AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,4
1034 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Here – Les plus belles années de notre vie ?
5
18 critiques
4
47 critiques
3
46 critiques
2
18 critiques
1
12 critiques
0
11 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Chef d'oeuvre ❤️ Sublime, innovant, émouvant c'est pour ce genre de film que je vais au cinéma. Ne passez pas @ côté ce serait dommage...
Un film qui consiste en une succession de clichés usés jusqu'à la corde sensés tirer quelques larmes aux spectateurs américains (plutôt démocrates ou républicains modérés). Le ressort dramatique entre Tom Hanks et Robin Wright est le même que celui utilisé dans Forrest Gump :
spoiler:
le mari un peu benêt qui n'ose pas quitter sa maison de famille alors que sa femme aurait voulu vivre une autre vie. Elle finit frappée par la maladie...
Ils ont mené une vie médiocre mais au final ils ne regrettent rien car tous leurs souvenirs sont dans cette maison, et c'est grâce à celle ci qu'elle ne perd pas complètement la mémoire...
Petite source d'agacement supplémentaire : spoiler: les indiens sont montrés comme de gentils sauvages qui sont capables d'amour et d'honorer leurs morts et on passe allègrement à la maison coloniale du frère de Benjamin Franklin, bâtie sur le même décor, sans ne serait-ce que suggérer que les seconds ont exterminé les premiers.
Faudrait pas passer pour des wokes quand même...
Ne perdez pas votre temps.
Petite source d'agacement supplémentaire : spoiler: les indiens sont montrés comme de gentils sauvages qui sont capables d'amour et d'honorer leurs morts et on passe allègrement à la maison coloniale du frère de Benjamin Franklin, bâtie sur le même décor, sans ne serait-ce que suggérer que les seconds ont exterminé les premiers.
Faudrait pas passer pour des wokes quand même...
Ne perdez pas votre temps.
Émouvant, triste, les vies nos vies magnifiquement interprétées . C’est une prouesse technique artistique de nous emmener si loin dans la réflexion de notre existence avec un plan fixe…
Bravo à Robert Z pour ce cinéma hors du commun
Bravo à Robert Z pour ce cinéma hors du commun
Ce film est formidable : il apporte de la fraîcheur, de la tendresse ,de l'amour en suivant des générations de familles dans 1 maison .
Partagé sur ce film :
D’un côté, il est très qualitatif au niveau des décors, des costumes & du jeu d’acteurs-trices, mais aussi impressionnant par ses FX / maquillage pour rajeunir les protagonistes & par son montage original. Et excellente B.O. encore Mr. Zemeckis!
De l’autre, c’est ce montage qui est très déroutant & qui parfois fait mal aux yeux, au point de décrocher.
Les autres FX sont quelquefois de qualité moyenne.
Des ressemblances avec Forrest Gump !
Mais bien sûr bien moins puissant que ce classique :)
D’un côté, il est très qualitatif au niveau des décors, des costumes & du jeu d’acteurs-trices, mais aussi impressionnant par ses FX / maquillage pour rajeunir les protagonistes & par son montage original. Et excellente B.O. encore Mr. Zemeckis!
De l’autre, c’est ce montage qui est très déroutant & qui parfois fait mal aux yeux, au point de décrocher.
Les autres FX sont quelquefois de qualité moyenne.
Des ressemblances avec Forrest Gump !
Mais bien sûr bien moins puissant que ce classique :)
Franchement, il faut absolument aller voir ce nouveau film de Robert Zemeckis. On parle quand même du réalisateur derrière des classiques comme Forrest Gump, Retour vers le futur, Le Pôle Express, et Seul au monde. Bref, que des réussites ! Et une fois de plus, Zemeckis prouve son talent avec ce dernier opus qui, croyez-moi, est à la hauteur de sa réputation.
Dès le départ, l'idée derrière ce film est brillante, et la réalisation technique est impressionnante. On est plongé dans une fresque magnifique, racontée à travers un plan fixe unique. On y découvre une multitude d’histoires qui défilent sous nos yeux, des dinosaures à nos jours. C’est un véritable kaléidoscope d’émotions : du rire, des moments de passion, des larmes, et du drame. Il se passe quelque chose de magique devant ce film, on est happé par ce fameux plan et on se sent presque comme dans une pièce de théâtre, où chaque scène est vécue intensément. C’est encore une fois une idée de génie de Zemeckis, et c’est ce qui rend le film si unique.
Côté casting, on retrouve bien sûr Robin Wright et Tom Hanks, qui livrent des performances impeccables, comme toujours. Mais j’aimerais particulièrement saluer Paul Bettany, qui brille ici. Son personnage est littéralement le plus marquant du film. Il excelle dans ce registre de comédie dramatique et ajoute une profondeur incroyable aux scènes.
