Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
45 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
La beauté des créatures et la justesse des interprètes qui les incarnent n’éclipsent en rien la puissance d’une œuvre centrée sur la relation difficile entre un père souvent trop autoritaire et son fils en pleine mutation.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Le film qu'on attendait pour provoquer une salutaire déflagration dans nos consciences.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Renan Cros
Énorme ambition. Énorme résultat : Le Règne animal impressionne, touche au cœur et flatte la rétine. Du cinéma qui n'a peur de rien.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Après les Combattants, César du meilleur premier film en 2015, le cinéaste signe une ambitieuse fable fantastique sur notre part d’animalité, la transmission et les liens du sang. Un objet hybride fascinant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
LCI
par Jérôme Vermelin
Si Le Règne Animal fait écho à l’actualité récente, et à toutes les formes de discriminations en général, c’est aussi et surtout un très beau film sur la filiation.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Voix du Nord
par Christophe Caron
De cette étrange chrysalide s’extrait un long-métrage poétique et bouleversant, au final inoubliable. Le genre de proposition qu’on ne peut pas refuser.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un film à grand spectacle, prenant et émaillé d’humour (certaines répliques sont poilantes), qui semble lorgner du côté d’Hollywood tout en étant de chez nous. Un film d’auteur généreux qui progresse sans se brider et sans peur du ridicule.
Le Parisien
par La Rédaction
Les effets spéciaux du « Règne animal » sont totalement bluffants et ces créatures impressionnantes de réalisme. Mais ce qui fait de ce long-métrage, très souvent drôle et bouleversant, un film époustouflant, c’est la profondeur des questions qu’il soulève.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Thomas Cailley dirige Romain Duris dans un film de genre qui dynamite les conventions. Cette fiction ambitieuse sur les mutations, l'exclusion et les rapports père-fils s'impose comme la plus belle surprise de l'automne.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Cailley aborde la mutation comme un projet politique, la monstruosité comme une opportunité de faire contre-société. Plutôt que de justifier le pourquoi du comment, il fait le choix judicieux d’explorer les conséquences d’un devenir-animal, d’abord subi avant d’être embrassé pleinement.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
De retour neuf ans après son premier long métrage, Thomas Cailley enchante avec un blockbuster d’auteur au budget ambitieux. Une fable fantastique où les genres s’hybrident, qui nous place aux premières loges des mutations de l’espèce humaine.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
On ignore si d’autres films viendront prochainement s’inscrire dans le filon de ces « nouveaux récits », mais si tel est le cas, ils devront être sacrément inspirés pour se hisser à la hauteur du remuant Règne animal.
Ouest France
par Pascale Vergereau
Du cinéma d'anticipation français bluffant, sur le fond comme sur la forme.
Positif
par Fabien Gaffez
Pareil cinéma populaire, traversé par un souffle romanesque connecté au contemporain, adossé à l’épaisseur existentielle de ses personnages, crédible dans ses effets spéciaux, naturel dans son mélange des genres, pareil cinéma populaire, disais-je, s’il marche, et il faut qu’il marche, donnera des idées à l’industrie. "Le Règne animal", mine de rien, est un passeport pour l’avenir (de la salle, du cinéma, de l’espèce).
Première
par Gael Golhen
Mais pour l’instant, un conseil : trouvez-vous une place dans la petite bagnole de Romain Duris, accrochez votre ceinture, et préparez-vous au choc. Le Règne animal est un chef-d’œuvre étourdissant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
Une épopée passionnante, ample, métaphorique. Thomas Cailley porte un regard ému et émouvant sur l'adolescence, période de mutation s'il en est.
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Étrange et magnifique film que ce deuxième long-métrage de Thomas Cailley, "Le Règne animal", un fantastique à rebours des blockbusters hollywoodiens.
Télérama
par Cécile Mury
Cet enjeu central est porté avec une délicatesse fiévreuse, un charisme magnétique par un Romain Duris brûlé, tendu, vrai, déchirant de dévouement opiniâtre, et le jeune comédien Paul Kircher, révélé par Le Lycéen (de Christophe Honoré).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Porté par la mise en scène élégante de Thomas Cailley, mais aussi par des effets spéciaux extrêmement réussis, ce drame se révèle d'une grande singularité dans le paysage cinématographique français. A ne rater sous aucun prétexte.
CNews
par La rédaction
Dingue, complètement barré et d'une audace folle.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Cahiers du Cinéma
par Jérôme Momcilovic
Le Règne animal parvient à bâtir un imaginaire aussi singulier que généreux, où s’accomplit avec une réelle audace la vocation de fabuliste de Cailley.
