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Votre avis sur Scream VI ?
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2 ème meilleur film de la franchise.
Avec beaucoup de rebondissements, les scène d'action sont vraiment intéressantes.
Avec beaucoup de rebondissements, les scène d'action sont vraiment intéressantes.
L’un des meilleurs films de la Saga !
Un film qui mérite d’être vu.
Il y’avait une réelle histoire contrairement aux autres Scream
Un film qui mérite d’être vu.
Il y’avait une réelle histoire contrairement aux autres Scream
Difficile à comprendre, trop d'informations,peu de cohérence, je me suis vite désintéressée
La fin est difficilement compréhensible je suis partis de la salle en me demandant ce que je venais de regarder.
La fin est difficilement compréhensible je suis partis de la salle en me demandant ce que je venais de regarder.
Film super bien réalisé j’ai adorée jespre une suite mais je vois pas comment ! Dommage que Sidney est pas là dans ceux 6eme opus
Très bonne suite du film, un très bon film d'horreur, un peu déçu de la fin sur la découverte des ghostfaces
Sixieme film de scream et j aime toujours autant ,c eet vrai que c est plein d incoherence,pas de reelle mise en scene mais c est mo peche mignon,mon adolescence et j aime me replonger dans cette franchise.
Ca se laisse regarder sans deplaisir,sans ennui.
La fille naturel de billy loomis est a l universite avec sa soeur et comme d habitude va etre traque par un nouveau ghostface le reste est a decouvrir.
Ca se laisse regarder sans deplaisir,sans ennui.
La fille naturel de billy loomis est a l universite avec sa soeur et comme d habitude va etre traque par un nouveau ghostface le reste est a decouvrir.
Pour ce sixième film de la saga, nous retrouvons les mêmes personnages que dans le 5e opus. Cependant, ce qui change est que nous les retrouvons dans la ville de New York, où ils vont à nouveau faire face à un tueur déterminé qui se cache sous ce masque du ghostface tant connu de la saga Scream et Scary movie.
Après un 5e opus qui laissait à désirer, on retrouve pour le coup un film qui apporte une claque positive avec un ghostface très intéressant qui nous permet tout le long du film de faire des hypothèses sur la réelle identité du tueur.
Nous retrouvons des moments de suspens et des courses poursuites très bien réussi avec des personnages auquel nous nous attachons et qui par ailleurs paraissent suspects.
La ville de New York est très bien choisie avec des moments nocturnes qui rajoutent une ambiance pesante dans le film, nous retrouvons aussi des supérettes très lumineuses sous forme de néon ou encore le métro new-yorkais bondé le soir d’Halloween qui permet de créer une forme d’angoisse chez le spectateur concernant le moment où le tueur peut surgir.
Le film est moins drôle et beaucoup plus calme qu’auparavant et cela est pour moi un point positif qui s’ajoute à la liste des éléments qui permettent de créer de l’angoisse tout au long du film. Cet aspect du film permet de se rapprocher du genre de l’horreur de manière plus précise et par ailleurs de s’éloigner de la comédie.
De plus, il y a le dénouement vraiment inattendu qui est très bien réussi et qui a suscité beaucoup de réactions dans la salle avec des gens qui n’était pas indifférent, et même très étonné par cette révélation et cela reflète le succès de cette partie du scénario très bien écrite.
Ce film est pour moi une réussite sur le plan du divertissement, si l’on veut passer un moment tranquille au cinéma Scream fera très bien l’affaire.
Le petit point négatif serait le scénario qui ne change pas de d’habitude avec cette histoire du tueur qui cherche à tuer les gens en les appelant pour faire peur. Mais c’est ce qui marche et ce que les gens cherchent lorsqu’ils décident d’aller voir un film de la franchise.
Après un 5e opus qui laissait à désirer, on retrouve pour le coup un film qui apporte une claque positive avec un ghostface très intéressant qui nous permet tout le long du film de faire des hypothèses sur la réelle identité du tueur.
Nous retrouvons des moments de suspens et des courses poursuites très bien réussi avec des personnages auquel nous nous attachons et qui par ailleurs paraissent suspects.
La ville de New York est très bien choisie avec des moments nocturnes qui rajoutent une ambiance pesante dans le film, nous retrouvons aussi des supérettes très lumineuses sous forme de néon ou encore le métro new-yorkais bondé le soir d’Halloween qui permet de créer une forme d’angoisse chez le spectateur concernant le moment où le tueur peut surgir.
