Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Culturopoing.com
par Eléonore Vigier et Olivier Rossignot
La Morsure façonne son imaginaire avec une richesse poétique et mélancolique rares, et un sous-texte pénétrant sur la fuite du temps. Par cela même, le cinéaste définit merveilleusement cet âge fragilisé, paradoxal, mélancolique et fougueux : l’obsession pour la mort est parfois le meilleur moyen de se révéler vivante.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Septième Obsession
par Jérôme d’Estais
Maîtrisé et vulnérable, La Morsure est un film qui se construit, telle son héroïne, en imposant délicatement son univers et ses choix esthétiques, laissant, l’air de rien, une merveilleuse petite escarre dans le cerveau du spectateur.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Derrière les masques de ce vrai-faux film d'horreur se dissimule une première œuvre intimiste rendant autant hommage à Cléo de 5 à 7 d'Agnès Varda qu'aux Quatre Cents Coups de Truffaut.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par J.-F. R.
À l’heure où l’on semble parfois vouloir de nouveau s’interroger, sans honte, sur la nécessité d’enfermer les adolescentes inconscientes des conséquences de leur libido, on peut dire que La Morsure apparaît comme une défense salutaire contre le retour de ces pulsions répressives.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Mad Movies
par Stéphane du Mesnildot
Que manque-t-il à un cinéma français à l'imaginaire encore verrouillé ? Le rêve, la révolte et le romantisme. La Morsure, premier film de Romain de Saint-Blanquat, regorge de tout cela et même bien plus.
Positif
par Yannick Lemarié
On admire la tenue d’un scénario qui sait jouer avec ses références sans jamais craindre l’ambiguïté ni le sérieux ; on admire de même la qualité d’une image où les lumières (...) et les cadres réussissent à distiller une atmosphère à la fois étrange et singulière.
Télé Loisirs
par M.L.
Il y a du style, du talent pour la mise en scène et un goût pour subvertir le film de vampire dans le premier long métrage de Romain de Saint-Blanquat. Seul bémol : le rythme aurait pu être plus enlevé.
Voici
par La rédaction
Pour son premier film, Romain de Saint-Blanquat reconstitue avec brio les années 60 et leur emprunte les images d'un cinéma suranné pour mieux revisiter le mythe du vampire.
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Jouant jusqu’au bout de l’indétermination et du refus de la binarité, le film apparaît alors comme une œuvre de l’entre-deux et de la réciprocité qui, s’intéressant à ses personnages plus qu’à l’issue de son récit, se refuse à assigner une fin à l’histoire en dépassant les frontières de l’aube.
CinemaTeaser
par Alex Masson
Si les crocs de ce premier film s'émoussent sur un certain maniérisme dandy, son approche du réprimé chez les jeunes filles en fleur ou sa diatribe épinglant les mœurs conservatrices de la bourgeoisie ont un certain charme blasphématoire (...).
Ecran Large
par Judith Beauvallet
Bien plus récit d'une crise d'adolescence que d'une prédation vampirique, La Morsure mise tout sur son charme suranné et sur la présence de Léonie Dahan-Lamort, ce qui n'est pas un mauvais calcul.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
par Erwan Bargain
La figure du vampire imaginée par le cinéaste pourra paraître désuète, mais bizarrement, elle participe à la singularité de La Morsure qui, avec sa volonté d’être à la lisière de différents genres (...) et son ambiance magnétique, exerce un fort pouvoir de fascination.
Le Parisien
par Renaud Baronian
S’il a les défauts d’un premier film et souffre d’un récit déséquilibré, La Morsure, avec ses allures fantastiques un peu trash, distille un ton original, parfois envoûtant, et offre une très réussie reconstitution de la province des années 1960 dans sa première partie.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Nekourouh
Une Morsure plaisante, parfois savoureuse et intrigante, mais parfois indolore et lassante. Ce drame de l’adolescence, bien ancré historiquement, souffre d’un fond trop politique et d’une forme qui n’a pas vraiment élucidé son rapport au mysticisme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Samuel Douhaire
Dans un décor fantastique, le parcours initiatique de deux jeunes filles à l’aube de Mai 68. Une atmosphère poétique séduisante et de la bonne musique : une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Thomas Grignon
Cette manière de s’approprier les codes du cinéma d’horreur pour développer une fable sociale – ici, sur les désirs d’émancipation de la jeunesse d’avant mai-68 – a le mérite de mettre au jour la tension qui innerve le cinéma d’auteur lorsqu’il se réapproprie un imaginaire horrifique. La Morsure ne parvient toutefois pas à donner corps à cette enquête mentale.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par S. B.
Un geste de mise en scène résolument insolite pour raconter l’éveil à la sexualité. Dommage que le rythme s’effondre et que le charme rétro cède sa place à un érotisme kitsch façon Jean Rollin.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Damien Leblanc
Si la mise en scène léchée fait parfois mouche, le récit se révèle étrangement atone et cousu de fil blanc jusqu’à créer un rythme trop nonchalant. Brièvement convoqués, les fantômes de Clouzot, Rollin ou Argento restent au final loin à l’horizon.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
par Isabelle Danel
Le décor est laid, l’image triste, l’interprétation approximative et le scénario semble un salmigondis d’idées piquées à droite à gauche.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Culturopoing.com
La Morsure façonne son imaginaire avec une richesse poétique et mélancolique rares, et un sous-texte pénétrant sur la fuite du temps. Par cela même, le cinéaste définit merveilleusement cet âge fragilisé, paradoxal, mélancolique et fougueux : l’obsession pour la mort est parfois le meilleur moyen de se révéler vivante.