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Bien qu’imparfait, ce deuxième long-métrage s’impose comme une réussite indéniable et incontournable.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
La métamorphose kafkaïenne qui se joue avec ce scénario, en même temps qu’un oppressant cauchemar de fin des temps, déborde le genre du film, avec ses monstres fantastiques. Elle l’excède par sa croyance en des vertus irréductibles : l’amour et la compassion. Quelque chose de profondément humain.
Ecran Large
par Geoffrey Crété
"Le Règne animal" déborde d'idées, d'ambitions et de poésie pour donner vie et corps à ce monde mi-magique mi-inquiétant. Le pari est énorme, le savoir-faire impressionnant, et c'est largement assez pour emporter.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Un film d'une énergie folle.
Franceinfo Culture
par Ariane Combes-Savary
Une combinaison étonnante de film fantastique et de fable écologique, aussi spectaculaire qu'intimiste.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
GQ
par Clément Deleschaud
Le Règne Animal de Thomas Cailley met en crise notre monde actuel et nous invite à la régénération, avec force, violence et amour.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Ecran Fantastique
par Guillaume Chameyrat
Bien ancré dans son époque, le cinéaste français fait rimer spectaculaire et intelligence, jongle avec maestria sur des thèmes universels tels que l'Évolution, le racisme, la perte d’un être cher, le passage à l’âge adulte, la filiation père-fils…
L'Obs
par Nicolas Schaller
La preuve qu’on est capable en France, sans se renier ni copier les Américains, de conjuguer spectacle et ambition.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
C’est dans cet équilibre très travaillé que le réalisateur apporte sa singularité et sa capacité à interroger les enjeux de notre monde contemporain à travers une histoire universelle. Du grand art.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par La rédaction
La réalisation créant un univers bruissant, où cadre, montage et composition sonore édifient un écrin sublime pour ce récit initiatique.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
La métamorphose kafkaïenne qui se joue avec ce scénario, en même temps qu’un oppressant cauchemar de fin des temps, déborde le genre du film, avec ses monstres fantastiques.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Thomas Cailley met en scène une superbe relation père-fils dans un monde où les humains mutent en animaux. Un récit intime et spectaculaire, à la croisée du fantastique et de la comédie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par M. Dl.
En se refusant le recours aux chimères numériques de l’intelligence artificielle et à l’hyperréalisme qu’elles sont susceptibles de produire, Thomas Cailley renoue avec un cinéma artisanal et poétique, dont l’humour doit beaucoup à son sens du bricolage.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Lucas Fillon
Pour ce film singulier dans le paysage du cinéma français, Thomas Cailley et ses équipes ont, au final, créé des images saisissantes, tournées en décors réels : plus vraies que nature, indiscutablement.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Thomas Cailley continue à porter à l'écran des combattants, dans ce film qui fait du devenir-animal des humains une poussée sensorielle, une décharge politique et un châtiment mystérieux - tout à la fois et bien plus encore.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Si l'on était déjà tenté de défendre le projet sur la seule base de son concept, l'œuvre se révèle être une fable encore plus attachante que prévu, en partie grâce à un amour évident du fantastique et à un bestiaire extraordinaire.
Marie Claire
par Maëlys Peiteado
La beauté du "Règne animal" ne réside pas seulement dans sa photographie et sa bande-son superbes. Le film traite de la différence, pose un regarde doux sur les rejetés de la société, tout en posant la question de l'adaptation des hommes quand la nature reprend ses droits.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Paris Match
par Yannick Vely
[...] il faut être courageux (ou inconscient) pour se lancer dans un film de mutants français qui reprend du cinéma américain le sens du merveilleux, mais en lui apportant une touche familiale Made in France [...].
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Explorant le thème de la métamorphose à des égards tant littéraires que politiques, sans pour autant oublier d’attirer l’attention du spectateur au cœur de ces mutations animales, Cailley impose une mise en scène maîtrisée, servie par le duo père-fils formé par Duris, ici très juste, et le jeune Kircher, toujours prometteur.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
[...] un film de genre à grand spectacle, haletant de bout en bout, aussi profond que divertissant, qui, surtout, n’a rien à envier à ses modèles américains.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Inventif, fécond, surfant sur tous les genres qu’il s’agisse de la comédie, du fantastique et du drame, Le Règne animal est une franche réussite.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Femme Actuelle
par La Rédaction
Dans un genre assez rare en France, ce film conte a au moins le mérite d'offrir quelques images fortes, dont on se souvient.
Télé Loisirs
par Yoann Jenan
Si tout n'est pas parfait, Thomas Cailley, qui utilise à merveille le paysage des Landes, a l'audace de proposer un film unique aux effets spéciaux très réussis.
