Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Transfuge
par Jean-Noël Orengo
Documentaire sublimé par Opio, treize ans et forçat dans les mines d’or du Burkina Faso, Si tu es un homme sidère par sa beauté sans effets.
Bande à part
par Nadia Meflah
Documentaire âpre sur le destin d’un jeune garçon condamné à creuser les entrailles de la terre pour dénicher des miettes d’or, Si tu es un homme de Simon Patay nous confronte autant à la cruauté de ce monde qu’à la terrible innocence de ceux qui se savent abandonnés par leurs aînés.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Alexandre Lebrac
Leçon de ténacité et louange de l’effort, même lorsqu’il s’avère vain, Si tu es un homme rappelle, si besoin en était, que le documentaire est aussi cinématographique que la fiction et impose son auteur comme un cinéaste à suivre absolument.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Pierre Barbancey
Pourtant, les yeux du gamin conservent une intensité brûlante. La caméra de Simon Panay le montre, dans un fulgurant raccourci. Dans les premiers plans, Opio est filmé en longue focale : il est net, son environnement est flou. À la fin, il est complètement inséré dans le décor. Dans ce genre d’histoire, le happy end n’existe pas.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Passionnant, le documentaire de Simon Panay suit un jeune Burkinabè de 13 ans employé dans des mines d’or. Le réalisateur filme méticuleusement, et avec une grande neutralité, ce triste parcours.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Yannick Vely
La caméra de Simon Panay ne juge pas, elle nous confronte à la triste réalité d'un monde où la seule perspective est de trouver le minerai dans des pierres que l'on concasse à même le sol. Quitte à y perdre la vie...
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Jacqueline Nacache
[...] ce documentaire impressionnant peut faire changer les choses s'il est reconnu comme il le mérite.
Télérama
par Marie Cailletet
Sublimé par sa photographie, Si tu es un homme, chronique du quotidien d’Opio, se révèle tout à la fois récit d’initiation, peinture du pays profond, du dénuement d’une partie de la population, des solidarités soupapes, des pesanteurs sociétales.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Fabrice Prieur
u Burkina Faso, un adolescent va descendre dans une mine d’or pour pouvoir payer sa scolarité. Chronique documentaire sans misérabilisme ni jugement d’un enfant pauvre, dotée de plus d’une très belle image.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par François Forestier
Simon Panay, documentariste élégant, privilégie l’humanité des hommes au labeur, et interroge, sans misérabilisme, l’avenir. Tourné sur deux années, le film est à la fois poignant et beau à regarder.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Cl. F.
Ce lien invisible du cinéaste à son personnage fait aussi la beauté de ce portrait hanté.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Laura Tuillier
Trajectoire d’un ado charismatique travaillant dans une mine d’or au Burkina Faso, le docu pèche par sa forme convenue.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
Pourtant, malgré une apparente proximité physique, l’accompagnement du garçon finit par induire un sentiment gênant de distance et d’asymétrie qui débouche sur la reconduction de ce partage trop fixe où, à la vision d’un Africain forçat de la misère répond l’orientation du spectateur vers un mélange d’admiration et de compassion.
Première
par Thierry Chèze
Et ce film, pétri de qualités par ailleurs, ne transcende jamais vraiment le seuil du constat.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
Documentaire sublimé par Opio, treize ans et forçat dans les mines d’or du Burkina Faso, Si tu es un homme sidère par sa beauté sans effets.
Bande à part
Documentaire âpre sur le destin d’un jeune garçon condamné à creuser les entrailles de la terre pour dénicher des miettes d’or, Si tu es un homme de Simon Patay nous confronte autant à la cruauté de ce monde qu’à la terrible innocence de ceux qui se savent abandonnés par leurs aînés.
Culturopoing.com
Leçon de ténacité et louange de l’effort, même lorsqu’il s’avère vain, Si tu es un homme rappelle, si besoin en était, que le documentaire est aussi cinématographique que la fiction et impose son auteur comme un cinéaste à suivre absolument.
L'Humanité
Pourtant, les yeux du gamin conservent une intensité brûlante. La caméra de Simon Panay le montre, dans un fulgurant raccourci. Dans les premiers plans, Opio est filmé en longue focale : il est net, son environnement est flou. À la fin, il est complètement inséré dans le décor. Dans ce genre d’histoire, le happy end n’existe pas.
Les Fiches du Cinéma
Passionnant, le documentaire de Simon Panay suit un jeune Burkinabè de 13 ans employé dans des mines d’or. Le réalisateur filme méticuleusement, et avec une grande neutralité, ce triste parcours.
Paris Match
La caméra de Simon Panay ne juge pas, elle nous confronte à la triste réalité d'un monde où la seule perspective est de trouver le minerai dans des pierres que l'on concasse à même le sol. Quitte à y perdre la vie...
Positif
[...] ce documentaire impressionnant peut faire changer les choses s'il est reconnu comme il le mérite.
Télérama
Sublimé par sa photographie, Si tu es un homme, chronique du quotidien d’Opio, se révèle tout à la fois récit d’initiation, peinture du pays profond, du dénuement d’une partie de la population, des solidarités soupapes, des pesanteurs sociétales.
aVoir-aLire.com
u Burkina Faso, un adolescent va descendre dans une mine d’or pour pouvoir payer sa scolarité. Chronique documentaire sans misérabilisme ni jugement d’un enfant pauvre, dotée de plus d’une très belle image.
L'Obs
Simon Panay, documentariste élégant, privilégie l’humanité des hommes au labeur, et interroge, sans misérabilisme, l’avenir. Tourné sur deux années, le film est à la fois poignant et beau à regarder.
Le Monde
Ce lien invisible du cinéaste à son personnage fait aussi la beauté de ce portrait hanté.
Libération
Trajectoire d’un ado charismatique travaillant dans une mine d’or au Burkina Faso, le docu pèche par sa forme convenue.
Cahiers du Cinéma
Pourtant, malgré une apparente proximité physique, l’accompagnement du garçon finit par induire un sentiment gênant de distance et d’asymétrie qui débouche sur la reconduction de ce partage trop fixe où, à la vision d’un Africain forçat de la misère répond l’orientation du spectateur vers un mélange d’admiration et de compassion.
Première
Et ce film, pétri de qualités par ailleurs, ne transcende jamais vraiment le seuil du constat.