Le film est moins drôle et beaucoup plus calme qu’auparavant et cela est pour moi un point positif qui s’ajoute à la liste des éléments qui permettent de créer de l’angoisse tout au long du film. Cet aspect du film permet de se rapprocher du genre de l’horreur de manière plus précise et par ailleurs de s’éloigner de la comédie.
De plus, il y a le dénouement vraiment inattendu qui est très bien réussi et qui a suscité beaucoup de réactions dans la salle avec des gens qui n’était pas indifférent, et même très étonné par cette révélation et cela reflète le succès de cette partie du scénario très bien écrite.
Ce film est pour moi une réussite sur le plan du divertissement, si l’on veut passer un moment tranquille au cinéma Scream fera très bien l’affaire.
Le petit point négatif serait le scénario qui ne change pas de d’habitude avec cette histoire du tueur qui cherche à tuer les gens en les appelant pour faire peur. Mais c’est ce qui marche et ce que les gens cherchent lorsqu’ils décident d’aller voir un film de la franchise.
Ce sixième opus partait d'une bonne intention: s'enrichir des précédents films de la franchise afin de se renouveler et proposer quelque chose d'original.
Pour la première partie du film ça marchait plutôt bien.
En termes de mise en scène, de photographie, d'ambiance on avait un thriller horrifique efficace avec un tueur masqué plus terrifiant et imprévisible que les précédents. On se prend d'interêt assez facilement à chercher qui est le nouveau Scream, qui va s'en sortir et ce malgré des personnages très caricaturaux et sans profondeur; seules les deux protagonistes principales sont correctement jouées.
Seulement voilà, arrivé à la tombée des masques digne d'un Scooby-Doo où le/les antagoniste(s) nous endorment avec un trop long monologue peu crédible sur le pourquoi il/elle est le méchant et comment il/elle a fait pendant tout le film, le film sombre dans le n'importe quoi.
Les scènes d'actions jusqu'au dénouement sont grotesques et prévisibles. Plus c'est gros plus ça passe apparemment. Plusieurs personnages nous reviennent indemnes malgré moult coups de couteau et balles, certains sont même très décontractés malgré la perte quelques heures plus tôt de compagnons très proches.
Au final, ce sixième film voulant se démarquer des autres et ne pas être une énième suite de trop est moyen sur le fond. Ce n'est ni un raté ni un exploit, juste correct sur le début et irritant sur la fin.
Pour la première partie du film ça marchait plutôt bien.
En termes de mise en scène, de photographie, d'ambiance on avait un thriller horrifique efficace avec un tueur masqué plus terrifiant et imprévisible que les précédents. On se prend d'interêt assez facilement à chercher qui est le nouveau Scream, qui va s'en sortir et ce malgré des personnages très caricaturaux et sans profondeur; seules les deux protagonistes principales sont correctement jouées.
Seulement voilà, arrivé à la tombée des masques digne d'un Scooby-Doo où le/les antagoniste(s) nous endorment avec un trop long monologue peu crédible sur le pourquoi il/elle est le méchant et comment il/elle a fait pendant tout le film, le film sombre dans le n'importe quoi.
Les scènes d'actions jusqu'au dénouement sont grotesques et prévisibles. Plus c'est gros plus ça passe apparemment. Plusieurs personnages nous reviennent indemnes malgré moult coups de couteau et balles, certains sont même très décontractés malgré la perte quelques heures plus tôt de compagnons très proches.
Au final, ce sixième film voulant se démarquer des autres et ne pas être une énième suite de trop est moyen sur le fond. Ce n'est ni un raté ni un exploit, juste correct sur le début et irritant sur la fin.
Déçu du film l'intrigue était bonne mais pour le 6 eme volume d'un film culte qui a inspiré nombreux d'entre nous il n'y avait rien d'interessant
Une bonne surprise que cette énième suite et c est rare de prendre du plaisir après autant de péripéties selon les différents films . Ici le plaisir est là car il y a de l originalité dans les personnages. In bon moment devant cette licence qui finalement n à peut être pas encore poussée son dernier cri .
Autant le volet précédent m'avait déçu, autant je sors agréablement surpris de ce sixième opus d'une saga que j'aime beaucoup. Déjà, la photo du film est bien plus jolie que celle du précédent. Ça fait beaucoup , on a moins l'impression d'être devant une série Netflix mais bien devant un bon film d'horreur avec un grain à l'image. Dès l'ouverture, on sent plus d'audace, plus de liberté que dans le film précédent. Là où le 5 citait outrageusement ou copiait son modèle, ici il s'en affranchit tout en y montrant un amour sincère : les musiques de la trilogie originale en fond , des scènes clin d'œil , mais jamais trop appuyées.
