Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un activisme sur lequel Riposte féministe vient coller des visages, des récits, des convictions. Ces militantes sont nos filles, nos sœurs, nos amies, nos voisines ou des inconnues, elles portent une cause universelle. Une urgence absolue.
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Pendant des semaines, Marie Perennès et Simon Depardon les ont suivies. Leur cinéma direct, sans commentaire et à l’écoute des militantes, témoigne d’une urgence et entretient l’espoir d’une nouvelle ère où les violences sexistes seraient éradiquées.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Pauline Mallet
À travers une mise en scène efficace, le long-métrage immortalise les paroles et les actions de celles qui font bouger les lignes. II n’y a plus qu’à suivre le mouvement.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un activisme sur lequel Riposte féministe vient coller des visages, des récits, des convictions. Ces militantes sont nos filles, nos sœurs, nos amies, nos voisines ou des inconnues, elles portent une cause universelle. Une urgence absolue.
Le Parisien
par La Rédaction
Un documentaire très éclairant sur cette nouvelle génération de femmes qui se définissent comme « fortes, fières, féministes, radicales et en colère ».
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
M. Perènnes et S. Depardon filment les visages et les voix derrière les collages féministes, délivrant un beau témoignage de leur action militante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Camille Nevers
Les colleuses ont cette force insolite rendue par Marie Perennès et Simon Depardon dont le film, non exempt de défauts (cette musique très mal assortie), se met au service des activistes avec le souci d’en passer le récit-relais, tout en ne sacrifiant pas trop au sujet «tendance» qu’il monopoliserait.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Maroussia Dubreuil
Présenté au dernier Festival de Cannes, ce documentaire enthousiasmant donne un visage à ces militantes de l’ombre qui dénoncent les féminicides et les violences sexistes.
Ouest France
par Thierry Chèze
Une photographie pertinente et passionnante du féminisme du début des années 2020.
Télérama
par Guillemette Odicino
Fougueuse et esthétique, cette Riposte est, aussi, un beau geste de cinéma par son parti pris judicieux de filmer les sessions de collage en plan fixe.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Bien que répétitif, ce parti pris permet in fine de brosser le tableau convaincant et empathique d’un mouvement dont les aspects disparates s’effacent devant l’attachement aux valeurs communes, l’exemplarité démocratique de la prise de décision et le courage que révèlent les expéditions nocturnes des militantes.
L'Obs
par Sophie Grassin
Les cinéastes captent les débats et les récits de ces « colleur.euse.s » dont celui, bouleversant, d’Elise, isolée par un compagnon qui aurait pu en venir au meurtre. « Riposte féministe » est à l’image d’une lutte toujours recommencée. Mais ce qu’on n’entend pas, il faut le marteler. A lire aussi : « Riposte féministe » (Seuil, 16 euros).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Les sceptiques y verront de l’idéologie (quelle profusion de concepts !). Mais la société doit y voir un nécessaire changement de prisme. « Je ne vivrai pas dans un monde sans patriarcat ni lesbophobie, je fais ça pour les générations suivantes », souligne une jeune femme. Qui a plein de messages dans sa besace.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par É.S.
Ce documentaire «embedded» suit les colleuses de slogans féministes («Même mon chien comprend quand je lui dis non »). On regrette l'absence de repères historiques (quand et qui a commencé ?) et de questions qui fâchent (pourquoi la non-mixité ?). Mais le film est juste dans sa façon de montrer des femmes qui affrontent l'espace public («La rue est à nous»).
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
À Lyon, Paris, Brest ou Marseille, on suit, et surtout on écoute, les motivations politiques de ces militantes décomplexées à l’engagement passionné et nécessaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Riposte féministe est donc important parce qu’outre l’inscription du mouvement dans notre histoire contemporaine, il permet surtout de se demander où en est le féminisme aujourd’hui, d’écouter, de récolter la parole de ces filles et de ces femmes, de leur offrir l’espace de ce long-métrage pour les laisser dire leur expérience, et ce n’est pas rien.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Ariane Allard
Porté par la fougue joyeuse des colleuses, leur film met en lumière la justesse de leur révolte. On aurait aimé, toutefois, que l’approche des cinéastes soit moins répétitive (préparatifs, collages et manifs en alternance) et plus créative.
Première
par Thierry Chèze
On peut tiquer parfois sur ce qu’elles disent mais le parti pris des cinéastes d’épouser les revendications de ces jeunes femmes en guerre contre le harcèlement de rue, les violences sexistes et le machisme sans distribuer bons et mauvais points se rèvèle particulièrement pertinent.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Bastien Gens
Le contexte qui préside à l’action de chacune des militantes paraît curieusement effacé par la routine de la mise en scène. En résulte un film de lutte bien trop sage.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Murielle Joudet
En ne voulant rien complexifier, en évitant les sujets qui fâchent et la conflictualité propre à tout mouvement, Riposte féministe prend finalement des allures de spot publicitaire qui érige hâtivement une radicalité soft en héroïsme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un activisme sur lequel Riposte féministe vient coller des visages, des récits, des convictions. Ces militantes sont nos filles, nos sœurs, nos amies, nos voisines ou des inconnues, elles portent une cause universelle. Une urgence absolue.
