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Entre 1995 et 2007, le temps de la présidence de Jacques Chirac, nous allons revivre la trajectoire de sa femme Bernadette, née Chodron de Courcel.
Catherine Deneuve est encore une fois excellente dans ce rôle, à 80 printemps elle est toujours aussi bluffante !
Je ne sais pas si la génération n'ayant pas connu cette époque sera séduite par cette comédie corrosive, mais j'ai personnellement trouvé l'ensemble vraiment mordant et plutôt amusant.
Savoureux !!
Site CINEMADOURG.free.fr
Catherine Deneuve est encore une fois excellente dans ce rôle, à 80 printemps elle est toujours aussi bluffante !
Je ne sais pas si la génération n'ayant pas connu cette époque sera séduite par cette comédie corrosive, mais j'ai personnellement trouvé l'ensemble vraiment mordant et plutôt amusant.
Savoureux !!
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Bon moment de comédie, Catherine deneuve et Denis Podalydès sans oublier Michel Vuillermoz sont extra bien entendu on est dans la fiction avec quelques clin d'oeil. on rigole et cela nous fait du bien de nous détendre
a voir pour se faire du bien
a voir pour se faire du bien
Le 7 mai 1995, Jacques Chirac est élu Président de la République et Bernadette Chirac devient première Dame jusqu'en 2007.
Léa Domenach propose un portrait de Bernadette Chirac annoncé comme une "fiction inspirée de faits réels". La réalisatrice situe l'action entre 1995 et 2007, années de la présidence de Jacques Chirac. Elle séquence le film des dates politiques importantes et réelles de la présidence, exposant le rôle de Bernadette Chirac, de l'épouse potiche à la dame des Pièces Jaunes en passant par l'avisée conseillère générale de Corrèze.
On y retrouve "les anecdotes" connues de tous, la relation fusionnelle qui lie Claude Chirac et son père, Chirac introuvable la nuit du décès de Lady Di, le soutien d'Hilary Clinton à Bernadette, les prévisions de Bernadette Chirac sur les résultats de la dissolution de l'Assemblée nationale et du 1er tour de la présidentielle de 2002,...
On comprend donc que dans ce film "les faits réels" sont nombreux et on imagine que la fiction intervient uniquement dans la mise en scène et la mise en mots des coulisses de ces événements. C'est là que la comédie pourrait prendre toute sa place. Malheureusement, malgré quelques bons mots et situations cocasses, le film ne provoque que très peu le rire. La faute au montage, à l'écriture des scènes, au placement des punchline ? Toujours est-il que la mécanique de précisions nécessaire au rire n'est pas à l'oeuvre et que, globalement, le film ne trouve pas sa tonalité. Entre fidélité à la réalité, volonté de ne pas trop écorcher le portrait, nécessité de ne pas occulter le drame intime qui touchait le couple et le désir évident de faire rire, la réalisatrice ne parvient pas vraiment à se positionner.
Pourtant, le casting 5 étoiles ne démérite pas. Catherine Deneuve est parfaite dans ce rôle qui n'est pas sans évoquer celui déjà tenu dans Potiche, Michel Vuillermoz est plus vrai que nature en Jacques Chirac, Denis Podalydes campe un conseiller has been excellent, Laurent Stocker surprend en Sarkozy. Dans les rôles plus premier degrés des filles du couple, Sara Giraudeau et la trop rare Maud Wyler sont parfaites.
Dommage.
Léa Domenach propose un portrait de Bernadette Chirac annoncé comme une "fiction inspirée de faits réels". La réalisatrice situe l'action entre 1995 et 2007, années de la présidence de Jacques Chirac. Elle séquence le film des dates politiques importantes et réelles de la présidence, exposant le rôle de Bernadette Chirac, de l'épouse potiche à la dame des Pièces Jaunes en passant par l'avisée conseillère générale de Corrèze.
