Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Entre réalisme et conte, un film magique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Pourtant, sous ses airs de gentille fantaisie, Nezouh (qui signifie déplacement en arabe) tient surtout à convaincre de quelle énergie et de quelle force de caractère il convient de s’armer pour amorcer un changement de vie, qu’il soit choisi ou contraint dans le cas d’un exil.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Sophie Grassin
Réalisme magique (nuit étoilée, ciel mué en eau où l’on fait des ricochets), bouffées d’absurdité, choix de l’allégorie ne suffisent pas tout à fait à masquer la minceur d’un film, joli mais fragile, lesté autour de quelques vérités sur le poids du patriarcat et la menace des mariages forcés.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Dans un film lumineux qui concilie le réel et la fable, une adolescente reste avec sa famille dans un immeuble détruit de Damas en pleine guerre civile et trouve une échappatoire dans son imaginaire.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Cl. F.
On passe du dedans au dehors, du familier à l’inconnu. Jamais totalement noir ni désespéré, Nezouh peut séduire un jeune public avec ses deux héros adolescents, Zeina et Amer, et le personnage de la mère qui s’ouvre à l’aventure, avec son baluchon, sans trop savoir où aller.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Olivier De Bruyn
En suivant pas à pas Zeina et sa mère qui osent peu à peu s'affranchir de l'influence désastreuse du « maître de maison », la réalisatrice signe un film original qui mérite que l'on oublie ses maladresses et une certaine mièvrerie.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Sandra Onana
Peu de films ont abordé le conflit syrien sous l’angle de la fiction jusqu’ici. On trouvera en Nezouh, tourné en Turquie, plus de cœur que de subtilités, et la fragilité des récits qui ouvrent la marche.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
La démarche est originale et la réalisatrice ne manque pas de belles idées de mise en scène, mais son récit, aussi touchant soit-il, peine à convaincre sur la longueur et finit par brouiller son message.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Thierry Cheze
A partir de ce sujet fort doublé d’une réflexion sur le poids du patriarcat, Soudade Kaadan ose la fable tragi-comique teintée de surréalisme qui séduit avant de se perdre dans les longueurs de son récit et son choix de marteler des messages qui auraient gagné à être suggérés.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Fiches du Cinéma
Entre réalisme et conte, un film magique.
aVoir-aLire.com
Pourtant, sous ses airs de gentille fantaisie, Nezouh (qui signifie déplacement en arabe) tient surtout à convaincre de quelle énergie et de quelle force de caractère il convient de s’armer pour amorcer un changement de vie, qu’il soit choisi ou contraint dans le cas d’un exil.
L'Obs
Réalisme magique (nuit étoilée, ciel mué en eau où l’on fait des ricochets), bouffées d’absurdité, choix de l’allégorie ne suffisent pas tout à fait à masquer la minceur d’un film, joli mais fragile, lesté autour de quelques vérités sur le poids du patriarcat et la menace des mariages forcés.
La Croix
Dans un film lumineux qui concilie le réel et la fable, une adolescente reste avec sa famille dans un immeuble détruit de Damas en pleine guerre civile et trouve une échappatoire dans son imaginaire.
Le Monde
On passe du dedans au dehors, du familier à l’inconnu. Jamais totalement noir ni désespéré, Nezouh peut séduire un jeune public avec ses deux héros adolescents, Zeina et Amer, et le personnage de la mère qui s’ouvre à l’aventure, avec son baluchon, sans trop savoir où aller.
Les Echos
En suivant pas à pas Zeina et sa mère qui osent peu à peu s'affranchir de l'influence désastreuse du « maître de maison », la réalisatrice signe un film original qui mérite que l'on oublie ses maladresses et une certaine mièvrerie.
Libération
Peu de films ont abordé le conflit syrien sous l’angle de la fiction jusqu’ici. On trouvera en Nezouh, tourné en Turquie, plus de cœur que de subtilités, et la fragilité des récits qui ouvrent la marche.
Le Journal du Dimanche
La démarche est originale et la réalisatrice ne manque pas de belles idées de mise en scène, mais son récit, aussi touchant soit-il, peine à convaincre sur la longueur et finit par brouiller son message.
Première
A partir de ce sujet fort doublé d’une réflexion sur le poids du patriarcat, Soudade Kaadan ose la fable tragi-comique teintée de surréalisme qui séduit avant de se perdre dans les longueurs de son récit et son choix de marteler des messages qui auraient gagné à être suggérés.