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Avertissement : ce film fera fondre même les cœurs les plus durs. D'une délicatesse et d'une pudeur infinie, La Passion de Dodin Bouffant est une petite merveille qui donne envie d'aimer Juliette Binoche et Benoît Magimel comme jamais.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Quant aux interprétations de Benoît Magimel et de Juliette Binoche, qui ont vécu à la ville une histoire d'amour de cinq ans, elles sont irréprochables. En résumé, tous les ingrédients sont réunis pour satisfaire l'appétit des cinéphiles, en France et outre-Atlantique.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Presque par surprise, La Passion de Dodin Bouffant finit ainsi par émouvoir avec ses beaux personnages que le cinéaste filme avec amour, dans de longs plans laissant tout loisir à Magimel et Binoche, impériaux, de briller. Ou comment prouver tout le potentiel de la cuisine comme lien humain.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Le pot-au-feu est un pot-au-feu d’amour. La préparation est grandiose et Tràn Anh Hùng sublime ce plat rustique traditionnel, mettant en images l’écriture veloutée et exquise du roman de 1924 de Marcel Rouff, avec une sensibilité telle que le partage de ce festin romantique épicurien se dévore avec passion.
Avec ses lumières diffuses dignes de tableaux classiques, la beauté de l'image traduit bien la gourmandise, la sensualité, le côté quasi-alchimique de cette quête de saveurs.
Tran Anh Hung filme un festival de couleurs dans tous ces mets préparés, servis et dégustés, au cœur d’une atmosphère nonchalante, où le frivole devient l’essentiel. Rejoignez ce temple des délices, dégustez ce repas festif, bien accompagné(e) de préférence, pour le partager.
Benoît Magimel et Juliette Binoche sont les têtes d’affiche de la belle romance gastronomique de Tran Anh Hung, où bouillonnent une immense tendresse et une drôle de sensualité culinaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Dans l’intimité d’une cuisine de la Belle Époque, avec de rares incursions dans la salle à manger, la chambre à coucher ou le potager, La Passion de Dodin Bouffant nourrit le corps et l’esprit des amours ancillaires, pures et sincères, entre le maître d’un château et sa cuisinière. Au milieu des fourneaux, la grandeur des sentiments s’exprime à travers un art culinaire d’excellence.
Benoît Magimel et Juliette Binoche réussissent à faire sentir leur plaisir de jouer ensemble dans cette fable naturaliste et romantique qui prend son temps.
Benoît Magimel incarne à la perfection l’amoureux transi qui fait tout pour séduire sa belle, alors qu’il n’est « ni Chinois, ni poète » et surtout qu’Eugénie ne veut pas être « sa femme » mais sa cuisinière.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Tran Han Hung filme les recettes de Dodin comme Wong Kar Wai filmait le kung fu de Ip Man : art du temps vertigineux, infinie dilatation de l’instant qui donne autant de puissance à un geste de cuisine qu’à un regard volé entre les deux protagonistes.
La critique complète est disponible sur le site Première
La chorégraphie des marmites se double de celle des amants, d’autant plus touchante qu’elle est incarnée par deux comédiens eux aussi en parfaite harmonie : Benoît Magimel et Juliette Binoche, dont on sait qu’ils ont partagé leur vie entre 1999 et 2003, union qui a donné naissance à une fille.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Avec Benoît Magimel et Juliette Binoche aux fourneaux, ce long-métrage de Tran Anh Hung dépeint un art culinaire emblématique du génie français. Si la cuisine y est magnifiée, les dialogues ampoulés alourdissent le propos.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
La haute gastronomie est sa «raison de vivre», morbide et vitale, comme chacun d’entre nous en entretient d’autres tout aussi dévorantes, et finit par se confondre avec la vie elle-même. C’est effrayant, et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Dommage, alors, que la subtile alchimie des jeux [de Binoche et Magimel] soit écrasée par la mise en scène gargantuesque du réalisateur qui, en gros plans façon food porn, [une] farandole d’images dont l’accumulation, moins qu’appétissante, génère presque, malgré elle, un effet comique.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Des dialogues ampoulés rendent par endroits ce huis clos indigeste. Mais on peut aussi se délecter de ce gargantuesque hommage à la cuisine française, grâce à une mise en scène généreuse et à la finesse de jeu de Benoit Magimel et de Juliette Binoche, remarquables.
Dans ce récit où règnent l’amour et le respect, un hors-champ acide finit par tarauder : les conditions économiques d’existence des mets de luxe concoctés, que le film prend le parti d’oblitérer [...].
