Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Une maîtrise de chaque instant pour l’un des premiers films les plus impressionnants vus depuis longtemps.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un premier long métrage stupéfiant de maîtrise, d’intelligence et de subtilité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par Florence Colombani
Avec un sens consommé de la structure dramatique, Jonathan Millet réussit un suspense au cordeau en même temps qu'une étude mélancolique et profonde des traces que laisse le trauma sur la personnalité. La naissance d'un cinéaste à suivre absolument.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ouest France
par Thierry Chèze
Entre La Vie des autres et Les Patriotes, un film d'espionnage majeur.
20 Minutes
par Caroline Vié
(...) L’un des films les plus haletants de l’année.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Olivier Pélisson
Jubilation de l’esprit et plaisir pur de spectateur sont réunis dans cette aventure de nos temps modernes, travaillés par les blessures vivaces. Une très belle surprise.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifllet
Ce premier film à la fois puissant et sans concession, frappe par son approche sensible des traumatismes du totalitarisme.
Ecran Large
par La rédaction
Les Fantômes ne se laisse pas tout de suite approcher. Par son rythme lancinant, le film de Jonathan Millet se construit sur une montée progressive de la tension, en accord avec des émotions enfouies qui reviennent à la surface.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Ariane Combes-Savary
Premier long-métrage de fiction de Jonathan Millet, Les Fantômes est une plongée dans le réel dans ce qu'il a de plus violent et brutal. Le réalisateur de 38 ans, venu du documentaire, a imaginé un thriller saisissant, une fiction donc, pour entrer de plein fouet dans l'histoire récente de la guerre en Syrie.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Isabelle Danel
Tout concourt à l’immersion totale du spectateur dans cette quête terrible. Tendu, tenu, les Fantômes est aussi fascinant que poignant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Stéphane Dreyfus
L’intensité dramatique manque de la constance nécessaire pour réussir tout à fait cette plongée en eaux troubles. Sans dévoiler le dénouement de l’intrigue, la réflexion sur la vengeance et la justice gagne toutefois, par cette aridité scénaristique, en profondeur.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le film de Jonathan Millet se révèle un thriller d’espionnage sensoriel, mais aussi une réflexion intime sur le deuil, la vengeance, la quête obsessionnelle, fragile et sans fin. On admire la précision clinique du récit (pas si loin de l’ambiance du Bureau des légendes) et l’interprétation magnétique du comédien franco-tunisien Adam Bessa.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifllet
Un climat de suspense et de paranoïa.
Le Figaro
par O.D.
Les Fantômes s'avère un polar d'espionnage d'une brûlante actualité géopolitique, aussi impitoyable que percutant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Homme de l’ombre, solitaire et hanté, Hamid accapare tout le film, qui, suspendu à son souffle, aux bruits qu’il écoute, aux indices qu’il recoupe, diffuse une angoisse sourde et grandissante à laquelle les choix de réalisation (cadre serré, sons amplifiés et déformés, approche sensorielle) ne nous permettent pas d’échapper.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Catherine Balle
Jonathan Millet signe un thriller lent, très sombre, mais particulièrement saisissant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Ce premier film atypique surprend au cœur de chaque scène avec la subtilité de son scénario qui évite le didactisme et avec la précision de sa mise en scène hypnotique.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Jonathan Millet dresse le portrait d’un homme que le passé empêche de se reconstruire, tout en déployant une belle tension psychologique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Maud Tenda
Un premier film brillant et empathique qui retrace la traque d’un ancien criminel de guerre syrien par l’une de ses victimes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
Sobre et précis, le premier long métrage de fiction du cinéaste français calque son pas sur celui de son héros, un jeune Syrien sur la piste d’un ancien bourreau.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier de Bruyn
Pour ses débuts dans le cinéma de fiction, Jonathan Millet frappe fort. Dans son premier long-métrage captivant, l’ex-documentariste met en scène un jeune Syrien qui, à Strasbourg, traque un homme qu’il soupçonne d’avoir été son tortionnaire dans son pays natal. Un film à ne rater sous aucun prétexte.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Paris Match
par Yannick Vely
Premier long métrage d’une grande maîtrise, entre le film d’espionnage et une quête rédemptrice que ne renierait pas Paul Schrader, Les Fantômes est assurément le grand film de ce début d’été.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Yannick Lemarié
Si la proximité entre le réel et le film existe, elle ne s'aurait suffire. En insufflant de la fiction dans son matériau documentaire, Millet donne une dimension organique à la chasse. L'aura des acteurs, l'intensité de leur jeu, dévoilent quelque chose d'une urgence qui échappe d'ordinaire à l'œil du documentariste.
