Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Ouest France
par Pascale Vergereau
Un récit très fort.
CinemaTeaser
par Perrine Quennesson
Une force que le film doit autant à sa splendide photographie qu'à ses interprètes, Seydou Sarr en tête.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Une odyssée puissante.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Le réalisateur italien imprègne son film d’un souffle épique dans ce qui pourrait être un Lawrence d’Arabie du pauvre.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Une véritable odyssée, traversée de quelques occurrences fantasmagoriques, car Matteo Garrone n’a pas renié son goût pour la matière mythologique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Dans Moi, capitaine, le cinéaste italien Matteo Garrone se met dans les pas de deux adolescents fuyant le Sénégal pour vivre leurs rêves ailleurs. Une odyssée puissante, couronnée à la Mostra de Venise par le Lion d’argent du meilleur réalisateur.
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Un drame captivant et édifiant.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Du très grand cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Dans « Moi, capitaine », Garrone s'attaque à la grande question contemporaine de l'immigration. Le résultat est un film puissant qui tient autant du conte moderne que du document.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Léa Masseguin
Le long métrage de Matteo Garrone retranscrit avec justesse les conditions des périples vers l’Europe des migrants africains.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par E.B.
Le réalisateur italien flirte parfois avec le kitsch dans la théâtralisation de la violence. Mais les personnages auxquels on s'attache sont portés par un souffle impressionnant, et on ressort de cette épopée la boule au ventre.
Première
par Gael Golhen
Refusant le pensum socio ou le témoignage édifiant, Garrone montre de manière inédite la migration – parfois très dure, souvent très violente – à travers les yeux de ceux qui la vivent.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par La Rédaction
Un conte migratoire qui, sans être exempts de quelques maladresses, ne laisse pas indemne.
Bande à part
par Hélène Robert
Une odyssée épique et émouvante.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Obs
par François Forestier
Malgré les quelques effets mélodramatiques, les valeurs défendues par le film sont les nôtres, et ces marcheurs que le désert avale, ces femmes et ces enfants jetés dans des geôles par des seigneurs de guerre, ces visages brûlés par le vent de la solitude, sont inoubliables.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Fabien Bidaud
Un film fort, qui a aussi ses limites.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Un Matteo Garrone contradictoire, animé par une profonde envie de réalisme et en même temps hanté par la puissance des contes.
Sud Ouest
par Julien Rousset
Un film marquant, malgré d’inutiles effets de style.
Télé Loisirs
par M.L.
Seydou Sarr est époustouflant.
Télérama
par Jérémie Couston
Bien que mises en scène – toujours avec tact –, ces images parfaitement documentées acquièrent paradoxalement une valeur de preuve, dans la tradition du cinéma néoréaliste d’après-guerre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Si quelques troubles passagers laissent entrevoir l’esquisse d’un projet plus intéressant et ambitieux, Moi Capitaine ne cherche aucunement à être autre chose que la peinture soignée de belles intentions. Avec ce nouveau long-métrage, Matteo Garrone vient surtout raviver les lieux communs d’un cinéma d’auteur mondialisé, équivalent dans le paysage art-et-essai d’un banal blockbuster cynique et désincarné.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Croix
par Céline Rouden
Une fresque épique éprouvante et déconcertante.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Paris Match
par Yannick Vely
Alors bien sûr Matteo Garrone n’a pas perdu la main derrière la caméra. Il signe quelques séquences impressionnantes que l’on imagine longuement documenté et montre toute l’horreur des camps de réfugiés en Libye. Mais fallait-il ponctuer le récit de scènes oniriques ?
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Techniquement soigné et narrativement efficace, le film confirme l’humanisme du réalisateur. Mais il est desservi par un ton lacrymal et des invraisemblances.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Garrone liquide tout contrechamp : la traversée finale accumule les faux-raccords sur le visage de Seydou, capitaine d’un navire en perdition, tant et si bien que le spectateur ne voit jamais ce qu’il regarde à l’horizon. Même l’Italie a disparu.
Critikat.com
par Étienne Cimetière-Cano
La surabondance de plans aériens ou à la grue, souvent appuyés par une musique grandiloquente, pointe le fond d’épate de la poésie cultivée par Garrone.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par Etienne Sorin
Mais le refus de Garrone de se complaire dans la noirceur l'amène à édulcorer l'enfer vécu par les migrants. Il ne peut s'empêcher de soigner de belles images, de poser une jolie musique, voire de nier le réel par des échappées oniriques maladroites. On est parfois à la limite de la carte postale et de la faute morale.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Ma. Mt.
Moi, capitaine entend ainsi renverser le point de vue européen en adoptant celui du migrant, l’enjeu pour Garrone étant, d’abord, de se transporter dans une autre culture que la sienne. Il fait de Seydou un nouveau Candide, voyageur naïf dont les illusions se heurtent aux atrocités du monde, l’ironie en moins.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Une esthétisation aussi grossière que complaisante du périple de deux migrants sénégalais vers l’Europe.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
Un récit très fort.