On a beau se demander comment le film a raflé le prix de la mise en scène du plus prestigieux des festivals internationaux, il faut le reconnaître : ce ragoût est aussi, à sa manière, un OVNI.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
On a l’impression d’une œuvre enluminée, raffinée, élégante mais sans enjeu, et sans saveur, sans piquant, tant elle reste enfermée dans une représentation muséale de la cuisine et du couple.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Le jury du dernier Festival de Cannes lui a attribué le prix de la mise en scène, pensant sans doute que faire circuler une caméra entre les poêles et les casseroles en plan-séquence, était synonyme de style. Mais c’est juste de la pure mécanique, sans âme ni délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Tout cela est bien pauvre, quand on sait ce que la table et les repas ont pu produire comme chefs-d’œuvre au cinéma – La Grande Bouffe (1973), de Marco Ferreri, entre autres.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
On nous vend une ode à la gastronomie française, on se retrouve devant une pellicule en conserve — qui va représenter notre pays dans la sélection à l’Oscar du meilleur film étranger — vantant les mérites de la cuisine d’antan. Et de la société qui s’en régalait : les femmes en cuisine, les hommes à table… Hors-sol, hors d’âge, presque écœurant…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Avec un film qui tient peut-être moins du cinéma que de l’imagerie d’Épinal, Trân Anh Hùng nous sert une célébration ampoulée du mythe de la gastronomie française, où le food porn se croise à un conservatisme rance.
CONTRE : Et que dire du Prix de la mise en scène reçu au Festival de Cannes, sinon qu’un réalisateur qui ose enchaîner une nature morte de poire pochée avec un plan sur les fesses nues de Juliette Binoche mériterait plutôt la Palme du mauvais goût ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
Avertissement : ce film fera fondre même les cœurs les plus durs. D'une délicatesse et d'une pudeur infinie, La Passion de Dodin Bouffant est une petite merveille qui donne envie d'aimer Juliette Binoche et Benoît Magimel comme jamais.
Bande à part
Un film délectable, où l'art de cuisiner avec soin et de déguster en conscience se déploie magnifiquement.
CNews
Quant aux interprétations de Benoît Magimel et de Juliette Binoche, qui ont vécu à la ville une histoire d'amour de cinq ans, elles sont irréprochables. En résumé, tous les ingrédients sont réunis pour satisfaire l'appétit des cinéphiles, en France et outre-Atlantique.
CinemaTeaser
Presque par surprise, La Passion de Dodin Bouffant finit ainsi par émouvoir avec ses beaux personnages que le cinéaste filme avec amour, dans de longs plans laissant tout loisir à Magimel et Binoche, impériaux, de briller. Ou comment prouver tout le potentiel de la cuisine comme lien humain.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le pot-au-feu est un pot-au-feu d’amour. La préparation est grandiose et Tràn Anh Hùng sublime ce plat rustique traditionnel, mettant en images l’écriture veloutée et exquise du roman de 1924 de Marcel Rouff, avec une sensibilité telle que le partage de ce festin romantique épicurien se dévore avec passion.
Femme Actuelle
Avec ses lumières diffuses dignes de tableaux classiques, la beauté de l'image traduit bien la gourmandise, la sensualité, le côté quasi-alchimique de cette quête de saveurs.
Franceinfo Culture
Tran Anh Hung filme un festival de couleurs dans tous ces mets préparés, servis et dégustés, au cœur d’une atmosphère nonchalante, où le frivole devient l’essentiel. Rejoignez ce temple des délices, dégustez ce repas festif, bien accompagné(e) de préférence, pour le partager.
L'Humanité
Benoît Magimel et Juliette Binoche sont les têtes d’affiche de la belle romance gastronomique de Tran Anh Hung, où bouillonnent une immense tendresse et une drôle de sensualité culinaire.
Le Dauphiné Libéré
Dans l’intimité d’une cuisine de la Belle Époque, avec de rares incursions dans la salle à manger, la chambre à coucher ou le potager, La Passion de Dodin Bouffant nourrit le corps et l’esprit des amours ancillaires, pures et sincères, entre le maître d’un château et sa cuisinière. Au milieu des fourneaux, la grandeur des sentiments s’exprime à travers un art culinaire d’excellence.
Le Journal du Dimanche
Benoît Magimel et Juliette Binoche réussissent à faire sentir leur plaisir de jouer ensemble dans cette fable naturaliste et romantique qui prend son temps.
Le Point
Plus qu’un film, voici une leçon de vie qui a bien des atouts pour représenter la France aux prochains Oscars.
Ouest France
Bien que très académique, le film ne mérite pas le déchaînement des protestations.
Paris Match
Benoît Magimel incarne à la perfection l’amoureux transi qui fait tout pour séduire sa belle, alors qu’il n’est « ni Chinois, ni poète » et surtout qu’Eugénie ne veut pas être « sa femme » mais sa cuisinière.
