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Flower 0478
63 abonnés
255 critiques
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4,0
Publiée le 24 avril 2024
Vu en avant première l'histoire est originale c'est une histoire de rivalité entre deux joueurs de tennis qui se connaissent depuis l'adolescence attirés par une joueuse de tennis talentueuse ce qui devient un triangle amoureux par contre j'ai trouvé certaines scènes malaisante sinon l'actrice Zendaya incarne parfaitement sont rôle je la trouve talentueuse et les autres acteurs jouent très bien aussi je conseille ce film.
Entre histoire sans intérêt, montage terrible, plans malaisants en tous sens, effet stylistique de mise-en-scène assez ridicules, musique assourdissante et ô combien répétitive, une Zendaya peu crédible en femme fatale, difficile de savoir à quel moment on décroche dans le film, où si on a réussi à accrocher. Un film qu'on regrette d'être allé voir, d'autant plus quand on est grand amateur de tennis.
une vraie daube, pour les amateurs de tennis comme pour les autres. Un film long comme un jour sans pain, des scènes de tennis sans fin et sans intérêt. musique du film désagréable au possible. derrière un pseudo relation perverse sans profondeur, un jeu d'acteur auquel on ne croit a aucun moment. il y avait pourtant matière a faire un bon film, mais tout est raté
Vouloir faire un Match Point deux avec des acteurs qui jouent très mal et une histoire qui ne tient pas la route, ce film est d'un ennui incroyable... Quel temps perdu.
Après « Bones and all » avec qui j’avais eu du mal. J’allais un peu à reculons pour ce nouveau long métrage de Luca Guadagnino, faut dire que la bande annonce pseudo putaclique n’aidait pas.
Et quelle bonne surprise. Un film remplit d’adrénaline , d’hormones, d’idées inventives en terme de réalisation, une bande son rythmée, et tout ça avec son casting 5 étoiles.
Le film divisera, certains le trouveront long, d’autres auront du mal avec les nombreux ralentis.. mais personnellement j’étais dedans du début à la fin.
C'est un téléfilm pas un film. Les dialogues sont stupides. C'est entre Twilight,50 nuances de grey et coup de foudre sous le sapin de noël. À part voir l'actrice principale en petite tenue...quel intérêt ?
Film vide, sans scénario, aucune morale à la fin. Il ne se passe rien et on pourtant je ne suis pas difficile en film. Donne une piètre image du tennis et des femmes et des hommes en general. D’autant que les scènes de tennis sont totalement exagérées pour quelqu’un qui joue au tennis même en amateur ++ comme moi, cela pique les yeux. Je déconseille fortement. Je serai bien sortie de salle mais j’étais venue avec quelqu’un. Au final, la personne avec qui j’étais venue à penser la même chose que moi et s’est endormi en cours de route. Le film ne dure qu’une 2h11 mais il m’a paru durer 3h. En quatre mots, le film peut se résumer : spoiler: sexe, tromperie, tennis et égoïsme.
Seul point positif : la musique techno est sympa. Mais, elle est aussi forte que dans une boîte de nuit et n’est souvent pas adaptée.
En résumé, ce film était un supplice. Un bon gros navet.
une mise en scène extrêmement contemporaine qui reflétera je pense ce que deviendra aujourd'hui le cinema. des plans audacieux, rythmés. une histoire qui n'a pas peur d'elle même, un maquillage et des costumes magnifiques. enfin un film où on ne voit pas le temps passer
Encore une jolie réussite de Luca Guadagnino (après les excellents Call Me By Your Name, We Are Who WeAre ou bien Bones and All), dans ce qui pourrait s'apparenter à un film sportif romantique véhicule-star pour Zendaya. Mais derrière la caméra du réalisateur italien, cette histoire de trouple où recherche de jouissance dans la compétitivité et ambiance sexy se veut une boîte de pétri bourrée aux hormones dans un jeu de séduction-répulsion toxique.
Comme résumé dans un début de plan à trois torride (mais interrompu) en début de film, Challengers orchestre son récit comme un jeu de balles entre Zendaya (excellente en manipulatrice toxique), Mike Faist (la révélation du West Side Story de Spielberg a le rôle avec la plus grande intensité dramatique) et Josh O'Connor (qui allie avec brio le pathétique et le libidineux) à mesure que le très bon montage du film vient nous détailler les grandes étapes de leur passif sulfureux.
Des allers-retours donnant plus de gravitas au match constituant le point d'orgue du film, où toute la grammaire du métrage nous abreuve d'un aspect kinétique à la fois empli de clarté et d'un aspect électrisant.
