AlloCiné
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Votre avis sur Scream VI ?
5
103 critiques
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115 critiques
3
125 critiques
2
95 critiques
1
52 critiques
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37 critiques
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Toutes les notes
Très bon film, j’ai passé un agréable moment, le seul défaut
spoiler:
c’est de ne pas avoir tué Gale ou un perso du nouveau groupe, tous le monde survit
et on en revient au 5eme film !
et on en revient au 5eme film !
Très médiocre, on ne compte pas les incohérences. On s'ennuie tout le long, bref, passer votre chemin.
Étant fan depuis les débuts de cette franchise ( j’avais 11 ans lors du 1er film ) j’ai grandi en même temps que les films. Je me réjouis chaque fois qu’un nouveau Scream sort. J’ai longtemps pensé qu’après le 3, il fallait s’arrêter. Je ne m’étais pas trompé lorsqu’ils ont décidé de sortir le 4 ( Je l’ai détesté ). J’ai trouvé le 5 consternant tellement c’était du copie colle au 1. Mais celui là. J’ai ADORÉ. C’est violent. Il y a vraiment des scènes où on est quand même un peu tendu. Et puis pour le coup, ghostface est quand même impressionnant dans celui ci. Alors je pense et j’espère qu’il y aura un 7. Ne serait ce au moins pour boucler la boucle.
spoiler:
Une belle sortie pour Gale et Sidney
Et en finir une bonne fois pour toute avec cette franchise que j’aime tant !!!
Et en finir une bonne fois pour toute avec cette franchise que j’aime tant !!!
J’ai beaucoup aimé ce film mieux que le 5 avec un scénario déjà vu mais plus gore et plus stressant que les précédent
Scream tel qu'on aime . Le job est bien fait . Il fait son effet comme il faut. Quelques scènes anxiogènes. Au top
Jorik V
Disons-le d’emblée, « Scream VI » rattrape l’énorme déception procurée par le précédent volet. Un épisode 5 sobrement baptisé « Scream » comme l’original mais dont il n’avait que les gênes les plus mauvais. Sorti d’outre-tombe douze ans après le précédent et censé relancer la franchise, il se fondait dans la nouvelle mode hybride qui voit les suites se marier aux reboots de manière à rameuter aussi bien les nostalgiques de la saga initiale que de nouveaux adeptes issus des nouvelles générations. Pour beaucoup de puristes et de fans inconditionnels de la trilogie initiale (et même du quatrième opus un peu orphelin au milieu), ce fut la douche froide tant tout y était peu concluant. Meurtres basiques et peu originaux (dont certainement l’entame la plus nulle de la saga), cadre banal et personnages peu attachants en plus d’un manque criant de suspense, ce n’était vraiment pas terrible. Cependant, le succès fut tout de même au rendez-vous, ce qui a donc amené les producteurs à lancer cette nouvelle suite.
Et bien disons que ce cinquième épisode n’était qu’un brouillon, car là on passe clairement à la vitesse supérieure en plus de passer un très bon moment de divertissement, comme si le précédent n’était que le passage obligé pour faire le liant entre les générations. Et le duo de réalisateurs à la barre semble bien plus à l’aise ici à tous les niveaux. De l’écriture du script à la dynamique entre les acteurs, de la manière habile de revisiter la mythologie « Scream » à l’innovation dans les mises à mort en passant par le sens du suspense et de la mise en scène, c’est bien plus accompli et fidèle à ce qu’on peut attendre d’un nouvel épisode. Ce « Scream VI » est non seulement parfaitement maîtrisé sur les plus de deux heures qu’il dure (un record pour la franchise et juste quelques temps morts en milieu de bobine) mais il s’avère en plus très inventif et ludique. Il faut le voir non pas comme un film d’horreur (cela fait bien longtemps que ce genre de film ne fait plus peur) mais comme une sorte de Cluedo mêlé à un Escape Game, auquel le spectateur se gargarise de références cinématographiques et de fan service de manière complice.
