Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
CNews
par La rédaction
Certes, « Scream 6 » ne révolutionne en rien cette saga horrifique lancée en 1996. Mais il vient indéniablement confirmer que celle-ci est encore loin d’avoir rendu son dernier souffle [...].
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CinemaTeaser
par Renan Cros
Amusant, violent et attachant.
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Le Journal du Geek
par Arthur Nicolle
Si l'on regrette l'inégalité de cette nouvelle formule, la franchise surprend pour la première fois depuis de nombreuses années. On aurait presque envie de voir Scream 7...
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Le Parisien
par La Rédaction
Film réalisé par des fans d’horreur pour ceux qui aiment quand ça tranche et ça saigne, toujours aussi blindé de références et de mises en abîme - les héros traqués listent de nouveau tout ce qu’il faut faire, ou pas, pour survivre -, ce « Scream » fait honneur à sa saga.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Le plus gros twist de ce sixième Scream ? C’est sans doute que les guère passionnants auteurs du piteux cinquième volet signent là un slasher tenu et, par endroits, inspiré.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Moins nul mais tout aussi inutile que Scream 5, Scream 6 confirme que la saga n'a plus rien à raconter. Une fois ce cynisme digéré, il reste un petit tour de manège amusant et inoffensif, qui a au moins le mérite de décliner la marque Ghostface dans un nouveau décor, et avec de nouveaux personnages réellement installés et assumés.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Mad Movies
par Gilles Esposito
La franchise en a encore un peu sous le capot.
Première
par Sylvestre Picard
Scream VI fonctionne mieux quand il capitalise sur sa propre micro mythologie -celle de Scream 5 en l’occurrence, et de ses deux héroïnes, les sœurs Carpenter, très bien campées par Melissa Barrera (hantée par le fantôme de son père et toujours sur le point de switcher en folie meurtière) et la déjà star Jenna Ortega.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Adrien Mitterrand
Scream VI achève de désincarner une saga qui n’a décidément plus rien d’autre à montrer que son célèbre costume.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Filmsactu
par Veronica Sawyer
Bref une énorme déception (et pourtant nous faisions partie des défendeurs de Scream 5), si ce n'est une scène d'intro surprenante et maline (à classer dans le top des intros Scream) et quelques scènes de tuerie à la mise en scène efficace.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Alors pourquoi, malgré tout, ce Scream 6 trouve quand même un peu grâce à nos yeux ? Peut-être parce que Hollywood pourrit sur pied et ne doit son salut commercial qu’à un recyclage sans fin de franchises rincées (rappelons que 2023 sera l’année d’un cinquième Indiana Jones, d’un septième Transformers et d’un dixième (!) Fast & Furious). A côté, l’honnêteté opportuniste de Scream le rend presque sympathique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Olivier Delcroix
L'ensemble peine à convaincre, trop téléphoné, trop englué dans une généalogie compliquée qui perdrait même les plus grands fans. Il faut bien convenir que ce nouvel épisode reste tout de même supérieur au précédent, dont on pensait qu'il avait définitivement enterré la franchise.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par Philippe Guedj
Film après film, le procédé tourne forcément en rond et malgré tous les efforts des dialogues pour établir un nouveau jeu métatextuel autour de cette sixième itération, la combine sent vraiment trop le réchauffé, autant que les ahurissantes invraisemblances qui parsèment le dernier acte.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Télérama
par Nicolas Didier
Le duo Tyler Gillett et Matt Bettinelli-Olpin signe un nouveau volet de la saga horrifique, empêtré dans l’auto-citation et aussi faiblard que le précédent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
La dimension méta du scénario, son suivi scrupuleux de la ligne narrative de la saga - ah, le psychopathe au bout du fil… –, la présence de Courtney Cox dans le rôle de Gale Weathers depuis le premier Scream de Wes Craven en 1997 (...) ne sauvent pas le film d’un certain ennui. Comme une impression de déjà-vu.
GQ
par Adam Sanchez
Au-delà de l'emballage formel peu reluisant (jump scares datés sur fond de pop sirupeuse), c'est l'inconsistance même de ce que le film a à raconter et des parcours qu'il offre à ses personnages qui rend l'ensemble affligeant.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
La dimension méta du scénario, son suivi scrupuleux de la ligne narrative de la saga (...) ne sauvent pas le film d’un certain ennui.
Le Monde
par Jean-François Rauger
En déplaçant l’action de la province à New York, les concepteurs du film ont sans doute voulu lui donner un léger coup de neuf. Il est vrai que le principe de départ – le cliché, puis la désignation du cliché comme cliché – paraît s’épuiser et donner naissance à d’interminables scènes dialoguées, où les personnages dévoilent eux-mêmes les conventions dont ils sont prisonniers.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Le nouveau duo à la tête de la saga, Tyler Gillett et Matt Bettinelli-Olpin, ne semble toujours pas savoir que faire des anciennes figures, rejouant ici avec Gale Weathers (Courteney Cox) une énième traque vide de sens dans un immense appartement de l’Upper East Side.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Lamm
La Paramount continue à tirer jusqu’à la nausée le fil de la franchise née en 1996, mais effraie seulement par le vide sidéral de son entreprise.
