Avis : Le Règne animal - Page 3

C'est bien simple je suis sortie de la salle au bout de 20 min c'est tout dire. Pour ma part j'ai trouvé l'image laide et l'histoire sans aucun intérêt. Nul !

Ça fait vraiment longtemps que j'avais rien vu d'aussi Nul. Quand je vois les notes je me dis que ou j'ai rien compris au film ou ce sont de faux avis... Nul! Et pourtant j'aime les acteurs. Mais rien rien d'intéressant... long et ennuyeux.

La bande son était alléchante mais je sors déçue du film , long et ennuyeux. Les personnages ne sont pas attachants, le scenario est peu crédible , les acteurs sur-jouent, le message est digne du CE2.
Mention spéciale tout de même aux maquillage et à l'image, même si cela ne sauve rien.

Je ne goute pas au genre fantastique. Et je n’apprécie pas Romain Duris avec son expression toujours la même quoiqu’il interprète. Il avait déjà donné dans un film catastrophe sur fond écolo : « La brume » (2018). Il est encore cette fois sur le même registre du papa sauveur au service d’un message (celui du réalisateur et scénariste). Bon, moi je n’aime pas mais la moyenne issue des critiques est plutôt bonne. C’est d’ailleurs pour ça que je me suis laissé tenter. Ma note sera à dessein neutre.

Respirez, ressentez la nature, écouter là : faites "shirin-joku", comme disent les Japonais. Vous entendrez des sons bizarres, verrez quelques animaux fantastiques, c'est un bestiaire extraordinaire !
Ce film est une bombe atomique !

Thomas Cailley manie l’art du cinéma pour nous offrir une œuvre poétique qui chante la beauté de la nature, nous incite à renforcer nos liens avec ce qui nous entoure, sous toute forme et rejette la peur face aux différences. Le Règne Animal dénonce le comportement souvent inhumain, des humains qu’il confronte avec l’innocence des animaux qu’on considère comme « sauvage ». Grâce à une bande-son enivrante, des scènes explosantes d’émotions, un duo père/fils profondément touchant et un casting rayonnant de talent, le film insuffle à son public une farandole d’idées et de messages dignes d’être écoutés et surtout, appliqués. Filmé avec une grande pointe de réalisme et porté par un scénario qui se démarque par son audace et sa créativité, deux heures s’écoulent à toute allure pour nous laisser vivre un moment de fraîcheur et d’exaltation.

Un petit bijou de film fantastique français avec quelques scènes de body horror (bien dérangeante), un genre suffisamment rare pour signaler sa qualité indéniable. Le casting est réussi et talentueux. Une fable dramatique qui prend au trippe avec une BO magnifique qui accompagne le tout et renforce un scénario parfois prévisible. Une fin tragique et sublime à la fois...vous serez étonné de ce que réalise ce Règne Animal. PS Enfin du grand Romain Duris.

J'aime le cinéma. C'est une grammaire visuelle qui doit servir un propos riche ET provoquer des émotions. Là rien de tout cela. De l'originalité mais pas de maîtrise. Un propos qui pourrait être riche mais aucune profondeur dans son exposition. Des acteurs expérimentés dans un rôle faiblard ( mention à Adèle Archelopoulos dans le pire rôle de sa vie) et des débutants façon film etudiant dans tous les plans importants. Ça ne marche pas. Visuellement tourné comme un téléfilm. Et la presse qui s'émerveille. C'est tout simplement nul, du niveau de Blair witch project. on en sort en rigolant tellement c'est nul.

Mais quel arnaque ! j'y suis allé plein d'enthousiasme et de curiosité suite à la promotion mais au bout de 30 minutes PCHITTT... on comprend qu'il ne se passera rien et il ne se passe rien. Long et ennuyeux, désolé...

Vu au festival de Cannes (malgré un problème de coupure de son en fin du film) : ce film est une bombe à retardement ! Comme quoi les français sont capables à faire un film de genre à la fois très bien réalisé (de tres bons effets spéciaux et des maquillages à la pointe de la technologie) dans de tres beaux décors (le paysage aquitain etait parfait pour représenter cette jungle animale : spoiler: repere des animaux et des créatures perdues
) sans oublier cette belle émotion et l'authenticité de tous les acteurs. L'un de mes coups de coeur de ce dernier festival.