La Septième Obsession
Maîtrisé et vulnérable, La Morsure est un film qui se construit, telle son héroïne, en imposant délicatement son univers et ses choix esthétiques, laissant, l’air de rien, une merveilleuse petite escarre dans le cerveau du spectateur.
Le Figaro
Derrière les masques de ce vrai-faux film d'horreur se dissimule une première œuvre intimiste rendant autant hommage à Cléo de 5 à 7 d'Agnès Varda qu'aux Quatre Cents Coups de Truffaut.
Le Monde
À l’heure où l’on semble parfois vouloir de nouveau s’interroger, sans honte, sur la nécessité d’enfermer les adolescentes inconscientes des conséquences de leur libido, on peut dire que La Morsure apparaît comme une défense salutaire contre le retour de ces pulsions répressives.
Mad Movies
Que manque-t-il à un cinéma français à l'imaginaire encore verrouillé ? Le rêve, la révolte et le romantisme. La Morsure, premier film de Romain de Saint-Blanquat, regorge de tout cela et même bien plus.
Positif
On admire la tenue d’un scénario qui sait jouer avec ses références sans jamais craindre l’ambiguïté ni le sérieux ; on admire de même la qualité d’une image où les lumières (...) et les cadres réussissent à distiller une atmosphère à la fois étrange et singulière.
Télé Loisirs
Il y a du style, du talent pour la mise en scène et un goût pour subvertir le film de vampire dans le premier long métrage de Romain de Saint-Blanquat. Seul bémol : le rythme aurait pu être plus enlevé.
Voici
Pour son premier film, Romain de Saint-Blanquat reconstitue avec brio les années 60 et leur emprunte les images d'un cinéma suranné pour mieux revisiter le mythe du vampire.
Cahiers du Cinéma
Jouant jusqu’au bout de l’indétermination et du refus de la binarité, le film apparaît alors comme une œuvre de l’entre-deux et de la réciprocité qui, s’intéressant à ses personnages plus qu’à l’issue de son récit, se refuse à assigner une fin à l’histoire en dépassant les frontières de l’aube.
CinemaTeaser
Si les crocs de ce premier film s'émoussent sur un certain maniérisme dandy, son approche du réprimé chez les jeunes filles en fleur ou sa diatribe épinglant les mœurs conservatrices de la bourgeoisie ont un certain charme blasphématoire (...).
Ecran Large
Bien plus récit d'une crise d'adolescence que d'une prédation vampirique, La Morsure mise tout sur son charme suranné et sur la présence de Léonie Dahan-Lamort, ce qui n'est pas un mauvais calcul.
L'Ecran Fantastique
La figure du vampire imaginée par le cinéaste pourra paraître désuète, mais bizarrement, elle participe à la singularité de La Morsure qui, avec sa volonté d’être à la lisière de différents genres (...) et son ambiance magnétique, exerce un fort pouvoir de fascination.
Le Parisien
S’il a les défauts d’un premier film et souffre d’un récit déséquilibré, La Morsure, avec ses allures fantastiques un peu trash, distille un ton original, parfois envoûtant, et offre une très réussie reconstitution de la province des années 1960 dans sa première partie.
Les Fiches du Cinéma
Une Morsure plaisante, parfois savoureuse et intrigante, mais parfois indolore et lassante. Ce drame de l’adolescence, bien ancré historiquement, souffre d’un fond trop politique et d’une forme qui n’a pas vraiment élucidé son rapport au mysticisme.
Télérama
Dans un décor fantastique, le parcours initiatique de deux jeunes filles à l’aube de Mai 68. Une atmosphère poétique séduisante et de la bonne musique : une réussite.
Critikat.com
Cette manière de s’approprier les codes du cinéma d’horreur pour développer une fable sociale – ici, sur les désirs d’émancipation de la jeunesse d’avant mai-68 – a le mérite de mettre au jour la tension qui innerve le cinéma d’auteur lorsqu’il se réapproprie un imaginaire horrifique. La Morsure ne parvient toutefois pas à donner corps à cette enquête mentale.
Le Journal du Dimanche
Un geste de mise en scène résolument insolite pour raconter l’éveil à la sexualité. Dommage que le rythme s’effondre et que le charme rétro cède sa place à un érotisme kitsch façon Jean Rollin.
Première
Si la mise en scène léchée fait parfois mouche, le récit se révèle étrangement atone et cousu de fil blanc jusqu’à créer un rythme trop nonchalant. Brièvement convoqués, les fantômes de Clouzot, Rollin ou Argento restent au final loin à l’horizon.
L'Obs
Le décor est laid, l’image triste, l’interprétation approximative et le scénario semble un salmigondis d’idées piquées à droite à gauche.