Critikat.com
par Josué Morel
Il manque manifestement au film un sens de la mise en scène pour dépasser le stade du scénario bien troussé, mais son alliage narratif sert tout de même d’écrin pour les interprètes.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
20 Minutes
La beauté des créatures et la justesse des interprètes qui les incarnent n’éclipsent en rien la puissance d’une œuvre centrée sur la relation difficile entre un père souvent trop autoritaire et son fils en pleine mutation.
Bande à part
Le film qu'on attendait pour provoquer une salutaire déflagration dans nos consciences.
CinemaTeaser
Énorme ambition. Énorme résultat : Le Règne animal impressionne, touche au cœur et flatte la rétine. Du cinéma qui n'a peur de rien.
L'Humanité
Après les Combattants, César du meilleur premier film en 2015, le cinéaste signe une ambitieuse fable fantastique sur notre part d’animalité, la transmission et les liens du sang. Un objet hybride fascinant.
LCI
Si Le Règne Animal fait écho à l’actualité récente, et à toutes les formes de discriminations en général, c’est aussi et surtout un très beau film sur la filiation.
La Voix du Nord
De cette étrange chrysalide s’extrait un long-métrage poétique et bouleversant, au final inoubliable. Le genre de proposition qu’on ne peut pas refuser.
Le Journal du Dimanche
Un film à grand spectacle, prenant et émaillé d’humour (certaines répliques sont poilantes), qui semble lorgner du côté d’Hollywood tout en étant de chez nous. Un film d’auteur généreux qui progresse sans se brider et sans peur du ridicule.
Le Parisien
Les effets spéciaux du « Règne animal » sont totalement bluffants et ces créatures impressionnantes de réalisme. Mais ce qui fait de ce long-métrage, très souvent drôle et bouleversant, un film époustouflant, c’est la profondeur des questions qu’il soulève.
Les Echos
Thomas Cailley dirige Romain Duris dans un film de genre qui dynamite les conventions. Cette fiction ambitieuse sur les mutations, l'exclusion et les rapports père-fils s'impose comme la plus belle surprise de l'automne.
Les Inrockuptibles
Cailley aborde la mutation comme un projet politique, la monstruosité comme une opportunité de faire contre-société. Plutôt que de justifier le pourquoi du comment, il fait le choix judicieux d’explorer les conséquences d’un devenir-animal, d’abord subi avant d’être embrassé pleinement.
Libération
De retour neuf ans après son premier long métrage, Thomas Cailley enchante avec un blockbuster d’auteur au budget ambitieux. Une fable fantastique où les genres s’hybrident, qui nous place aux premières loges des mutations de l’espèce humaine.
Marianne
On ignore si d’autres films viendront prochainement s’inscrire dans le filon de ces « nouveaux récits », mais si tel est le cas, ils devront être sacrément inspirés pour se hisser à la hauteur du remuant Règne animal.
Ouest France
Du cinéma d'anticipation français bluffant, sur le fond comme sur la forme.
Positif
Pareil cinéma populaire, traversé par un souffle romanesque connecté au contemporain, adossé à l’épaisseur existentielle de ses personnages, crédible dans ses effets spéciaux, naturel dans son mélange des genres, pareil cinéma populaire, disais-je, s’il marche, et il faut qu’il marche, donnera des idées à l’industrie. "Le Règne animal", mine de rien, est un passeport pour l’avenir (de la salle, du cinéma, de l’espèce).
Première
Mais pour l’instant, un conseil : trouvez-vous une place dans la petite bagnole de Romain Duris, accrochez votre ceinture, et préparez-vous au choc. Le Règne animal est un chef-d’œuvre étourdissant.
Sud Ouest
Une épopée passionnante, ample, métaphorique. Thomas Cailley porte un regard ému et émouvant sur l'adolescence, période de mutation s'il en est.
Transfuge
Étrange et magnifique film que ce deuxième long-métrage de Thomas Cailley, "Le Règne animal", un fantastique à rebours des blockbusters hollywoodiens.
Télérama
Cet enjeu central est porté avec une délicatesse fiévreuse, un charisme magnétique par un Romain Duris brûlé, tendu, vrai, déchirant de dévouement opiniâtre, et le jeune comédien Paul Kircher, révélé par Le Lycéen (de Christophe Honoré).
Voici
Porté par la mise en scène élégante de Thomas Cailley, mais aussi par des effets spéciaux extrêmement réussis, ce drame se révèle d'une grande singularité dans le paysage cinématographique français. A ne rater sous aucun prétexte.
CNews
Dingue, complètement barré et d'une audace folle.
Cahiers du Cinéma
Le Règne animal parvient à bâtir un imaginaire aussi singulier que généreux, où s’accomplit avec une réelle audace la vocation de fabuliste de Cailley.
Culturopoing.com
Bien qu’imparfait, ce deuxième long-métrage s’impose comme une réussite indéniable et incontournable.