Décidément, entre "Apaches", "Visions", "DogMan", "Acide" etc., le cinéma de genre français à la part belle en 2023, ce qui fait très plaisir ! Et pourtant, je dois dire que je n'avais pas spécialement d'attentes envers celui-ci, réalisé par Thomas Cailley ; je dois même dire dire qu'il ne m'attirait pas tant que ça. Car s'il avait l'air très beau sur le plan technique, le synopsis et la bande-annonce me faisaient plus penser à un drame mélodramatique déguisé en film de genre. Et c'est bien le film de genre qui prime ! On est en effet dans du fantastique à fond en nous plongeant dans un futur proche dans lequel la mutation avec des animaux serait devenu une norme, comme le Covid à l'époque (on y repérera même un petit clin d’œil en mentionnant le confinement). Bref, les humains doivent vivre avec ces "créatures", certains n'y voient pas d’inconvénients tandis que d'autres veulent les chasser ou les envoyer dans des centres. Et l'intrigue se concentre sur une un père et son fils qui tentent de retrouver la mère, échappée d'un de ces centres. Mais pas que. Et c'est là où l'histoire devient vraiment intéressante car elle nous fait réellement passer par toute une palette d'émotions, que ce soit du rire aux larmes. Car oui, le film possède cette espèce de patte humoristique, très subtile, surtout apportée par les personnages et notamment Romain Duris qui excelle dans ce genre. Et dans un même temps, nous avons ces questions de l'adaptation à un monde en constante mutation justement, quelques fois sombre, quelques fois très beau mais qui ne laisse en tout cas jamais indifférent. Surtout qu'on ne sait jamais vraiment où le film veut nous emmener, ce qui n'est pas un défaut pour le coup car il ne perd jamais son spectateur mais le tient toujours en haleine pour l'émerveiller, le surprendre ou même le dégouter. Et je dois dire que j'ai été particulièrement sensible à la fin que je trouve magnifique et déchirante à la fois car elle est avant tout très bien écrite, très bien réalisée et très bien jouée. D'ailleurs, en parlant de mise en scène, tout d'abord la photographie est magnifique, les effets spéciaux et maquillages sont très bons mais la réalisation est également très réussie, installant notamment cette ambiance mystique dans la forêt. "Le Règne animal" est donc pour ma part une très bonne découverte.

Un chef d'œuvre absolu. Une scène de chasse à couper le souffle avec ses bergers et cette peur qui ne nous quitte pas durant tout le film pour ce jeune héros magistralement interprété.

quel film ! j'ai été bluffé !! Du cinema total vous riez, frissonez, pleurez. c'ets simplement beau, intelligent, emouvant. le film embrasse avec naturel et beaucoup de cohérence des genres de cinema multiples qui se répondent, s'enrichissent pour une oeuvre majeure. quel que soit le type de cinéma que vous aimez, allez y, vous serez transportés !!

Les deux comédiens sont bons mais la trame n'a aucun sens, plutôt pitoyable , voire risible des questions baragouinées et jamais de réponses

Deux semaines après "Acide", voilà qu’arrive sur nos écrans "Le règne animal", un autre film français mêlant fantastique et réalisme contemporain, un film qui, il y a quelques mois, a fait l’ouverture de la sélection Un Certain Regard de Cannes 2023. Pour celles et ceux qui étaient resté.e.s sur "Les combattants", le film de cinéma précédent de Thomas Cailley, sorti en 2014, ce virage vers le fantastique peut faire l’effet d’une surprise, même si la toute fin de ce film amorçait déjà un virage de ce type. Par contre, il n’y aura pas du tout de surprise pour celles et ceux qui ont suivi la série "Ad Vitam", diffusée durant l’automne 2018 sur Arte, une série d’anticipation créée par … Thomas Cailley. Dans "Le règne animal", le réalisateur et la coscénariste Pauline Munier ont choisi de faire intervenir le fantastique dans nos vies de tous les jours et en restant dans des contrées tout ce qu’il y a de plus hexagonales : Paris, les Landes de Gascogne. Ce film, qui a tendance à se disperser et qui aurait gagné à être raccourci de deux dizaines de minutes, n’a pas la même force que "Les combattants" et on ne peut s’empêcher de ressentir une petite déception à sa vision.