On y retrouve "les anecdotes" connues de tous, la relation fusionnelle qui lie Claude Chirac et son père, Chirac introuvable la nuit du décès de Lady Di, le soutien d'Hilary Clinton à Bernadette, les prévisions de Bernadette Chirac sur les résultats de la dissolution de l'Assemblée nationale et du 1er tour de la présidentielle de 2002,...
On comprend donc que dans ce film "les faits réels" sont nombreux et on imagine que la fiction intervient uniquement dans la mise en scène et la mise en mots des coulisses de ces événements. C'est là que la comédie pourrait prendre toute sa place. Malheureusement, malgré quelques bons mots et situations cocasses, le film ne provoque que très peu le rire. La faute au montage, à l'écriture des scènes, au placement des punchline ? Toujours est-il que la mécanique de précisions nécessaire au rire n'est pas à l'oeuvre et que, globalement, le film ne trouve pas sa tonalité. Entre fidélité à la réalité, volonté de ne pas trop écorcher le portrait, nécessité de ne pas occulter le drame intime qui touchait le couple et le désir évident de faire rire, la réalisatrice ne parvient pas vraiment à se positionner.
Pourtant, le casting 5 étoiles ne démérite pas. Catherine Deneuve est parfaite dans ce rôle qui n'est pas sans évoquer celui déjà tenu dans Potiche, Michel Vuillermoz est plus vrai que nature en Jacques Chirac, Denis Podalydes campe un conseiller has been excellent, Laurent Stocker surprend en Sarkozy. Dans les rôles plus premier degrés des filles du couple, Sara Giraudeau et la trop rare Maud Wyler sont parfaites.
Dommage.
Drôle tout simplement, on en attend pas forcément plus d'une comédie...surtout si au fond, l'analyse est assez fine.
Ça commence d'une manière assez inattendue et presque burlesque, et on ose espérer que cette comédie (désolé si cette qualification est ici inexacte mais c'est ainsi que ce long métrage est markété) va y aller à fond. Hélas,cet espoir est vite douché. Ce n'est pas vraiment drôle, mais plutôt sans fantaisie ni peps. On s'ennuie vite, et la prétendue émancipation de Bernadette est finalement très balisée par le protocole dont elle ne s'émancipe jamais.
Ça aurait pu être iconoclaste, c'est finalement très idolâtre - et le choix d'une personnalité aussi réac que Bernadette Chirac comme vedette d'un film pose cette question : méritait-elle d'être filmée avec tant de mansuétude ?
Ça aurait pu être iconoclaste, c'est finalement très idolâtre - et le choix d'une personnalité aussi réac que Bernadette Chirac comme vedette d'un film pose cette question : méritait-elle d'être filmée avec tant de mansuétude ?
Celui-là on l’attendait de pied ferme pour différentes raisons qui allaient de la curiosité à l’excitation en passant par la crainte. Jugez-en par vous-même... C’est d’abord un premier film d’une quasi inconnue, Léa Domenach. Une jeune cinéaste qui a réussi à emmener non seulement l’actrice française la plus prestigieuse et connue qui soit dans son projet : Catherine Deneuve. Mais pas que, puisqu’elle est pervenue aussi à faire un hold-up sur les sociétaires de la Comédie française avec le trio Michel Vuillermoz, Denis Podalydès et Laurent Stocker. Ensuite, ce « Bernadette » est un portrait très librement inspiré de l’ancienne Première Dame de France, Bernadette Chirac, un personnage iconique donc. Enfin, parce que le traitement acidulé, comique et coloré est particulièrement osé. C’était donc un pari sacrément culotté. Et bien on peut dire avec assurance qu’il est réussi haut la main, même si le film n’est pas non plus un chef-d’œuvre ou un immanquable.
