Le Pharaon, le Sauvage et la princesse : Critique presse
Le Pharaon, le Sauvage et la princesse
Note moyenne
3,7
27 titres de presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le Dauphiné Libéré
20 Minutes
Bande à part
CNews
Closer
Femme Actuelle
L'Obs
La Croix
La Septième Obsession
Le Figaro
Le Journal du Dimanche
Le Point
Libération
Ouest France
Positif
Télé Loisirs
Télérama
Ecran Large
La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
Paris Match
Première
Sud Ouest
Télé 7 Jours
Critikat.com
Le Monde
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Trois récits splendides, célébrant le courage et la volonté de se dresser contre l’injustice.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Il faut toujours être libre et contre toutes les injustices, contre tous les arbitraires, contre toutes les violences, lutter. Telle pourrait être la morale commune aux trois contes de l’humaniste Michel Ocelot, trois merveilles d’animation d’une beauté sophistiquée.
20 Minutes
par Caroline Vié
Egypte antique, Auvergne médiévale et Turquie du XXIIIe siècle servent de toiles de fond à des histoires magiques dont l’esthétique s’adapte au décor. Fresque égyptienne, silhouettes noire et dessins luxuriants sont au rendez-vous d’un triptyque magique.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Olivier Bombarda
Un délicieux moment de contemplation.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Un film d’animation mettant à la suite trois courts-métrages aussi beaux que poétiques.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Closer
par La Rédaction
Un vocabulaire riche et savant, des dialogues ciselés, une bande originale envoûtante.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Une parenthèse de rêve.
L'Obs
par X. L.
Les traditionnelles ombres découpées cohabitent ici avec des enluminures d’une exquise beauté. Un enchantement.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Fidèle à son style raffiné, Michel Ocelot allie pertinence du message et beauté de l’ouvrage.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par La rédaction
Fluide, à l’image de certains de ses personnages, le film est à la fois (faussement) classique dans son exécution et fabuleusement moderne dans ses thématiques.
Le Figaro
par O.D.
Pour Le Pharaon, le sauvage et la princesse, l'inspiration de Michel Ocelot est née des contes populaires. A voir.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Racontées par la comédienne Aïssa Maïga, les fables morales et initiatiques, particulièrement envoûtantes, brillent par leur esthétique sublime, leur dimension universelle et intemporelle.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Un beau film, tout simplement.
Libération
par Marius Chapuis
Agglomérat de trois contes de longueurs inégales, le Pharaon, le Sauvage et la Princesse peut facilement être vu comme un petit film. Sauf qu’il n’y a rien de petit dans le cinéma d’Ocelot, où même la plus modeste des histoires se charge de grands sentiments.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Anne-Flore Hervé
Comme toujours, le réalisateur a le soucis du détail. Son animation minutieuse, esthétique et gourmande sert à merveille le propos (...).
Positif
par Eithne O’Neill
Les films d’animation de Michel Ocelot sont des contes à la beauté sidérante, qui scandent, sur un ton fantastique, le désir, l’amour et la cruauté des épreuves du réel et de la mort menaçante.
Télé Loisirs
par Philomène Durand
Superbe.
Télérama
par Cécile Mury
On traverse sans surprise la lente première partie égyptienne, pour trouver un bonheur attendu mais réel dans les deux autres histoires, nettement plus vives, oniriques et malicieuses, où la beauté des princes, sauvages ou déchus, se mêle aux amours contrariées et à la cruauté des parents, avant une fin heureuse, en forme d’ode à la liberté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Déborah Lechner
Avec Le Pharaon, le Sauvage et la Princesse, Michel Ocelot a fait du Michel Ocelot. Si le film ne transcende pas son art, notamment sa construction narrative de plus en plus consensuelle, il reste un riche et bel objet technique à découvrir sur grand écran.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un monde en reconstruction, où il faut s’affranchir de l’ordre établi (des parents peu indulgents par exemple) pour s’émanciper. Rendez-vous avec la liberté. Pas de doute, le merveilleux est bien au rendez-vous.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Sous la forme de trois contes distincts, un condensé des thématiques chères à Michel Ocelot. S’il est difficile de trouver une harmonie dans cette œuvre disparate, l’ensemble se regarde néanmoins avec plaisir.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Une construction narrative forcément inégale, lestée par des intermèdes sans intérêt, mais qui souligne une nouvelle fois l’élégance du dessin d’Ocelot comme son goût du verbe flamboyant et des personnages transgressifs.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Chèze
Avec Le Pharaon, le sauvage et la princesse, le papa de Kirikou renoue avec le genre de la collection de contes qui lui a si bien réussi avec Princes et Princesses et Contes de la nuit.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
La simplicité n’empêche pas la profondeur et Michel Ocelot a cet art qui consiste à viser l’essentiel sans fioritures inutiles. Lignes pures, formes stylisées, couleurs primaires, son graphisme est d’autant plus frappant qu’il n’exclut ni la splendeur des paysages ni la richesse des détails.
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Un émerveillement.