L'Humanité
Pendant des semaines, Marie Perennès et Simon Depardon les ont suivies. Leur cinéma direct, sans commentaire et à l’écoute des militantes, témoigne d’une urgence et entretient l’espoir d’une nouvelle ère où les violences sexistes seraient éradiquées.
La Septième Obsession
À travers une mise en scène efficace, le long-métrage immortalise les paroles et les actions de celles qui font bouger les lignes. II n’y a plus qu’à suivre le mouvement.
Le Dauphiné Libéré
Un activisme sur lequel Riposte féministe vient coller des visages, des récits, des convictions. Ces militantes sont nos filles, nos sœurs, nos amies, nos voisines ou des inconnues, elles portent une cause universelle. Une urgence absolue.
Le Parisien
Un documentaire très éclairant sur cette nouvelle génération de femmes qui se définissent comme « fortes, fières, féministes, radicales et en colère ».
Les Fiches du Cinéma
M. Perènnes et S. Depardon filment les visages et les voix derrière les collages féministes, délivrant un beau témoignage de leur action militante.
Libération
Les colleuses ont cette force insolite rendue par Marie Perennès et Simon Depardon dont le film, non exempt de défauts (cette musique très mal assortie), se met au service des activistes avec le souci d’en passer le récit-relais, tout en ne sacrifiant pas trop au sujet «tendance» qu’il monopoliserait.
Marie Claire
Présenté au dernier Festival de Cannes, ce documentaire enthousiasmant donne un visage à ces militantes de l’ombre qui dénoncent les féminicides et les violences sexistes.
Ouest France
Une photographie pertinente et passionnante du féminisme du début des années 2020.
Télérama
Fougueuse et esthétique, cette Riposte est, aussi, un beau geste de cinéma par son parti pris judicieux de filmer les sessions de collage en plan fixe.
Cahiers du Cinéma
Bien que répétitif, ce parti pris permet in fine de brosser le tableau convaincant et empathique d’un mouvement dont les aspects disparates s’effacent devant l’attachement aux valeurs communes, l’exemplarité démocratique de la prise de décision et le courage que révèlent les expéditions nocturnes des militantes.
L'Obs
Les cinéastes captent les débats et les récits de ces « colleur.euse.s » dont celui, bouleversant, d’Elise, isolée par un compagnon qui aurait pu en venir au meurtre. « Riposte féministe » est à l’image d’une lutte toujours recommencée. Mais ce qu’on n’entend pas, il faut le marteler. A lire aussi : « Riposte féministe » (Seuil, 16 euros).
La Voix du Nord
Les sceptiques y verront de l’idéologie (quelle profusion de concepts !). Mais la société doit y voir un nécessaire changement de prisme. « Je ne vivrai pas dans un monde sans patriarcat ni lesbophobie, je fais ça pour les générations suivantes », souligne une jeune femme. Qui a plein de messages dans sa besace.
Le Figaro
Ce documentaire «embedded» suit les colleuses de slogans féministes («Même mon chien comprend quand je lui dis non »). On regrette l'absence de repères historiques (quand et qui a commencé ?) et de questions qui fâchent (pourquoi la non-mixité ?). Mais le film est juste dans sa façon de montrer des femmes qui affrontent l'espace public («La rue est à nous»).
Le Journal du Dimanche
À Lyon, Paris, Brest ou Marseille, on suit, et surtout on écoute, les motivations politiques de ces militantes décomplexées à l’engagement passionné et nécessaire.
Les Inrockuptibles
Riposte féministe est donc important parce qu’outre l’inscription du mouvement dans notre histoire contemporaine, il permet surtout de se demander où en est le féminisme aujourd’hui, d’écouter, de récolter la parole de ces filles et de ces femmes, de leur offrir l’espace de ce long-métrage pour les laisser dire leur expérience, et ce n’est pas rien.
Positif
Porté par la fougue joyeuse des colleuses, leur film met en lumière la justesse de leur révolte. On aurait aimé, toutefois, que l’approche des cinéastes soit moins répétitive (préparatifs, collages et manifs en alternance) et plus créative.
Première
On peut tiquer parfois sur ce qu’elles disent mais le parti pris des cinéastes d’épouser les revendications de ces jeunes femmes en guerre contre le harcèlement de rue, les violences sexistes et le machisme sans distribuer bons et mauvais points se rèvèle particulièrement pertinent.
Critikat.com
Le contexte qui préside à l’action de chacune des militantes paraît curieusement effacé par la routine de la mise en scène. En résulte un film de lutte bien trop sage.
Le Monde
En ne voulant rien complexifier, en évitant les sujets qui fâchent et la conflictualité propre à tout mouvement, Riposte féministe prend finalement des allures de spot publicitaire qui érige hâtivement une radicalité soft en héroïsme.