Première
Tran Han Hung filme les recettes de Dodin comme Wong Kar Wai filmait le kung fu de Ip Man : art du temps vertigineux, infinie dilatation de l’instant qui donne autant de puissance à un geste de cuisine qu’à un regard volé entre les deux protagonistes.
Télérama
POUR : D’une originalité savoureuse de bout en bout.
Voici
Un film surprenant et peu commun, comme hors du temps.
aVoir-aLire.com
Le plus beau film sur la gastronomie depuis Le Festin de Babette. Le métrage est en outre une romance touchante et un hommage subtil à l’artisanat.
La Voix du Nord
La chorégraphie des marmites se double de celle des amants, d’autant plus touchante qu’elle est incarnée par deux comédiens eux aussi en parfaite harmonie : Benoît Magimel et Juliette Binoche, dont on sait qu’ils ont partagé leur vie entre 1999 et 2003, union qui a donné naissance à une fille.
Le Figaro
Avec Benoît Magimel et Juliette Binoche aux fourneaux, ce long-métrage de Tran Anh Hung dépeint un art culinaire emblématique du génie français. Si la cuisine y est magnifiée, les dialogues ampoulés alourdissent le propos.
Les Fiches du Cinéma
Le come-back inattendu de Tràn Anh Hùng avec cet éloge mineur mais charmant de la grande cuisine française, et d’un amour passionné.
Libération
La haute gastronomie est sa «raison de vivre», morbide et vitale, comme chacun d’entre nous en entretient d’autres tout aussi dévorantes, et finit par se confondre avec la vie elle-même. C’est effrayant, et émouvant.
Marie Claire
Dommage, alors, que la subtile alchimie des jeux [de Binoche et Magimel] soit écrasée par la mise en scène gargantuesque du réalisateur qui, en gros plans façon food porn, [une] farandole d’images dont l’accumulation, moins qu’appétissante, génère presque, malgré elle, un effet comique.
Télé 7 Jours
Des dialogues ampoulés rendent par endroits ce huis clos indigeste. Mais on peut aussi se délecter de ce gargantuesque hommage à la cuisine française, grâce à une mise en scène généreuse et à la finesse de jeu de Benoit Magimel et de Juliette Binoche, remarquables.
Télé Loisirs
Cette histoire d'amour ne manque ni de charme ni de piquant.
Cahiers du Cinéma
Dans ce récit où règnent l’amour et le respect, un hors-champ acide finit par tarauder : les conditions économiques d’existence des mets de luxe concoctés, que le film prend le parti d’oblitérer [...].
Critikat.com
On a beau se demander comment le film a raflé le prix de la mise en scène du plus prestigieux des festivals internationaux, il faut le reconnaître : ce ragoût est aussi, à sa manière, un OVNI.
La Croix
Le film de Tran Anh Hung, qui magnifie un certain art culinaire français, représentera notre pays aux Oscars malgré ses lourdeurs.
Sud Ouest
On a l’impression d’une œuvre enluminée, raffinée, élégante mais sans enjeu, et sans saveur, sans piquant, tant elle reste enfermée dans une représentation muséale de la cuisine et du couple.
L'Obs
Le jury du dernier Festival de Cannes lui a attribué le prix de la mise en scène, pensant sans doute que faire circuler une caméra entre les poêles et les casseroles en plan-séquence, était synonyme de style. Mais c’est juste de la pure mécanique, sans âme ni délicatesse.
Le Monde
Tout cela est bien pauvre, quand on sait ce que la table et les repas ont pu produire comme chefs-d’œuvre au cinéma – La Grande Bouffe (1973), de Marco Ferreri, entre autres.
Le Parisien
On nous vend une ode à la gastronomie française, on se retrouve devant une pellicule en conserve — qui va représenter notre pays dans la sélection à l’Oscar du meilleur film étranger — vantant les mérites de la cuisine d’antan. Et de la société qui s’en régalait : les femmes en cuisine, les hommes à table… Hors-sol, hors d’âge, presque écœurant…
Les Inrockuptibles
Avec un film qui tient peut-être moins du cinéma que de l’imagerie d’Épinal, Trân Anh Hùng nous sert une célébration ampoulée du mythe de la gastronomie française, où le food porn se croise à un conservatisme rance.
Télérama
CONTRE : Et que dire du Prix de la mise en scène reçu au Festival de Cannes, sinon qu’un réalisateur qui ose enchaîner une nature morte de poire pochée avec un plan sur les fesses nues de Juliette Binoche mériterait plutôt la Palme du mauvais goût ?