Le film présente parfois ses séquences dans un ordre non linéaire, créant des liens entre elles, tantôt de manière subtile, tantôt de façon plus évidente. C’est un choix audacieux, mais maîtrisé, et cela donne une dimension supplémentaire à l’histoire. La bande originale, signée Alan Silvestri, accompagne chaque scène à la perfection et magnifie l’ensemble. Les effets spéciaux, notamment pour vieillir et rajeunir les personnages, sont bluffants. On n'a jamais l'impression que ces techniques prennent le dessus, elles servent simplement à rendre l’expérience encore plus immersive.
Honnêtement, on ne s’ennuie pas une seule seconde, malgré le parti pris audacieux d'un plan unique. Les personnages, les dialogues authentiques, les décors, l’histoire, tout est dynamique. C’est un film qui nous emporte dès les premières minutes et ne nous lâche plus. Préparez-vous à passer un moment exceptionnel, à vous laisser porter par cette œuvre magistrale de Zemeckis.
Dès le départ, l'idée derrière ce film est brillante, et la réalisation technique est impressionnante. On est plongé dans une fresque magnifique, racontée à travers un plan fixe unique. On y découvre une multitude d’histoires qui défilent sous nos yeux, des dinosaures à nos jours. C’est un véritable kaléidoscope d’émotions : du rire, des moments de passion, des larmes, et du drame. Il se passe quelque chose de magique devant ce film, on est happé par ce fameux plan et on se sent presque comme dans une pièce de théâtre, où chaque scène est vécue intensément. C’est encore une fois une idée de génie de Zemeckis, et c’est ce qui rend le film si unique.
Côté casting, on retrouve bien sûr Robin Wright et Tom Hanks, qui livrent des performances impeccables, comme toujours. Mais j’aimerais particulièrement saluer Paul Bettany, qui brille ici. Son personnage est littéralement le plus marquant du film. Il excelle dans ce registre de comédie dramatique et ajoute une profondeur incroyable aux scènes.
Le film présente parfois ses séquences dans un ordre non linéaire, créant des liens entre elles, tantôt de manière subtile, tantôt de façon plus évidente. C’est un choix audacieux, mais maîtrisé, et cela donne une dimension supplémentaire à l’histoire. La bande originale, signée Alan Silvestri, accompagne chaque scène à la perfection et magnifie l’ensemble. Les effets spéciaux, notamment pour vieillir et rajeunir les personnages, sont bluffants. On n'a jamais l'impression que ces techniques prennent le dessus, elles servent simplement à rendre l’expérience encore plus immersive.
Honnêtement, on ne s’ennuie pas une seule seconde, malgré le parti pris audacieux d'un plan unique. Les personnages, les dialogues authentiques, les décors, l’histoire, tout est dynamique. C’est un film qui nous emporte dès les premières minutes et ne nous lâche plus. Préparez-vous à passer un moment exceptionnel, à vous laisser porter par cette œuvre magistrale de Zemeckis.
Dans Here, Robert Zemeckis convoque sa fibre expérimentale, fidèle à sa carrière, pour déploier une réflexion sur la spatio-temporalité.
Le dispositif est simple : un lieu de vie, demeure immuable à l’écran. Chaque case apparaissant dévoile, par fragment, cet espace à différentes époques. Inspiré du roman graphique éponyme de Richard McGuire, le film s’attarde sur un point fixe, un salon dont les murs et le sol absorbent la mémoire collective. À travers ses fragments de vies successives, le réalisateur compose une fresque où l'ode n’est pas dans l’éclat des gestes héroïques ou des drames universels, mais dans l’écho des vies ordinaires, dans le passage imperceptible des jours.
Le rajeunissement numérique, souvent décrié, trouve ici une justification organique : il n’est pas un artifice, mais un outil pour souligner la fluidité des temporalités. Ce procédé aligne la technique avec le récit, permettant une continuité où les vies s’imbriquent, se répondent et se diluent.
Certes, Zemeckis s’aventure parfois dans des facilités scénaristiques, notamment des parallèles surlignés (les violences policières ou l’évocation du COVID). Mais ces maladresses ne ternissent pas la puissance évocatrice de l'ensemble. Ici, l’intimité de chaque fragment de vie contrebalance les grands récits historiques.
La musique d’Alan Silvestri, tout en retenue, renforce l’aspect méditatif de l’œuvre. La séquence finale, véritable apothéose visuelle, libère enfin le cadre pour un envol mémoriel d’une puissance rare, synthétisant le paradoxe de l’insignifiance humaine face à l’immensité du temps.