Si le biopic, quel qu’il soit, est un genre à la mode et récurrent sur les écrans, que ce soit d’hommes politiques ou de stars de la chanson voire même de personnalités people, le faux biopic est beaucoup moins courant et s’avère bien plus risqué et moins consensuel. Dans le même genre et également français on pense bien sûr à celui de Céline Dion, « Aline ». Valérie Lemercier y réussissait un challenge encore plus culotté en interprétant la chanteuse de son enfance à l’âge adulte grâce à la magie des effets spéciaux avec brio. La tonalité comique est la même, un tantinet décalée et clairement loufoque, sans pour autant verser dans l’irréel. Mieux, elle ajoute même à ce cocktail détonnant, un soupçon d’excentricité avec une esthétique loufoque et acidulée mais pas trop. On a également droit àune (gentille) satire de la politique française et des hautes sphères du pouvoir, tendance « Quai d’Orsay » mais en moins virulent et sarcastique. En somme cette version troisième âge, vintage et franchouillarde de « La Revanche d’une blonde » est délicieuse et nous fait passer un bon moment de comédie populaire originale et réussie.
Dès le prologue où un chœur d’église nous annonce en chantant que cette itération sur la vie de Bernadette Chirac est imagée et s’inspire très librement de la réalité, on sent que l’on va s’amuser et passer un moment de cinéma hors des sentiers battus. Bien sûr on aurait aimé que cela soit plus méchant et on se demande ce qu’un Étienne Chatilliez de la grande époque aurait fait d’un tel sujet. Aussi, le rire franc aurait été préférable au sourire permanent mais les intentions comiques sont là et fonctionnent. Il y a quelques bons gags à se mettre sous la dent, surtout dus au comique de situation quand Bernadette décide de prendre les choses en main. En revanche, la distribution en or massif fait le travail et plus encore : Deneuve est impériale dans le rôle-titre et montre encore une fois après « Potiche » ou « Elle s’en va » qu’elle sait aussi faire rire. Sara Giraudeau excelle en Claude Chirac, Podalydès est à l’aise dans celui du conseiller en image mais c’est Vuillermoz qui emporte tous les suffrages en Chirac dépassé par les évènements. Ajoutons à cela une image très soignée et agréable à l’œil et on comprend qu’on aurait tort de se priver.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Si le biopic, quel qu’il soit, est un genre à la mode et récurrent sur les écrans, que ce soit d’hommes politiques ou de stars de la chanson voire même de personnalités people, le faux biopic est beaucoup moins courant et s’avère bien plus risqué et moins consensuel. Dans le même genre et également français on pense bien sûr à celui de Céline Dion, « Aline ». Valérie Lemercier y réussissait un challenge encore plus culotté en interprétant la chanteuse de son enfance à l’âge adulte grâce à la magie des effets spéciaux avec brio. La tonalité comique est la même, un tantinet décalée et clairement loufoque, sans pour autant verser dans l’irréel. Mieux, elle ajoute même à ce cocktail détonnant, un soupçon d’excentricité avec une esthétique loufoque et acidulée mais pas trop. On a également droit àune (gentille) satire de la politique française et des hautes sphères du pouvoir, tendance « Quai d’Orsay » mais en moins virulent et sarcastique. En somme cette version troisième âge, vintage et franchouillarde de « La Revanche d’une blonde » est délicieuse et nous fait passer un bon moment de comédie populaire originale et réussie.
Dès le prologue où un chœur d’église nous annonce en chantant que cette itération sur la vie de Bernadette Chirac est imagée et s’inspire très librement de la réalité, on sent que l’on va s’amuser et passer un moment de cinéma hors des sentiers battus. Bien sûr on aurait aimé que cela soit plus méchant et on se demande ce qu’un Étienne Chatilliez de la grande époque aurait fait d’un tel sujet. Aussi, le rire franc aurait été préférable au sourire permanent mais les intentions comiques sont là et fonctionnent. Il y a quelques bons gags à se mettre sous la dent, surtout dus au comique de situation quand Bernadette décide de prendre les choses en main. En revanche, la distribution en or massif fait le travail et plus encore : Deneuve est impériale dans le rôle-titre et montre encore une fois après « Potiche » ou « Elle s’en va » qu’elle sait aussi faire rire. Sara Giraudeau excelle en Claude Chirac, Podalydès est à l’aise dans celui du conseiller en image mais c’est Vuillermoz qui emporte tous les suffrages en Chirac dépassé par les évènements. Ajoutons à cela une image très soignée et agréable à l’œil et on comprend qu’on aurait tort de se priver.