Critikat.com
par Étienne Cimetière-Cano
Ocelot semble mettre en scène, dans les plis du récit, une crise des histoires en même temps qu'une impossibilité à se renouveler.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par J. Ma.
sthétique abstraite de bas-relief pour le premier. Ombres chinoises pour le second. Ballet luxuriant grand siècle pour le troisième. La forme, toujours très travaillée, ne laisse toutefois guère de place au récit et aux personnages, réduits à leur plus simple expression. On frôle ici le décoratif.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Dernières Nouvelles d'Alsace
Trois récits splendides, célébrant le courage et la volonté de se dresser contre l’injustice.
Le Dauphiné Libéré
Il faut toujours être libre et contre toutes les injustices, contre tous les arbitraires, contre toutes les violences, lutter. Telle pourrait être la morale commune aux trois contes de l’humaniste Michel Ocelot, trois merveilles d’animation d’une beauté sophistiquée.
20 Minutes
Egypte antique, Auvergne médiévale et Turquie du XXIIIe siècle servent de toiles de fond à des histoires magiques dont l’esthétique s’adapte au décor. Fresque égyptienne, silhouettes noire et dessins luxuriants sont au rendez-vous d’un triptyque magique.
Bande à part
Un délicieux moment de contemplation.
CNews
Un film d’animation mettant à la suite trois courts-métrages aussi beaux que poétiques.
Closer
Un vocabulaire riche et savant, des dialogues ciselés, une bande originale envoûtante.
Femme Actuelle
Une parenthèse de rêve.
L'Obs
Les traditionnelles ombres découpées cohabitent ici avec des enluminures d’une exquise beauté. Un enchantement.
La Croix
Fidèle à son style raffiné, Michel Ocelot allie pertinence du message et beauté de l’ouvrage.
La Septième Obsession
Fluide, à l’image de certains de ses personnages, le film est à la fois (faussement) classique dans son exécution et fabuleusement moderne dans ses thématiques.
Le Figaro
Pour Le Pharaon, le sauvage et la princesse, l'inspiration de Michel Ocelot est née des contes populaires. A voir.
Le Journal du Dimanche
Racontées par la comédienne Aïssa Maïga, les fables morales et initiatiques, particulièrement envoûtantes, brillent par leur esthétique sublime, leur dimension universelle et intemporelle.
Le Point
Un beau film, tout simplement.
Libération
Agglomérat de trois contes de longueurs inégales, le Pharaon, le Sauvage et la Princesse peut facilement être vu comme un petit film. Sauf qu’il n’y a rien de petit dans le cinéma d’Ocelot, où même la plus modeste des histoires se charge de grands sentiments.
Ouest France
Comme toujours, le réalisateur a le soucis du détail. Son animation minutieuse, esthétique et gourmande sert à merveille le propos (...).
Positif
Les films d’animation de Michel Ocelot sont des contes à la beauté sidérante, qui scandent, sur un ton fantastique, le désir, l’amour et la cruauté des épreuves du réel et de la mort menaçante.
Télé Loisirs
Superbe.
Télérama
On traverse sans surprise la lente première partie égyptienne, pour trouver un bonheur attendu mais réel dans les deux autres histoires, nettement plus vives, oniriques et malicieuses, où la beauté des princes, sauvages ou déchus, se mêle aux amours contrariées et à la cruauté des parents, avant une fin heureuse, en forme d’ode à la liberté.
Ecran Large
Avec Le Pharaon, le Sauvage et la Princesse, Michel Ocelot a fait du Michel Ocelot. Si le film ne transcende pas son art, notamment sa construction narrative de plus en plus consensuelle, il reste un riche et bel objet technique à découvrir sur grand écran.
La Voix du Nord
Un monde en reconstruction, où il faut s’affranchir de l’ordre établi (des parents peu indulgents par exemple) pour s’émanciper. Rendez-vous avec la liberté. Pas de doute, le merveilleux est bien au rendez-vous.
Les Fiches du Cinéma
Sous la forme de trois contes distincts, un condensé des thématiques chères à Michel Ocelot. S’il est difficile de trouver une harmonie dans cette œuvre disparate, l’ensemble se regarde néanmoins avec plaisir.
Paris Match
Une construction narrative forcément inégale, lestée par des intermèdes sans intérêt, mais qui souligne une nouvelle fois l’élégance du dessin d’Ocelot comme son goût du verbe flamboyant et des personnages transgressifs.
Première
Avec Le Pharaon, le sauvage et la princesse, le papa de Kirikou renoue avec le genre de la collection de contes qui lui a si bien réussi avec Princes et Princesses et Contes de la nuit.
Sud Ouest
La simplicité n’empêche pas la profondeur et Michel Ocelot a cet art qui consiste à viser l’essentiel sans fioritures inutiles. Lignes pures, formes stylisées, couleurs primaires, son graphisme est d’autant plus frappant qu’il n’exclut ni la splendeur des paysages ni la richesse des détails.
Télé 7 Jours
Un émerveillement.
Critikat.com
Ocelot semble mettre en scène, dans les plis du récit, une crise des histoires en même temps qu'une impossibilité à se renouveler.
Le Monde
sthétique abstraite de bas-relief pour le premier. Ombres chinoises pour le second. Ballet luxuriant grand siècle pour le troisième. La forme, toujours très travaillée, ne laisse toutefois guère de place au récit et aux personnages, réduits à leur plus simple expression. On frôle ici le décoratif.