Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Le Parisien
par Renaud Baronian
Un grand film très moderne.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Luca Guadagnino réinvente le triangle amoureux, catégorie compétition: l'amour est un sport comme les autres et c'est du très haut niveau.
LCI
par Delphine DE FREITAS
Une tension renforcée par d’incroyables scènes de tennis - le vrai - mises en scène comme rarement auparavant avec une créativité toujours plus grande, jusqu’à une séquence finale à couper le souffle.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Chaque échange de regard, chaque geste, devient une manœuvre calculée dans ce match où la victoire semble aussi incertaine que la trajectoire d'une balle de tennis.
Le Journal du Dimanche
par S. B.
La mise en scène stylisée sert d’écrin à une performance convaincante des acteurs, dont l’alchimie à l’écran est évidente. Un match psychologique arbitré par Zendaya, vénéneuse à souhait.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Murielle Joudet
Avec beaucoup de virtuosité et sans jamais trop nous perdre, le film entrechoque ces deux époques, un âge d’or et un présent morne, faisant le compte des illusions perdues tout en observant la manière dont le désir, lui, est la seule chose qui ne se soit pas usée avec le temps.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
Zendaya fait des étincelles sur le court grâce à un montage virtuose.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Assumant ses excès et ses maniérismes, Guadagnino livre un film électrisant.
Sud Ouest
par Julien Rousset
Percutant, ambigu, follement sexy.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé Loisirs
par Yoann Jenan
Rarement mise en scène n'aura été aussi inventive. Zendaya est plus que jamais magnétique dans un rôle difficile jouant de son aura.
Voici
par La Rédaction
Sexy, volontiers outrancier et porté par un excellent trio d'acteurs, ce film se révèle malin dans son portrait des dynamiques de pouvoir.
20 Minutes
par Caroline Vié
Zendaya, Josh O’Connor et Mike Faist sont beaux comme des dieux et font ce qu’ils peuvent pour rendre leur relation sexy. L’analyse de leurs rapports toxiques peut passionner ou assommer selon ce qu’on attend de Challengers. Cette réflexion sur le sport, l’ambition et les dérives qu’ils peuvent causer n’est pas inintéressante mais pas toujours d’une extrême légèreté.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Fernando Gonzo
Si le choix d’un sport basé sur des face-à-face pour raconter un triangle amoureux peut interroger, décomposer les treize ans du récit en de constants allers-retours temporels déroute tout autant.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Le trio Zendaya- Mike Faist – Josh O’Connor joue à merveille de ces contrastes au fil d’un récit qui a le mérite de ne pas enfermer Trisha dans l’emploi de la femme briseuse d’amitié entre deux hommes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Louis Guichard
Tennis et triangle amoureux : un challenge plutôt réussi par le réalisateur de “Call Me By Your Name”, qui mise essentiellement sur le magnétisme érotique de ses interprètes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Une romance agréable qui vaut par son montage subtil et ses ruptures de ton. On regrettera des afféteries stylistiques qui nuisent à la rigueur de l’ensemble.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Josué Morel
Dans la chambre à coucher comme sur le court, le film ne laisse jamais ses acteurs interagir librement : même les scènes en principe les plus dépouillées finissent inévitablement noyées sous une musique envahissante.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par Etienne Sorin
Ce Jules et Jim pop et queer ne bouleverse pas le genre. Zendaya ne tire pas les ficelles, elle tient la chandelle.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Un objet design, chic et creux.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Le film nous laisse totalement lessivés, avec l’impression de sortir à la fois de deux heures de publicités sexualisantes doublées d’une de ces séances d’entraînement cardio à haute intensité dans des clubs pour cadres sup.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Luca Guadagnino atteint un nouveau degré de racolage avec ce triangle amoureux dans le milieu du tennis, où le sexy le dispute au vide.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Parisien
Un grand film très moderne.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Luca Guadagnino réinvente le triangle amoureux, catégorie compétition: l'amour est un sport comme les autres et c'est du très haut niveau.
LCI
Une tension renforcée par d’incroyables scènes de tennis - le vrai - mises en scène comme rarement auparavant avec une créativité toujours plus grande, jusqu’à une séquence finale à couper le souffle.
Le Dauphiné Libéré
Chaque échange de regard, chaque geste, devient une manœuvre calculée dans ce match où la victoire semble aussi incertaine que la trajectoire d'une balle de tennis.
Le Journal du Dimanche
La mise en scène stylisée sert d’écrin à une performance convaincante des acteurs, dont l’alchimie à l’écran est évidente. Un match psychologique arbitré par Zendaya, vénéneuse à souhait.
Le Monde
Avec beaucoup de virtuosité et sans jamais trop nous perdre, le film entrechoque ces deux époques, un âge d’or et un présent morne, faisant le compte des illusions perdues tout en observant la manière dont le désir, lui, est la seule chose qui ne se soit pas usée avec le temps.
Le Point
Zendaya fait des étincelles sur le court grâce à un montage virtuose.
Les Fiches du Cinéma
Assumant ses excès et ses maniérismes, Guadagnino livre un film électrisant.
Sud Ouest
Percutant, ambigu, follement sexy.
Télé Loisirs
Rarement mise en scène n'aura été aussi inventive. Zendaya est plus que jamais magnétique dans un rôle difficile jouant de son aura.
Voici
Sexy, volontiers outrancier et porté par un excellent trio d'acteurs, ce film se révèle malin dans son portrait des dynamiques de pouvoir.
20 Minutes
Zendaya, Josh O’Connor et Mike Faist sont beaux comme des dieux et font ce qu’ils peuvent pour rendre leur relation sexy. L’analyse de leurs rapports toxiques peut passionner ou assommer selon ce qu’on attend de Challengers. Cette réflexion sur le sport, l’ambition et les dérives qu’ils peuvent causer n’est pas inintéressante mais pas toujours d’une extrême légèreté.
Cahiers du Cinéma
Si le choix d’un sport basé sur des face-à-face pour raconter un triangle amoureux peut interroger, décomposer les treize ans du récit en de constants allers-retours temporels déroute tout autant.
Première
Le trio Zendaya- Mike Faist – Josh O’Connor joue à merveille de ces contrastes au fil d’un récit qui a le mérite de ne pas enfermer Trisha dans l’emploi de la femme briseuse d’amitié entre deux hommes.
Télérama
Tennis et triangle amoureux : un challenge plutôt réussi par le réalisateur de “Call Me By Your Name”, qui mise essentiellement sur le magnétisme érotique de ses interprètes.
aVoir-aLire.com
Une romance agréable qui vaut par son montage subtil et ses ruptures de ton. On regrettera des afféteries stylistiques qui nuisent à la rigueur de l’ensemble.
Critikat.com
Dans la chambre à coucher comme sur le court, le film ne laisse jamais ses acteurs interagir librement : même les scènes en principe les plus dépouillées finissent inévitablement noyées sous une musique envahissante.
Le Figaro
Ce Jules et Jim pop et queer ne bouleverse pas le genre. Zendaya ne tire pas les ficelles, elle tient la chandelle.
Les Echos
Un objet design, chic et creux.
Les Inrockuptibles
Le film nous laisse totalement lessivés, avec l’impression de sortir à la fois de deux heures de publicités sexualisantes doublées d’une de ces séances d’entraînement cardio à haute intensité dans des clubs pour cadres sup.
Libération
Luca Guadagnino atteint un nouveau degré de racolage avec ce triangle amoureux dans le milieu du tennis, où le sexy le dispute au vide.