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Un petit film quand même malgré le jeu des acteurs plutôt bons mais dans un genre de comédie facile aux effets de laquelle au mieux on sourit avec sympathie. Le message qui passe à travers une caricature du monde politique, c'est la "dénonciation ", si on peut dire d'un monde de machos ridicules, incapables de donner aux femmes la place qu'elles méritent. Voilà ce qu'est sensé incarner une version très optimisée de Bernadette Chirac. Autre message indirect celui là : la popularité des hommes ou femmes politiques de nos jours tient plus à leur capacité à se faire valoir par leur proximité avec le peuple, relayée et orchestrée par les médias ( ici opération pièces jaunes) que par leurs propositions et initiatives politiques. Pas si joyeux tout ça au fond ! Un peu l'esprit des Guignols qui sous ses airs bon enfant fut une émission qui entama gravement l'image des hommes politiques aux yeux du grand public.
RealPrime
Biopic, satire, faits bien réels, cette 1h30 sur cette partie ou plutôt grande partie de la vie de Mme Chirac aura eu le mérite de mettre en lumière bien des vérités sur le pourquoi cette femme si mythique était aussi froide et "ringarde" aux yeux de la classe politique. On peut quasiment dire que ce récit est égal ou presque à "Barbie" tant la place féminine y est montrée d'une spectaculaire manière. Entre la fille Chirac, préférée du paternel, à ses côtés et au rôle de "second", une autre que personne n'avait eu vent niveau existence pour cause de santé ultra fragile, Bernadette enfin et surtout, dont Catherine Deneuve aura superbement sût apportée un charisme, une délicatesse ainsi que la geine nous en aura profondément apprit sur cette première dame qui, même dans les années 90, n'avait pour seul fonction d'être "décorative" aux yeux de son mari qui lui, inversement total, prenait toute la lumière et les bonnes remarques. Une femme à réputation détestable puisque jamais mise en avant, jamais autorisé à ouvrir sa bouche sans qu'on lui en donne approbation, une femme sans arrêt scrutée du regard fixer d'un Chirac nous donnant une impression extrêmement négative, froide et simplement machiste. Quant à l'entourage politiquement masculin, il met là aussi en avant une supériorité de testostérones ou la gente féminine n'en était encore qu'à ses lointains débuts, ou presque. Des seconds rôles méconnus mais passionnants à suivre sur le quotidien de la vie Elyséenne ou les coups, hauts et bas furent permis pour nuire l'image de l'une et élevée celle de l'autre. Le femme, même première de la nation, n'était décidément pas à l'Elysée pour dire ses mots mais bien au contraire, se contenter de suivre et dire bêtement oui ou non. Un biopic comique qui semble si réel que l'on se demanderais s'il y eu ou non des passages fictifs donnant naissance au charactère nouveau de Bernadette prenant malin plaisir à la suite, d'humilier profondément celles et ceux l'ayant jadis, humilier. Bernadette un jour, Bernadette toujours. Chirac un jour, Chirac toujours.
Catherine Deneuve assure comme d'habitude, mais le scénario est bancal. Il faut reconnaître qu'à part les pièces jaunes, il n'y avait pas grand chose à raconter. Aucun rebondissement, ce film est plat. Seul Podalydes tire son épingle du jeu.
Que dire de cette grande dame Catherine Deneuve qui endosse parfaitement le rôle de Bernadette Chirac j'ai ri par moment aller y vous serez pas déçu.
Nul ce film et Deneuve pas du tout crédible. On prend vraiment le public pour des ignares. Bernadette Chirac était détestable meprisante et je ne vois pas l utilité de faire un film sur une telle personne.
Film vide, insignifiant, insipide.