On passera la grosse faiblesse du film qui s’avère être sa conclusion bien trop abracadabrantesque. En effet, elle pousse le bouchon de l’invraisemblable un peu trop loin, que ce soit dans la cohérence de la révélation du ou des tueurs ou le côté increvable des personnages malgré moultes coups de couteaux ou autre. Même si on sait le slasher comme un sous-genre de l’horreur très permissif à ce niveau, là le réalisme a pris congé et le final y va un peu fort. En revanche, on adore la scène d’ouverture, probablement la meilleure de la saga avec l'original, par son côté poupées russes ultra inventif. Ensuite, il y a ce côté récapitulatif de toute la saga, fondu dans l’intrigue qui très bien négocié et fait vibrer avec force et fracas la fibre nostalgique des fans de la meilleure des façons. Puis, comme un miroir de « Scream 3 » qui se déroulait à Los Angeles, cet épisode prend place à New York. Et si la ville aurait pu être utilisée de manière plus pertinente optimale, cela lui donne un sacré coup de neuf dépaysant. Enfin, le tueur et les mises à mort sont bien plus sadiques et la séquence du métro comme celle de la supérette sont très bonnes. Pour couronner le tout, les personnages sont bien plus creusés et attachants, notamment la bande des quatre... Bref, une plutôt bonne surprise même si le culte des premiers n’est pas encore atteint.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Et bien disons que ce cinquième épisode n’était qu’un brouillon, car là on passe clairement à la vitesse supérieure en plus de passer un très bon moment de divertissement, comme si le précédent n’était que le passage obligé pour faire le liant entre les générations. Et le duo de réalisateurs à la barre semble bien plus à l’aise ici à tous les niveaux. De l’écriture du script à la dynamique entre les acteurs, de la manière habile de revisiter la mythologie « Scream » à l’innovation dans les mises à mort en passant par le sens du suspense et de la mise en scène, c’est bien plus accompli et fidèle à ce qu’on peut attendre d’un nouvel épisode. Ce « Scream VI » est non seulement parfaitement maîtrisé sur les plus de deux heures qu’il dure (un record pour la franchise et juste quelques temps morts en milieu de bobine) mais il s’avère en plus très inventif et ludique. Il faut le voir non pas comme un film d’horreur (cela fait bien longtemps que ce genre de film ne fait plus peur) mais comme une sorte de Cluedo mêlé à un Escape Game, auquel le spectateur se gargarise de références cinématographiques et de fan service de manière complice.
On passera la grosse faiblesse du film qui s’avère être sa conclusion bien trop abracadabrantesque. En effet, elle pousse le bouchon de l’invraisemblable un peu trop loin, que ce soit dans la cohérence de la révélation du ou des tueurs ou le côté increvable des personnages malgré moultes coups de couteaux ou autre. Même si on sait le slasher comme un sous-genre de l’horreur très permissif à ce niveau, là le réalisme a pris congé et le final y va un peu fort. En revanche, on adore la scène d’ouverture, probablement la meilleure de la saga avec l'original, par son côté poupées russes ultra inventif. Ensuite, il y a ce côté récapitulatif de toute la saga, fondu dans l’intrigue qui très bien négocié et fait vibrer avec force et fracas la fibre nostalgique des fans de la meilleure des façons. Puis, comme un miroir de « Scream 3 » qui se déroulait à Los Angeles, cet épisode prend place à New York. Et si la ville aurait pu être utilisée de manière plus pertinente optimale, cela lui donne un sacré coup de neuf dépaysant. Enfin, le tueur et les mises à mort sont bien plus sadiques et la séquence du métro comme celle de la supérette sont très bonnes. Pour couronner le tout, les personnages sont bien plus creusés et attachants, notamment la bande des quatre... Bref, une plutôt bonne surprise même si le culte des premiers n’est pas encore atteint.
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Un peu plus de Un an après un cinquième opus, qui faisait largement le taff et devant lequel je passe vraiment un bon moment, déjà un nouveau opus de la franchise débarque sur nos écrans. Franchement ça sentait le pâté et la bande annonce me faisait vraiment pas envie. C'est donc sans grande conviction que je suis allé voir cette sixième tuerie.