En sublimant la banalité, Here n’illustre pas la grandeur cachée des vies humaines, mais les inscrit dans une vaste fresque où chaque élément, aussi insignifiant qu’il puisse paraître, participe à un tout qui dépasse notre compréhension. Zemeckis capte l’éphémère pour le suspendre, non pas pour lui donner un sens, mais pour nous inviter à le contempler.
Le dispositif est simple : un lieu de vie, demeure immuable à l’écran. Chaque case apparaissant dévoile, par fragment, cet espace à différentes époques. Inspiré du roman graphique éponyme de Richard McGuire, le film s’attarde sur un point fixe, un salon dont les murs et le sol absorbent la mémoire collective. À travers ses fragments de vies successives, le réalisateur compose une fresque où l'ode n’est pas dans l’éclat des gestes héroïques ou des drames universels, mais dans l’écho des vies ordinaires, dans le passage imperceptible des jours.
Le rajeunissement numérique, souvent décrié, trouve ici une justification organique : il n’est pas un artifice, mais un outil pour souligner la fluidité des temporalités. Ce procédé aligne la technique avec le récit, permettant une continuité où les vies s’imbriquent, se répondent et se diluent.
Certes, Zemeckis s’aventure parfois dans des facilités scénaristiques, notamment des parallèles surlignés (les violences policières ou l’évocation du COVID). Mais ces maladresses ne ternissent pas la puissance évocatrice de l'ensemble. Ici, l’intimité de chaque fragment de vie contrebalance les grands récits historiques.
La musique d’Alan Silvestri, tout en retenue, renforce l’aspect méditatif de l’œuvre. La séquence finale, véritable apothéose visuelle, libère enfin le cadre pour un envol mémoriel d’une puissance rare, synthétisant le paradoxe de l’insignifiance humaine face à l’immensité du temps.
En sublimant la banalité, Here n’illustre pas la grandeur cachée des vies humaines, mais les inscrit dans une vaste fresque où chaque élément, aussi insignifiant qu’il puisse paraître, participe à un tout qui dépasse notre compréhension. Zemeckis capte l’éphémère pour le suspendre, non pas pour lui donner un sens, mais pour nous inviter à le contempler.
Sympathique (ironie) de voir que les plus belles années de la vie d'une femme est de faire à manger pour son homme, le ménage et élever des gosses. Pendant que monsieur travaille et rapporte de l'argent et que son "iiiiimmense" sacrifice doit être applaudi des deux mains par sa petite famille.
J’ai passé un bon moment. La façon dont c’est filmé est juste parfaite pour ce que veut faire ressortir et ressentir le film. Les sujets absorbés sont d’ailleurs très touchants, ont ressent vraiment chaque joie et peine. Je suis un peu déçu de ne pas avoir vue un développement plus profond pour chacune des famille même si je comprends pourquoi.
Le style est original , bien réalisé et c'est le principal intérêt au film. Pour l'histoire ou plutôt les histoires qui n'ont pas forcement de liens , cela devient répétitifs et un peu ennuyeux.
Nous voulions voir juré n2, mais par malchance la salle était complète, par dépit nous nous sommes dirigés vers here. Nous nous sommes sentit retenus contre notre gré pendant 2h, par ce film dont la moitié des images sont de l’intelligence artificielle, et ça se voit ! Quel ennuie, des fragment de différentes époques inutiles, qui n’aboutissent à rien. 12€ et 2 heures de perdus. Je ne vous recommande pas.
contrairement à Forest Gump, c'est très plat, aucune émotion et on s'ennuie à mourir. aucun intérêt.
Très beau film sur le temps qui passe, les lieux qui restent. La vie n'est qu'un moment sur la Terre.
Le dispositif de la caméra fixe est vite oublié, les différents sauts dans le temps qui s'entrechoquent, ne sont pas gênants pour la compréhension. On ne s'ennuie jamais et on est souvent ému.
Le dispositif de la caméra fixe est vite oublié, les différents sauts dans le temps qui s'entrechoquent, ne sont pas gênants pour la compréhension. On ne s'ennuie jamais et on est souvent ému.
Zemeckis dans une nouvelle collaboration avec son couple de Forrest Gump mais cette fois pour raconter l'histoire d'une maison, des dinosaures jusqu'aux notre époque actuelle, sous un seul angle. Cela peut paraître ennuyeux ou brouillon au premier abord mais très vite on se plonge avec les différentes familles qui y habitent en découvrant leurs joies, leurs peines, leurs choix... grâce à un montage très agréable. Le film est parfois très touchant mais quelques histoires paraissent inutiles et n'apportent pas grand chose (si ce n'est une vie supplémentaire).
Un film différent mais une belle histoire. je vous conseille le film, surtout si comme moi vous êtes fans de Forrest Gump et de Tom hanks
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse