bernadette !
Je n'étais pas enthousiasmée par le fait que Deneuve incarne ce rôle mais très rapidement, nous ne voyons plus que Bernadette.
Beaucoup de bruit pour rien. Tout est factice dans ce film: fausse impertinence, fausse audace, fausse comédie à laquelle on ne rit jamais car jamais on n’y croit même si tout est estampillé « histoire vraie ». C’est filmé et dialogué comme un mauvais téléfilm des années 70, et cela ne nous dit rien , ni sur le couple Chirac ni sur la chose politique. Alors’ à quoi bon y perdre son temps ? Parce que Catgerine Deneuve. Elle est parfaite certes, mais cela ne suffit pas.
Je ne connaissais pas Bernadette Chirac étant née en 2001, je n'ai pas de souvenir du mandat de Jacques Chirac mais j'ai trouvé que ce film donne une bonne impression dans les grandes lignes de la vie qu'à peu vivre cette première dame qui super interessante en film et jouer par une très grande actrice qu'on contemple par son jeu.
Une comédie ni excellente, ni mauvaise, qui permet de se faire une sortie ciné et se laisse voir comme un film à la TV qu'on oublie après l'avoir vu.
Côté wokisme ou militantisme, le film reste sobre.
Au total, sans plus, ni prétentions, donc 3 étoiles.
Côté wokisme ou militantisme, le film reste sobre.
Au total, sans plus, ni prétentions, donc 3 étoiles.
Bernadette.. j'aurais dû y songer à deux fois avant d'aller voir ce film durant lequel je me suis ennuyé profondément.
Catherine Deneuve est une grande artiste mais je me suis rendu compte que je ne l'apprécie pas spécialement. Le personnage n'est pas attachant, le film est lent, pas drôle, pour ma part ce n'était pas une nécessité pour le cinéma français.
Catherine Deneuve est une grande artiste mais je me suis rendu compte que je ne l'apprécie pas spécialement. Le personnage n'est pas attachant, le film est lent, pas drôle, pour ma part ce n'était pas une nécessité pour le cinéma français.
J'ai passé un très bon moment et développé une tendresse particulière pour cette Bernadette Chirac si bien incarnée par Catherine Deneuve. Un peu déçue par le personnage de Jacques Chirac pourtant joué par un grand acteur du français. C'est très distrayant. Un peu en dessous de Potiche dans un registre similaire.
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