Et bien non ! La franchise "Scream" n'est toujours pas morte ! Et ce grâce à un duo de réalisateurs qui respectent l'Adn et les codes institués en 1997 par Wes Craven et Kévin Williamson. Matt Bettinelli-Olpin et Tyler Gillett maîtrise la réalisation au service d'un scénario qui, malgré tout, innove sur certains points tout en nous rappellant des scènes de la saga.
Hélas le métrage possède d'indeniables défauts comme le manque de charisme de certains personnages où la facilité du tueur à récupérer après une baston où encore la survie improbable de personnages.
Bref. J'ai passé un bon moment à ma grande surprise. Mais attention à ne pas trop tirer la saga sur la corde.
Et bien non ! La franchise "Scream" n'est toujours pas morte ! Et ce grâce à un duo de réalisateurs qui respectent l'Adn et les codes institués en 1997 par Wes Craven et Kévin Williamson. Matt Bettinelli-Olpin et Tyler Gillett maîtrise la réalisation au service d'un scénario qui, malgré tout, innove sur certains points tout en nous rappellant des scènes de la saga.
Hélas le métrage possède d'indeniables défauts comme le manque de charisme de certains personnages où la facilité du tueur à récupérer après une baston où encore la survie improbable de personnages.
Bref. J'ai passé un bon moment à ma grande surprise. Mais attention à ne pas trop tirer la saga sur la corde.
stallonefan62
6ème opus qui pendant une bonne partie du film reprend correctement les codes de la franchise !! Du suspense, des interrogations, des meurtres et pas mal de gores !! Les fausses pistes s'enchainent, les situations parfois grotesques aussi mais on est dans du Scream !! Mais malheureusement le dernier acte et du coup le dénouement est pas du même niveau !! Que ce soit les révélations ou les tueries !! C'est mauvais et complètement absurde !! Dommage car le film partait plus bien mais entaché par ce final !!
Toujours et encore du gore, avec une intrigue intéressante dont l'intérêt réduit ne génère que l'ennui, un comble pour ce genre de film!
Désolant d'inutilité, d'un vide absolu.
Désolant d'inutilité, d'un vide absolu.
film correct mais sans plus
bon globalement ça se laisse regarder ça reste un bon divertissement, si on a aime les précédents pas de raison de pas aimer cet opus
premiere partie du film plutot reussi , deuxieme decevante au fur et à mesure le scenario baisse en qualité, dommage
bon globalement ça se laisse regarder ça reste un bon divertissement, si on a aime les précédents pas de raison de pas aimer cet opus
premiere partie du film plutot reussi , deuxieme decevante au fur et à mesure le scenario baisse en qualité, dommage
En délocalisant son action de Woodsboro à New-York, ce 6e volet de la saga horrifique fait un peu mieux que son prédécesseur, vrai-faux remake du film original de 1996 sans audace aucune, mais y réitère aussi la plupart de ses défauts.
S'ouvrant sur un premier segment plutôt surprenant avec son idée de chasseur chassé (la meilleure idée du film selon moi, dommage qu'elle ne soit pas plus exploitée), on revient assez vite à l'habituel jeu de massacre, avec ses habituels coups de fil, ses habituels soupçons et ses habituelles analyses méta (plus en mode «Jurassic World» que «Scream» malheureusement, dénonçant ce que lui-même est en train de faire).
Certes, l'ensemble est un peu plus divertissant et sanglant que dans le précédent volet, déjà réalisé par le duo Matt Bettinelli-Olpin-Tyler Gillett, et interprété par le duo Melissa Barrera-Jenna Ortega qui fait le taff et se complète bien.
Mais le tout est étiré inutilement (les 2h étaient-elles vraiment nécessaires pour cette histoire téléphonée ?) et on y retrouve le traditionnel Ghostface indestructible, apparaissant et disparaissant de chaque lieu du crime on ne sait comment.
Et plus les choses avancent, plus on retombe dans la mécanique prévisible de la saga, jusqu'à arriver à un final grand-guignolesque (avec surjeu en mode "grand méchant" inclus), illustrant parfaitement la formule éprouvée de cette franchise, qui ne sait plus trop quoi nous raconter pour sortir à tout prix un nouveau volet, à l'image de ces (trop) nombreux slashers.