Dernières Nouvelles d'Alsace
La métamorphose kafkaïenne qui se joue avec ce scénario, en même temps qu’un oppressant cauchemar de fin des temps, déborde le genre du film, avec ses monstres fantastiques. Elle l’excède par sa croyance en des vertus irréductibles : l’amour et la compassion. Quelque chose de profondément humain.
Ecran Large
"Le Règne animal" déborde d'idées, d'ambitions et de poésie pour donner vie et corps à ce monde mi-magique mi-inquiétant. Le pari est énorme, le savoir-faire impressionnant, et c'est largement assez pour emporter.
Elle
Un film d'une énergie folle.
Franceinfo Culture
Une combinaison étonnante de film fantastique et de fable écologique, aussi spectaculaire qu'intimiste.
GQ
Le Règne Animal de Thomas Cailley met en crise notre monde actuel et nous invite à la régénération, avec force, violence et amour.
L'Ecran Fantastique
Bien ancré dans son époque, le cinéaste français fait rimer spectaculaire et intelligence, jongle avec maestria sur des thèmes universels tels que l'Évolution, le racisme, la perte d’un être cher, le passage à l’âge adulte, la filiation père-fils…
L'Obs
La preuve qu’on est capable en France, sans se renier ni copier les Américains, de conjuguer spectacle et ambition.
La Croix
C’est dans cet équilibre très travaillé que le réalisateur apporte sa singularité et sa capacité à interroger les enjeux de notre monde contemporain à travers une histoire universelle. Du grand art.
La Septième Obsession
La réalisation créant un univers bruissant, où cadre, montage et composition sonore édifient un écrin sublime pour ce récit initiatique.
Le Dauphiné Libéré
La métamorphose kafkaïenne qui se joue avec ce scénario, en même temps qu’un oppressant cauchemar de fin des temps, déborde le genre du film, avec ses monstres fantastiques.
Le Figaro
Thomas Cailley met en scène une superbe relation père-fils dans un monde où les humains mutent en animaux. Un récit intime et spectaculaire, à la croisée du fantastique et de la comédie.
Le Monde
En se refusant le recours aux chimères numériques de l’intelligence artificielle et à l’hyperréalisme qu’elles sont susceptibles de produire, Thomas Cailley renoue avec un cinéma artisanal et poétique, dont l’humour doit beaucoup à son sens du bricolage.
Le Point
Pour ce film singulier dans le paysage du cinéma français, Thomas Cailley et ses équipes ont, au final, créé des images saisissantes, tournées en décors réels : plus vraies que nature, indiscutablement.
Les Fiches du Cinéma
Thomas Cailley continue à porter à l'écran des combattants, dans ce film qui fait du devenir-animal des humains une poussée sensorielle, une décharge politique et un châtiment mystérieux - tout à la fois et bien plus encore.
Mad Movies
Si l'on était déjà tenté de défendre le projet sur la seule base de son concept, l'œuvre se révèle être une fable encore plus attachante que prévu, en partie grâce à un amour évident du fantastique et à un bestiaire extraordinaire.
Marie Claire
La beauté du "Règne animal" ne réside pas seulement dans sa photographie et sa bande-son superbes. Le film traite de la différence, pose un regarde doux sur les rejetés de la société, tout en posant la question de l'adaptation des hommes quand la nature reprend ses droits.
Paris Match
[...] il faut être courageux (ou inconscient) pour se lancer dans un film de mutants français qui reprend du cinéma américain le sens du merveilleux, mais en lui apportant une touche familiale Made in France [...].
Rolling Stone
Explorant le thème de la métamorphose à des égards tant littéraires que politiques, sans pour autant oublier d’attirer l’attention du spectateur au cœur de ces mutations animales, Cailley impose une mise en scène maîtrisée, servie par le duo père-fils formé par Duris, ici très juste, et le jeune Kircher, toujours prometteur.
Télé 7 Jours
[...] un film de genre à grand spectacle, haletant de bout en bout, aussi profond que divertissant, qui, surtout, n’a rien à envier à ses modèles américains.
aVoir-aLire.com
Inventif, fécond, surfant sur tous les genres qu’il s’agisse de la comédie, du fantastique et du drame, Le Règne animal est une franche réussite.
Femme Actuelle
Dans un genre assez rare en France, ce film conte a au moins le mérite d'offrir quelques images fortes, dont on se souvient.
Télé Loisirs
Si tout n'est pas parfait, Thomas Cailley, qui utilise à merveille le paysage des Landes, a l'audace de proposer un film unique aux effets spéciaux très réussis.
Critikat.com
Il manque manifestement au film un sens de la mise en scène pour dépasser le stade du scénario bien troussé, mais son alliage narratif sert tout de même d’écrin pour les interprètes.