Première
par Damien Leblanc
Jonchée de filatures urbaines, la mise en scène montre comment l’étouffant art du mensonge cultivé par Hamid constitue en même temps son seul espoir de libération. Et le film de faire au final émerger la lumière pour affirmer que les existences les plus tragiques peuvent contre toute attente être apaisées dignement
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 2 semaines
par M.L.
Une tension spectaculaire pour une intrigue pourtant minimaliste : ce thriller est amené à devenir un classique.
Télérama
par Jacques Morice
Un acteur magnétique qu'on ne se lasse jamais de scruter et de sonder. Le spectateur devient pisteur, déchiffreur de son visage, masque impénétrable qui, pourtant, laisse filtrer un gouffre intérieur des plus troublants.
Voici
par D.B.
Avec un sens particulièrement affûté du récit et de la mise en scène, surtout pour un premier long métrage, Jonathan Millet signe, Les Fantômes, l'un des films français marquants de l'année où se confondent le thriller d'espionnage, l'actualité et l'étude de caractère.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Les Fantômes est un film fort, percutant, savamment mis en scène à travers le paysage intérieur du héros principal, les vestiges du souvenir de Syrie et les lieux en Europe ou au Liban qu’il parcourt. Plus que jamais, le long-métrage remémore la nécessité de ne pas oublier le drame qui continue de se jouer jour après jour à Alep ou ailleurs, assommés par la tyrannie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
Sonder cette matière bouillonnant sous un crâne (désir de justice, violence encaissée, plaies à demi refermées : la douleur-fantôme, en somme) sans percer la surface et en se tenant à l’extérieur : si elle s’estompe un peu une fois l’adversaire enfin dévisagé, cette foi dans la possibilité de tout miser sur le dehors d’un visage est le fil singulier par lequel Les Fantômes est maintenu sous tension.
Sud Ouest
par Cédric Coppola
En privilégiant la suggestion et le sensoriel, Jonathan Millet donne une véritable épaisseur à son œuvre, en plus de s’intéresser à la difficulté d’arriver à se reconstruire et à envisager l’avenir après avoir vécu le pire.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Critikat.com
par Corentin Lê
De ce récit de deuil, Jonathan Millet tire une enquête à la lisière du film d’espionnage, mais qui repose sur une structure et des effets rebattus.
CinemaTeaser
Une maîtrise de chaque instant pour l’un des premiers films les plus impressionnants vus depuis longtemps.
Le Journal du Dimanche
Un premier long métrage stupéfiant de maîtrise, d’intelligence et de subtilité.
Le Point
Avec un sens consommé de la structure dramatique, Jonathan Millet réussit un suspense au cordeau en même temps qu'une étude mélancolique et profonde des traces que laisse le trauma sur la personnalité. La naissance d'un cinéaste à suivre absolument.
Ouest France
Entre La Vie des autres et Les Patriotes, un film d'espionnage majeur.
20 Minutes
(...) L’un des films les plus haletants de l’année.
Bande à part
Jubilation de l’esprit et plaisir pur de spectateur sont réunis dans cette aventure de nos temps modernes, travaillés par les blessures vivaces. Une très belle surprise.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Ce premier film à la fois puissant et sans concession, frappe par son approche sensible des traumatismes du totalitarisme.
Ecran Large
Les Fantômes ne se laisse pas tout de suite approcher. Par son rythme lancinant, le film de Jonathan Millet se construit sur une montée progressive de la tension, en accord avec des émotions enfouies qui reviennent à la surface.
Franceinfo Culture
Premier long-métrage de fiction de Jonathan Millet, Les Fantômes est une plongée dans le réel dans ce qu'il a de plus violent et brutal. Le réalisateur de 38 ans, venu du documentaire, a imaginé un thriller saisissant, une fiction donc, pour entrer de plein fouet dans l'histoire récente de la guerre en Syrie.
L'Obs
Tout concourt à l’immersion totale du spectateur dans cette quête terrible. Tendu, tenu, les Fantômes est aussi fascinant que poignant.
La Croix
L’intensité dramatique manque de la constance nécessaire pour réussir tout à fait cette plongée en eaux troubles. Sans dévoiler le dénouement de l’intrigue, la réflexion sur la vengeance et la justice gagne toutefois, par cette aridité scénaristique, en profondeur.
La Voix du Nord
Le film de Jonathan Millet se révèle un thriller d’espionnage sensoriel, mais aussi une réflexion intime sur le deuil, la vengeance, la quête obsessionnelle, fragile et sans fin. On admire la précision clinique du récit (pas si loin de l’ambiance du Bureau des légendes) et l’interprétation magnétique du comédien franco-tunisien Adam Bessa.