Tout d'abord le tennis a rarement été aussi bien filmé au cinéma (Guadagnino multiplie les angles ou les points de vue), tandis que les véritables joutes se jouent en dehors du court (comme les dialogues où la caméra panote pour illustrer les renversement de pouvoir en œuvre).
Ensuite, le duo Reznor-Ross offre une BO électro-house absolument dingue, offrant au film une énergie et une texture presque aussi unique que le travail sonore orchestré des années plus tôt sur The Social Network.
Malheureusement, le script n'évite pas quelques balles faciles sur la fin (comme s'il manquait une étape pour amorcer sa conclusion un brin amenée facilement).
Mais pour toutes les raisons précédemment citées, ce Challengers s'en tire avec les honneurs : une vraie bonne pioche donc !
Le film Challengers souffre d'une longueur insupportable, où les chapitres se succèdent sans répit. Les clichés abondent, que ce soit dans la représentation du tennis ou des relations tendues entre les personnages masculins, qui se transforment parfois en véritables combats de coqs. Les effets spéciaux, loin d'apporter une valeur ajoutée, semblent être utilisés de manière excessive, donnant une impression de surcharge visuelle. Quant à la bande-son, elle pêche par sa répétitivité et son manque de pertinence par rapport à l'ambiance du film, créant un décalage préjudiciable à l'immersion du spectateur. Enfin, la conclusion, avec sa tentative de reconstruction d'amitié, paraît clichée et prévisible , ne laissant aucune surprise au spectateur.
Que Luca Guadagnino s'enivre de sa propre virtuosité n'est pas une nouveauté en soi, il usait déjà des mêmes effets grandiloquents, il y a 15 ans, dans Amore. Dans une filmographie plutôt inégale, Challengers ne figurera cependant pas dans les catastrophes puisque la chose est plutôt distrayante, dans une veine sexy que Zendaya, la belle de match, et ses deux compères illustrent avec une certaine intensité. En tant que film de sport, racontant le destin de deux amis d'adolescence, également doués pour le tennis mais aux destins opposés, Challengers a beau monter au filet avec entrain, sa crédibilité est réduite (un vainqueur de grand chelem dans un challenger ? Hum), la rivalité entre les deux athlètes se situant bien plus sur le terrain privé, qui seul intéresse le cinéaste italien. Avec sa multitude de flashbacks comme autant de twists, une musique qui surligne, des ralentis signifiants et des parties de tennis filmées pour donner le tournis, Guadagnino stylise à l'excès, sans approfondir quoi que ce soit dans ce prétendu triangle amoureux qui dévoile assez tôt, spoiler: son évident sous-texte homosexuel . On peut toutefois prendre un plaisir décomplexé au film, quoique il aurait été meilleur raccourci mais son emphase presque permanente en fait tout au plus un objet glamour et décoratif qui tend à prouver que des balles neuves ne suffisent pas à remporter le match quand le service est défaillant.
Nous pourrons résumer ce film avec ce jeu de mot facile "jeu, sexe et matche". Car ici le tennis est en fond mais ce qui est mis en avant reste la relation ambigüe qu'elle entretien avec l'un et l'autre, les poussant à se surpasser sur les cours en faisant des choix plus que discutable selon les moments et changeant son fusil d'épaule selon le vent!! En tous cas Zendaya (décidément elle à le vent en poupe la miss!^^) est un mélange d'intelligence et de coup de p... tout en étant sexy...piou, elle à de quoi faire tourner la tête à ses deux challengers qui feraient tout pour lui plaire. Les flashbacks expliquent parfaitement les moments forts et compliqué vécu par tout les protagonistes. Et puis la finale...on se demande si cela va se passer comme elle le veut ou si cela va se régler entre mec sur le court sans triche...et le dernier point...ben super apprécié cette conclusion même si un peu frustrant après coup! Concernant le tennis bon c'est filmé différemment et c'est parfois pénible de faire moderne à être à la 1ere personne par moment mais le principal reste le fond. NOTE : 8/10
Lucas Guadagnino C'est quelle leçon que tu nous as donnée là. EXCELLENT, j'ai savouré chaque minute de ce film. J'ai jamais ressenti autant d'émotions autour d'un match de tennis ! L'histoire est si bien racontée sans narration. Les personnages sont ULTRA bien développés. Malgré que la situation n'est pas envisageable pour quelqu'un de normal, on la comprend et des 3 points de vue différents, on la comprend. On rentre réellement dans ce trio où les émotions et la manipulation sont maîtres ! Mention spéciale à Zendaya qui a si bien interprété cette femme ! Et mention spéciale à la BO qui était juste parfaite pour ce film. Il y avait de vraies « prises de risques » dans les mouvements de caméra et les plans exploités, certains vraiment méritant, surtout sur la prise d'espace autour du terrain de tennis ! Excellent/10