Bon ok, l'épaisseur psychologique des personnages est inversement proportionnelle à la couche de botox infiltrée dans le visage de Courtney Cox. Et ils ont la résistance physique de véritables cyborgs ! Mais on ne vient pas voir Scream pour la cohérence. On a ce qu'on veut : un whodunit qui fonctionne, du méta, du gore, du slash bien sale, des scènes de tension , de la révélation finale, des meurtres qui s'enchaînent. Et l'envie de voir la suite (ce qui n'était pas le cas à la fin du précédent )... comme quoi, une bonne surprise peut toujours se cacher derrière le masque.
Bon ok, l'épaisseur psychologique des personnages est inversement proportionnelle à la couche de botox infiltrée dans le visage de Courtney Cox. Et ils ont la résistance physique de véritables cyborgs ! Mais on ne vient pas voir Scream pour la cohérence. On a ce qu'on veut : un whodunit qui fonctionne, du méta, du gore, du slash bien sale, des scènes de tension , de la révélation finale, des meurtres qui s'enchaînent. Et l'envie de voir la suite (ce qui n'était pas le cas à la fin du précédent )... comme quoi, une bonne surprise peut toujours se cacher derrière le masque.
Nous ne sommes plus à Woodsboro mais à New York pour le sixième volet de la saga créé par Wes Craven. A peine digéré le cinquième que les deux cinéastes remettent le couvert pour un "Scream 6" , espérant nous faire vibrer avec de nouveaux personnages endossant le redoutable costume, et bien sûr le masque, pour devenir Ghostface. Le thème de la vengeance est toujours un axe essentiel de la franchise où la seule "survivante" de l'originel est Courteney Cox. Malheureusement, la mayonnaise ne prend pas, la faute à des rebondissements en cascades et des incohérences qui finissent par faire lâcher prise. A vouloir révolutionner le genre, les deux cinéastes perdent un peu l'essence même de la franchise. Il est peut-être temps d'arrêter les frais. N'est pas Wes Craven qui veut!
Ce nouveau scream est assez réussi.
Certes on se retrouves face à un slasher des plus classiques mais on se laisse surprendre par le dénouement ce qui le rends non prévisible.
Certes on se retrouves face à un slasher des plus classiques mais on se laisse surprendre par le dénouement ce qui le rends non prévisible.
Cinememories
Il arrive un moment où l’effort ne suffit plus. Ce cap a pourtant déjà été franchi avant même le pseudo-reboot du volet précédent, qui a préféré jouer la provocation en dissimulant le chiffre 5. Et pourtant, on finit par recoller au moule et à confortablement reconnaître que les suites ne sont plus qu’une affaire de franchise. Si cela n’étonnera en rien les spectateurs du grand écran, occasionnels ou récurrents, le duo Matt Bettinelli-Olpin et Tyler Gillett cherche tout de même à préserver l’essence méta du slasher de Wes Craven. Il ne faudra donc ni s’attendre à des pincettes, ni s’attendre à bouleverser les codes, car ce qui aurait pu démarquer ce nouvel opus des autres a manqué de flair, tout comme d’audace dans son exposé, au pire vantard, au mieux scolaire.
La scène pré-générique ouvre un carnaval de masques très alléchant et plutôt à contre-courant de tout, mais cette sucrerie ne sera pas exploitée. Direction la Grosse Pomme, un milieu urbain qui ne laisse pas beaucoup d’espace aux riverains à l’heure de pointe et qui jouit d’une aura différente de Woodsboro. Ce nouvel environnement a de quoi déstabiliser, mais au bout du compte, on rétropédale avec une fainéantise qui ne passe pas sous nos yeux. Une collocation remplace le campus universitaire et un théâtre abandonné se transforme en musée. On prend donc soin d’éviter les espaces ouverts et peuplés, à l’exception d’une scène de métro, où la tension est résolument timide face à la cruauté de certaines mises à mort. De même, un léger détour dans une épicerie ne fera ni chaud ni froid, sachant que les armes à feu sont, au final, plus que récurrents dans une saga qui préfère l’arme blanche.
Mais ce qui fâche dans ce cas-ci, c’est que l’on tire des balles à blanc, d’abord par principe, puis par manque de matière. Toutes les règles recyclés, réchauffés ou un autre synonyme à votre convenance, sont énumérées avec autant de subtilité qu’un vilain se justifiant auprès du Scooby-gang. La nouveauté n’est donc pas le fort de cet épisode qui, en revanche, n’est pas en défaut de rythme, contrairement au précédent volet, maladroit dans quasiment tous ses timings à rallonge. Le frisson n’est peut-être plus, mais il reste quelques scènes violentes, qui stimuleront les premiers fans du genre. Au-delà de ça, « Scream VI » n’a plus qu’à faire diversion, en espérant tromper les plus épuisés d’entre nous, quand la plupart ont mille fois raison de se déconnecter émotionnellement.