Bref, un 6e film qui aurait pu renouveler un tant soit peu la saga, mais ne prend finalement pas la peine de le faire. Sympatoche et oubliable. 5,5/10.
S'ouvrant sur un premier segment plutôt surprenant avec son idée de chasseur chassé (la meilleure idée du film selon moi, dommage qu'elle ne soit pas plus exploitée), on revient assez vite à l'habituel jeu de massacre, avec ses habituels coups de fil, ses habituels soupçons et ses habituelles analyses méta (plus en mode «Jurassic World» que «Scream» malheureusement, dénonçant ce que lui-même est en train de faire).
Certes, l'ensemble est un peu plus divertissant et sanglant que dans le précédent volet, déjà réalisé par le duo Matt Bettinelli-Olpin-Tyler Gillett, et interprété par le duo Melissa Barrera-Jenna Ortega qui fait le taff et se complète bien.
Mais le tout est étiré inutilement (les 2h étaient-elles vraiment nécessaires pour cette histoire téléphonée ?) et on y retrouve le traditionnel Ghostface indestructible, apparaissant et disparaissant de chaque lieu du crime on ne sait comment.
Et plus les choses avancent, plus on retombe dans la mécanique prévisible de la saga, jusqu'à arriver à un final grand-guignolesque (avec surjeu en mode "grand méchant" inclus), illustrant parfaitement la formule éprouvée de cette franchise, qui ne sait plus trop quoi nous raconter pour sortir à tout prix un nouveau volet, à l'image de ces (trop) nombreux slashers.
Bref, un 6e film qui aurait pu renouveler un tant soit peu la saga, mais ne prend finalement pas la peine de le faire. Sympatoche et oubliable. 5,5/10.
Nicothrash
À quel moment va-t-on enfin décider que l'on a essoré cette saga jusqu'à la dernière goutte ? Ça n'a plus aucun sens, les personnages sont de plus en plus débiles et le grand-guignol des attaques au couteau n'a plus de limite. C'est en outre extrêmement long, seules quelques scènes un peu gores nous sortent parfois de la torpeur comme cette bécasse qui s'écrase la tronche en bas de son immeuble mais c'est quand même très pauvre. Mention spéciale à la scène finale de la révélation d'un grotesque absolu et dans laquelle tout le monde s'est visiblement concerté pour jouer encore plus mal. Passons sur les nombreuses incohérences, il doit y en avoir au bas mot une par plan et espérons que tout cela s'arrête rapidement parce que l'effet nostalgie lorsqu'il en sortait un tous les 10 ans est définitivement passée et le joli minois de Jenna Ortega n'y changera rien.
Dik ap Prale
Libéré de Woodsboro bien que personne ne le souhaitait vraiment ou le pensait envisageable, la grande ville et ses lumières, mais surtout ses coins sombres amène de nouveau le binôme à la réalisation à repenser la franchise.
Dès l'introduction, on sent que la carte blanche des producteurs est donnée. Mettons de côté les ficelles par trois et apprécions cette élan sans retenu qui laisse espérer le meilleur pour une série qui semblait avoir rendu ses armes.
Dès l'introduction, on sent que la carte blanche des producteurs est donnée. Mettons de côté les ficelles par trois et apprécions cette élan sans retenu qui laisse espérer le meilleur pour une série qui semblait avoir rendu ses armes.
Frédéric M.
Meme mécanique : un tueur, des meurtres, un whodunit qui maintient un bon niveau de suspense avec quelques fausses pistes. Un jeu cohérent d'acteurs. Mais est il nécessaire d'étirer autant cette franchise ? Les meurtres redeviennent gores et graphiques. A voir, mais s'oubliera vite
Il était mieux que le précédent et plus trash , j ai essayé de trouver l'assassin dès le début mais je n'ai pas réussi , le film se regarde facilement et la trame scenaristique est plutôt cohérente. Les deux héroïnes portent très bien le film
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