Le Dauphiné Libéré
Un climat de suspense et de paranoïa.
Le Figaro
Les Fantômes s'avère un polar d'espionnage d'une brûlante actualité géopolitique, aussi impitoyable que percutant.
Le Monde
Homme de l’ombre, solitaire et hanté, Hamid accapare tout le film, qui, suspendu à son souffle, aux bruits qu’il écoute, aux indices qu’il recoupe, diffuse une angoisse sourde et grandissante à laquelle les choix de réalisation (cadre serré, sons amplifiés et déformés, approche sensorielle) ne nous permettent pas d’échapper.
Le Parisien
Jonathan Millet signe un thriller lent, très sombre, mais particulièrement saisissant.
Les Echos
Ce premier film atypique surprend au cœur de chaque scène avec la subtilité de son scénario qui évite le didactisme et avec la précision de sa mise en scène hypnotique.
Les Fiches du Cinéma
Jonathan Millet dresse le portrait d’un homme que le passé empêche de se reconstruire, tout en déployant une belle tension psychologique.
Les Inrockuptibles
Un premier film brillant et empathique qui retrace la traque d’un ancien criminel de guerre syrien par l’une de ses victimes.
Libération
Sobre et précis, le premier long métrage de fiction du cinéaste français calque son pas sur celui de son héros, un jeune Syrien sur la piste d’un ancien bourreau.
Marianne
Pour ses débuts dans le cinéma de fiction, Jonathan Millet frappe fort. Dans son premier long-métrage captivant, l’ex-documentariste met en scène un jeune Syrien qui, à Strasbourg, traque un homme qu’il soupçonne d’avoir été son tortionnaire dans son pays natal. Un film à ne rater sous aucun prétexte.
Paris Match
Premier long métrage d’une grande maîtrise, entre le film d’espionnage et une quête rédemptrice que ne renierait pas Paul Schrader, Les Fantômes est assurément le grand film de ce début d’été.
Positif
Si la proximité entre le réel et le film existe, elle ne s'aurait suffire. En insufflant de la fiction dans son matériau documentaire, Millet donne une dimension organique à la chasse. L'aura des acteurs, l'intensité de leur jeu, dévoilent quelque chose d'une urgence qui échappe d'ordinaire à l'œil du documentariste.
Première
Jonchée de filatures urbaines, la mise en scène montre comment l’étouffant art du mensonge cultivé par Hamid constitue en même temps son seul espoir de libération. Et le film de faire au final émerger la lumière pour affirmer que les existences les plus tragiques peuvent contre toute attente être apaisées dignement
Télé 2 semaines
Une tension spectaculaire pour une intrigue pourtant minimaliste : ce thriller est amené à devenir un classique.
Télérama
Un acteur magnétique qu'on ne se lasse jamais de scruter et de sonder. Le spectateur devient pisteur, déchiffreur de son visage, masque impénétrable qui, pourtant, laisse filtrer un gouffre intérieur des plus troublants.
Voici
Avec un sens particulièrement affûté du récit et de la mise en scène, surtout pour un premier long métrage, Jonathan Millet signe, Les Fantômes, l'un des films français marquants de l'année où se confondent le thriller d'espionnage, l'actualité et l'étude de caractère.
aVoir-aLire.com
Les Fantômes est un film fort, percutant, savamment mis en scène à travers le paysage intérieur du héros principal, les vestiges du souvenir de Syrie et les lieux en Europe ou au Liban qu’il parcourt. Plus que jamais, le long-métrage remémore la nécessité de ne pas oublier le drame qui continue de se jouer jour après jour à Alep ou ailleurs, assommés par la tyrannie.
Cahiers du Cinéma
Sonder cette matière bouillonnant sous un crâne (désir de justice, violence encaissée, plaies à demi refermées : la douleur-fantôme, en somme) sans percer la surface et en se tenant à l’extérieur : si elle s’estompe un peu une fois l’adversaire enfin dévisagé, cette foi dans la possibilité de tout miser sur le dehors d’un visage est le fil singulier par lequel Les Fantômes est maintenu sous tension.
Sud Ouest
En privilégiant la suggestion et le sensoriel, Jonathan Millet donne une véritable épaisseur à son œuvre, en plus de s’intéresser à la difficulté d’arriver à se reconstruire et à envisager l’avenir après avoir vécu le pire.
Critikat.com
De ce récit de deuil, Jonathan Millet tire une enquête à la lisière du film d’espionnage, mais qui repose sur une structure et des effets rebattus.