La critique complète est disponible sur le site Libération
CNews
Certes, « Scream 6 » ne révolutionne en rien cette saga horrifique lancée en 1996. Mais il vient indéniablement confirmer que celle-ci est encore loin d’avoir rendu son dernier souffle [...].
CinemaTeaser
Amusant, violent et attachant.
Le Journal du Geek
Si l'on regrette l'inégalité de cette nouvelle formule, la franchise surprend pour la première fois depuis de nombreuses années. On aurait presque envie de voir Scream 7...
Le Parisien
Film réalisé par des fans d’horreur pour ceux qui aiment quand ça tranche et ça saigne, toujours aussi blindé de références et de mises en abîme - les héros traqués listent de nouveau tout ce qu’il faut faire, ou pas, pour survivre -, ce « Scream » fait honneur à sa saga.
Les Fiches du Cinéma
Le plus gros twist de ce sixième Scream ? C’est sans doute que les guère passionnants auteurs du piteux cinquième volet signent là un slasher tenu et, par endroits, inspiré.
Ecran Large
Moins nul mais tout aussi inutile que Scream 5, Scream 6 confirme que la saga n'a plus rien à raconter. Une fois ce cynisme digéré, il reste un petit tour de manège amusant et inoffensif, qui a au moins le mérite de décliner la marque Ghostface dans un nouveau décor, et avec de nouveaux personnages réellement installés et assumés.
Mad Movies
La franchise en a encore un peu sous le capot.
Première
Scream VI fonctionne mieux quand il capitalise sur sa propre micro mythologie -celle de Scream 5 en l’occurrence, et de ses deux héroïnes, les sœurs Carpenter, très bien campées par Melissa Barrera (hantée par le fantôme de son père et toujours sur le point de switcher en folie meurtière) et la déjà star Jenna Ortega.
Critikat.com
Scream VI achève de désincarner une saga qui n’a décidément plus rien d’autre à montrer que son célèbre costume.
Filmsactu
Bref une énorme déception (et pourtant nous faisions partie des défendeurs de Scream 5), si ce n'est une scène d'intro surprenante et maline (à classer dans le top des intros Scream) et quelques scènes de tuerie à la mise en scène efficace.
L'Humanité
Alors pourquoi, malgré tout, ce Scream 6 trouve quand même un peu grâce à nos yeux ? Peut-être parce que Hollywood pourrit sur pied et ne doit son salut commercial qu’à un recyclage sans fin de franchises rincées (rappelons que 2023 sera l’année d’un cinquième Indiana Jones, d’un septième Transformers et d’un dixième (!) Fast & Furious). A côté, l’honnêteté opportuniste de Scream le rend presque sympathique.
Le Figaro
L'ensemble peine à convaincre, trop téléphoné, trop englué dans une généalogie compliquée qui perdrait même les plus grands fans. Il faut bien convenir que ce nouvel épisode reste tout de même supérieur au précédent, dont on pensait qu'il avait définitivement enterré la franchise.
Le Point
Film après film, le procédé tourne forcément en rond et malgré tous les efforts des dialogues pour établir un nouveau jeu métatextuel autour de cette sixième itération, la combine sent vraiment trop le réchauffé, autant que les ahurissantes invraisemblances qui parsèment le dernier acte.
Télérama
Le duo Tyler Gillett et Matt Bettinelli-Olpin signe un nouveau volet de la saga horrifique, empêtré dans l’auto-citation et aussi faiblard que le précédent.
Dernières Nouvelles d'Alsace
La dimension méta du scénario, son suivi scrupuleux de la ligne narrative de la saga - ah, le psychopathe au bout du fil… –, la présence de Courtney Cox dans le rôle de Gale Weathers depuis le premier Scream de Wes Craven en 1997 (...) ne sauvent pas le film d’un certain ennui. Comme une impression de déjà-vu.
GQ
Au-delà de l'emballage formel peu reluisant (jump scares datés sur fond de pop sirupeuse), c'est l'inconsistance même de ce que le film a à raconter et des parcours qu'il offre à ses personnages qui rend l'ensemble affligeant.
Le Dauphiné Libéré
La dimension méta du scénario, son suivi scrupuleux de la ligne narrative de la saga (...) ne sauvent pas le film d’un certain ennui.
Le Monde
En déplaçant l’action de la province à New York, les concepteurs du film ont sans doute voulu lui donner un léger coup de neuf. Il est vrai que le principe de départ – le cliché, puis la désignation du cliché comme cliché – paraît s’épuiser et donner naissance à d’interminables scènes dialoguées, où les personnages dévoilent eux-mêmes les conventions dont ils sont prisonniers.
Les Inrockuptibles
Le nouveau duo à la tête de la saga, Tyler Gillett et Matt Bettinelli-Olpin, ne semble toujours pas savoir que faire des anciennes figures, rejouant ici avec Gale Weathers (Courteney Cox) une énième traque vide de sens dans un immense appartement de l’Upper East Side.
Libération
La Paramount continue à tirer jusqu’à la nausée le fil de la franchise née en 1996, mais effraie seulement par le vide sidéral de son entreprise.