CinemaTeaser
Une force que le film doit autant à sa splendide photographie qu'à ses interprètes, Seydou Sarr en tête.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Une odyssée puissante.
Franceinfo Culture
Le réalisateur italien imprègne son film d’un souffle épique dans ce qui pourrait être un Lawrence d’Arabie du pauvre.
L'Humanité
Une véritable odyssée, traversée de quelques occurrences fantasmagoriques, car Matteo Garrone n’a pas renié son goût pour la matière mythologique.
Le Dauphiné Libéré
Dans Moi, capitaine, le cinéaste italien Matteo Garrone se met dans les pas de deux adolescents fuyant le Sénégal pour vivre leurs rêves ailleurs. Une odyssée puissante, couronnée à la Mostra de Venise par le Lion d’argent du meilleur réalisateur.
Le Journal du Dimanche
Un drame captivant et édifiant.
Le Parisien
Du très grand cinéma.
Les Echos
Dans « Moi, capitaine », Garrone s'attaque à la grande question contemporaine de l'immigration. Le résultat est un film puissant qui tient autant du conte moderne que du document.
Libération
Le long métrage de Matteo Garrone retranscrit avec justesse les conditions des périples vers l’Europe des migrants africains.
Marie Claire
Le réalisateur italien flirte parfois avec le kitsch dans la théâtralisation de la violence. Mais les personnages auxquels on s'attache sont portés par un souffle impressionnant, et on ressort de cette épopée la boule au ventre.
Première
Refusant le pensum socio ou le témoignage édifiant, Garrone montre de manière inédite la migration – parfois très dure, souvent très violente – à travers les yeux de ceux qui la vivent.
Voici
Un conte migratoire qui, sans être exempts de quelques maladresses, ne laisse pas indemne.
Bande à part
Une odyssée épique et émouvante.
L'Obs
Malgré les quelques effets mélodramatiques, les valeurs défendues par le film sont les nôtres, et ces marcheurs que le désert avale, ces femmes et ces enfants jetés dans des geôles par des seigneurs de guerre, ces visages brûlés par le vent de la solitude, sont inoubliables.
La Voix du Nord
Un film fort, qui a aussi ses limites.
Les Fiches du Cinéma
Un Matteo Garrone contradictoire, animé par une profonde envie de réalisme et en même temps hanté par la puissance des contes.
Sud Ouest
Un film marquant, malgré d’inutiles effets de style.
Télé Loisirs
Seydou Sarr est époustouflant.
Télérama
Bien que mises en scène – toujours avec tact –, ces images parfaitement documentées acquièrent paradoxalement une valeur de preuve, dans la tradition du cinéma néoréaliste d’après-guerre.
Culturopoing.com
Si quelques troubles passagers laissent entrevoir l’esquisse d’un projet plus intéressant et ambitieux, Moi Capitaine ne cherche aucunement à être autre chose que la peinture soignée de belles intentions. Avec ce nouveau long-métrage, Matteo Garrone vient surtout raviver les lieux communs d’un cinéma d’auteur mondialisé, équivalent dans le paysage art-et-essai d’un banal blockbuster cynique et désincarné.
La Croix
Une fresque épique éprouvante et déconcertante.
Paris Match
Alors bien sûr Matteo Garrone n’a pas perdu la main derrière la caméra. Il signe quelques séquences impressionnantes que l’on imagine longuement documenté et montre toute l’horreur des camps de réfugiés en Libye. Mais fallait-il ponctuer le récit de scènes oniriques ?
aVoir-aLire.com
Techniquement soigné et narrativement efficace, le film confirme l’humanisme du réalisateur. Mais il est desservi par un ton lacrymal et des invraisemblances.
Cahiers du Cinéma
Garrone liquide tout contrechamp : la traversée finale accumule les faux-raccords sur le visage de Seydou, capitaine d’un navire en perdition, tant et si bien que le spectateur ne voit jamais ce qu’il regarde à l’horizon. Même l’Italie a disparu.
Critikat.com
La surabondance de plans aériens ou à la grue, souvent appuyés par une musique grandiloquente, pointe le fond d’épate de la poésie cultivée par Garrone.
Le Figaro
Mais le refus de Garrone de se complaire dans la noirceur l'amène à édulcorer l'enfer vécu par les migrants. Il ne peut s'empêcher de soigner de belles images, de poser une jolie musique, voire de nier le réel par des échappées oniriques maladroites. On est parfois à la limite de la carte postale et de la faute morale.
Le Monde
Moi, capitaine entend ainsi renverser le point de vue européen en adoptant celui du migrant, l’enjeu pour Garrone étant, d’abord, de se transporter dans une autre culture que la sienne. Il fait de Seydou un nouveau Candide, voyageur naïf dont les illusions se heurtent aux atrocités du monde, l’ironie en moins.
Les Inrockuptibles
Une esthétisation aussi grossière que complaisante du périple de deux migrants sénégalais vers l’Europe.