On sait pas ni où il veut aller ni ce qu'il veut raconter bref un film sans queue ni tête où on a l'impression qu'il n'y a aucune trame narrative
On sait pas ni où il veut aller ni ce qu'il veut raconter bref un film sans queue ni tête où on a l'impression qu'il n'y a aucune trame narrative
Dik ap Prale
Qu'est-ce-que c'est drôle et bien fait. Ça flingue les margoulins, ça taille des costards aux personnes de petites envergures et le portrait de la première dame est cocasse, et malgré toute fiction annoncée qui viendrait supplanter la veracité des faits, ce qu'on y voit est ce qu'on en a retenu, ici avec un humour inespéré à l'image de cette période présidentielle. Un petit coup de cœur.
"Bernadette", biopic satirique français réalisé par Léa Domenach et sorti en 2023. Premier long métrage de la réalisatrice.
Un faux biopic qui s'inscrit sous les gouvernements Chirac de 1995 à 2007, avec Catherine Deneuve dans le rôle de Bernadette Chirac et Michel Vuillermoz dans celui de Jacques Chirac. Sara Giraudeau (Claude Chirac),Denis Podalydès (le directeur de cabinet Bernard Niquet), Laurent Stocker ( Nicolas Sarkozy), François Vincentelli (Dominique de Villepin), Lionel Abelanski (excellent dans le rôle du chauffeur) et Artus ( David Douillet). Une biographie fantaisiste très librement inspirée de la vie de Bernadette Chirac et de la vie politique de l'époque. "Bernadette" n'est pas une reconstitution fidèle mais utilise les noms, les protagonistes et les évènements de la période.
Un traitement plutôt drôle avec l'intervention d'un chœur qui commente en chansons. Maltraitance du petit personnel, ambitions de la femme du président dans cet univers machiste et bourgeois, c'est drôle et original, bien réalisé.
La réalisatrice a souhaité aller au-delà de l'image du couple Chirac laissée par les guignols de l'info à l'époque.
Claude Chirac n'a pas été consultée et ne semble pas avoir apprécié le film notamment pour l'impudeur concernant la mention de sa sœur dans cette parodie.
Si un biopic sur "Bernadette Chirac" ne parait, a priori, pas motiver l'intérêt des foules, le film est une bonne surprise.
Un faux biopic qui s'inscrit sous les gouvernements Chirac de 1995 à 2007, avec Catherine Deneuve dans le rôle de Bernadette Chirac et Michel Vuillermoz dans celui de Jacques Chirac. Sara Giraudeau (Claude Chirac),Denis Podalydès (le directeur de cabinet Bernard Niquet), Laurent Stocker ( Nicolas Sarkozy), François Vincentelli (Dominique de Villepin), Lionel Abelanski (excellent dans le rôle du chauffeur) et Artus ( David Douillet). Une biographie fantaisiste très librement inspirée de la vie de Bernadette Chirac et de la vie politique de l'époque. "Bernadette" n'est pas une reconstitution fidèle mais utilise les noms, les protagonistes et les évènements de la période.
Un traitement plutôt drôle avec l'intervention d'un chœur qui commente en chansons. Maltraitance du petit personnel, ambitions de la femme du président dans cet univers machiste et bourgeois, c'est drôle et original, bien réalisé.
La réalisatrice a souhaité aller au-delà de l'image du couple Chirac laissée par les guignols de l'info à l'époque.
Claude Chirac n'a pas été consultée et ne semble pas avoir apprécié le film notamment pour l'impudeur concernant la mention de sa sœur dans cette parodie.
Si un biopic sur "Bernadette Chirac" ne parait, a priori, pas motiver l'intérêt des foules, le film est une bonne surprise.
Un film qui nous replonge dans les années 90, une bouffée de fraîcheur, des musiques iconiques. Une très belle histoire de la femme et épouse avec de l'humour du tact et de la profondeur. Un très beau rôle pour Catherine Deneuve qui joue à la perfection. On apprécie également la notion de la famille Chirac ! Il est par contre difficile de faire la différence entre la romance et la réalité. Les dialogues sont vif et drôle, il y a un bon état d esprit qui offre un vrai plaisir ! Le film est tourné vers Bernadette Chirac avec une véritable ascension et prise en compte de ses intentions.
Il
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