On peut néanmoins compter sur la complicité de Melissa Barrera et Jenna Ortega, qui donnent tout à l’écran, avec l’attitude désabusée que l’on espérait pour leurs personnages respectifs. Rien de mémorable, mais toujours un cran au-dessus de leur précédente apparition. Et à côté, il reste Courteney Cox pour jouer l’épouvantail et nous offrir une partie de cache-cache sans conséquence. C’est bien entendu ce que sous-entend le terme franchise dans son déroulé, on garde les mêmes et on recommence. Le culte de Ghostface n’est donc pas près de s’achever avec cette dernière entaille à la franchise. S’il a fallu sacrifier ce volet pour s’en convaincre, soit. À présent, il s’agit une bonne fois pour toutes de conjurer le sort et de mettre fin à cette routine, qui repompe à tout-va ce qui a déjà maintes fois été traité, avec plus de justesse et de folie, en pensant très fortement au retour gagnant de Michael Myers dans un « Halloween Kills » définitivement plus tranchant.
La scène pré-générique ouvre un carnaval de masques très alléchant et plutôt à contre-courant de tout, mais cette sucrerie ne sera pas exploitée. Direction la Grosse Pomme, un milieu urbain qui ne laisse pas beaucoup d’espace aux riverains à l’heure de pointe et qui jouit d’une aura différente de Woodsboro. Ce nouvel environnement a de quoi déstabiliser, mais au bout du compte, on rétropédale avec une fainéantise qui ne passe pas sous nos yeux. Une collocation remplace le campus universitaire et un théâtre abandonné se transforme en musée. On prend donc soin d’éviter les espaces ouverts et peuplés, à l’exception d’une scène de métro, où la tension est résolument timide face à la cruauté de certaines mises à mort. De même, un léger détour dans une épicerie ne fera ni chaud ni froid, sachant que les armes à feu sont, au final, plus que récurrents dans une saga qui préfère l’arme blanche.
Mais ce qui fâche dans ce cas-ci, c’est que l’on tire des balles à blanc, d’abord par principe, puis par manque de matière. Toutes les règles recyclés, réchauffés ou un autre synonyme à votre convenance, sont énumérées avec autant de subtilité qu’un vilain se justifiant auprès du Scooby-gang. La nouveauté n’est donc pas le fort de cet épisode qui, en revanche, n’est pas en défaut de rythme, contrairement au précédent volet, maladroit dans quasiment tous ses timings à rallonge. Le frisson n’est peut-être plus, mais il reste quelques scènes violentes, qui stimuleront les premiers fans du genre. Au-delà de ça, « Scream VI » n’a plus qu’à faire diversion, en espérant tromper les plus épuisés d’entre nous, quand la plupart ont mille fois raison de se déconnecter émotionnellement.
On peut néanmoins compter sur la complicité de Melissa Barrera et Jenna Ortega, qui donnent tout à l’écran, avec l’attitude désabusée que l’on espérait pour leurs personnages respectifs. Rien de mémorable, mais toujours un cran au-dessus de leur précédente apparition. Et à côté, il reste Courteney Cox pour jouer l’épouvantail et nous offrir une partie de cache-cache sans conséquence. C’est bien entendu ce que sous-entend le terme franchise dans son déroulé, on garde les mêmes et on recommence. Le culte de Ghostface n’est donc pas près de s’achever avec cette dernière entaille à la franchise. S’il a fallu sacrifier ce volet pour s’en convaincre, soit. À présent, il s’agit une bonne fois pour toutes de conjurer le sort et de mettre fin à cette routine, qui repompe à tout-va ce qui a déjà maintes fois été traité, avec plus de justesse et de folie, en pensant très fortement au retour gagnant de Michael Myers dans un « Halloween Kills » définitivement plus tranchant.
Yetcha
Et bien moi, j'ai bien aimé. Un Scream comme on les aime, avec des rebondissements, des surprises, du sang, des exécutions violentes et des bagarres toujours aussi drôles (coups de couteau dans le vide, des bruitages sourds qui accroissent énormément l'impact de l'image. Un Scream classique.... Mais n'est-il pas temps de changer un peu la formule ?
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