Excellent film. Raconte l'histoire de plusieurs personnages bien différent ! Très bien filmé, les costumes et l'environnement correspondent à ce qui se faisait à l'époque. Les acteurs sont vraiment bons.
Je n'ai pas vu les 3H00 passer... Le film est bien rythmé entre les différentes histoires des différents protagonistes qui se retrouveront tous à la fin de la Saga car oui leurs destins est lié ! N'écoutez pas les rageux qui mettent 1 étoile parce que leur QI est extrêmement limité : il n'ont rien compris au film.
Tout est réaliste, le film n'a pas de parti pour les "indiens" ni pour les "cowboys", il relate le fait que les 2 camps ont émis des fautes (tueries). Il n'y a pas de gentils dans la conquête de l'ouest, juste 2 différentes cultures qui ne se connaissaient pas et cela à entraîné des massacres ou d'autre erreurs. Les 2 camps sont fautifs (déjà que les indiens se tuaient déjà entre eux avant l'arrivée des européens).
Le film raconte plusieurs point de vue de ce qu'étaient principalement les gens à l'époque : les indiens, les pionniers avec leur convoi de caravane, une fugitive, un marchand de betails (kevin coster) qui traite aussi dans un autre domaine mystérieux, des soldats de l'armée US, les survivants du massacre d'Horizon, et bien d'autres.
J'enleve 1 étoile car effectivement il y a tellement d'histoire différente que parfois c'est un peu compliqué de tout se remémorrer.
La bande son est géniale et la bande annonce à la fin du film pour annoncer le chapitre 2 est juste inattendue et magnifique !
Pour bien comprendre le film il faut le voir 2 fois à mon sens.
Quel bazar ! Que c'est long pour ne rien n'y comprendre. A ma sortie du film on m'a dit qu'en fait il y a plusieurs histoires sans aucun lien entre elles... Dommage car les décors sont fabuleux et les paysages extraordinaires. Mais ça ne fait pas un film. Peut_être un documentaire mais à condition d'ôter la bande son.
Bonjour très bon film décor superbe, jeux d'acteurs superbe, on attend avec impatience le chapitre 2.3.4. On a Hâte Ps: n'écoutez pas les critiques Merci
3h pour ne pas avoir de fin, mise en place longue, longue... Bodyguard au temps de danse avec les loups. Trop de personnages, on est perdu, j imagine que tout va se mettre en place dans le chapitre suivant mais ça me donne pas envie car je me suis ennuyé la moitié du film
Simplement un navet ; les dialogues sont très mauvais ; les scènes de combats moyennement réalisées : je suis parti au bout d’une 1h30. Je déconseille vivement.
Exercice de style, mais c’est raté ! Les éclipses ne sont pas maîtrisées du tout, on ne connaît pas;le nom des personnages, on ne connaît pas leur but, leurs motivations… c’est pas ça raconter une histoire. En revanche superbe musique superbes paysages. Mais,bon, je vais plutôt me refaire danse avec les loups
Tout commence par une mauvaise idée de géomètres : tirer les plans d'une ville nouvelle dans la San Pedro Valley, sur un gué fréquenté par les Apaches. Peu enclins au vivre ensemble, ils font voler les flèches, trouant même des gosses dont l'assassinat rappelle la scène d'ouverture de "Il était une fois dans l'Ouest". De mauvaises croix sont plantées de guingois par un missionnaire arrivé peu après. Il établira la cité qui donne son nom au film, Horizon.
Ce projet était porté par Kevin Costner depuis 1988. Il a fini par se développer en une tumeur monstrueuse traitée en dix heures de film réparties en quatre chapitres, gigantesque entreprise riche de 170 rôles et d'une armée de figurants, tout ça tourné en décors naturels, le sud de l'Utah. Ce Chapitre Un déploie en trois heures une multitude de vignettes narratives dont on peine à trouver le lien, sinon qu'elles s'assembleront en un tableau final nommé Horizon, la ville frontière.
L'affiche en vantant les bienfaits circule comme un viatique entre les mains de gens qui n'interagissent guère au cours de ce premier volet. Qu'ils soient Apaches, dont beaucoup s'opposent à la guerre contre les Blancs ; ou la mère qui soustrait son bébé à un parâtre, déclenchant sur elle la fureur d'un clan, dans le Montana ; un "dude" de l'Est et sa jeune épousée qui se lave à l'eau douce - si rare -, embarqués dans un convoi de chariots sur la piste de Santa Fe. Autant de tableaux traités par J. Michael Muro, le chef op qui suit Costner depuis ses débuts, comme des toiles de maîtres américains, tels que Frederic Remington.
Boudé par le public américain et la critique, envisagé à Cannes du bout des lèvres, méprisé par la presse intello, Horizon sera-t-il le "Heaven's Gate" de Kevin Costner ? Une chose est sûre : voilà une grandiose conquête de l'Ouest, exigeante, visuellement splendide même si la ligne d'horizon est souvent au milieu du cadre comme la lui reproche "Positif" qui la balaye en trois lignes. Michel Ciment est bien mort.
Kevin Costner s'est lancé dans une aventure cinématographique hors norme. C'est très vaste et sans doute très (trop?) lourd. Le rythme suivra-t-il cette épopée? On ne pourra pas lui reprocher d'essayer de faire revivre le cinéma à l'ancienne style "Autant en emporte le vent", à une époque où tout n'était pas formaté. Son film dépasse les simples amateurs de western car c'est avant tout un film d'Histoire, celui de la Conquête de l'Ouest, très très loin de l'image hollywoodienne jouer avec panache mais parfois angélisme par les John Wayne et consorts. C'est beau, grandiose, souvent très prenant et le jeux des acteurs est impeccable: de Kevin Costner tout en retenue, de Sienna Miller toute qui dégage une force incroyable et de l'ensemble des seconds rôles. La place des femmes dans cette boucherie n'a jamais été si fortement mise en valeur, en s'abstenant de tout féminisme raccoleur. Les trois heures du film sont parfaitement maîtrisées.
Après "Danse avec les loups" et "Open Range", Kevin Costner revient avec flamboyance et ambition vers le genre du western. Dans "Horizon - Une saga américaine Chapitre I", il narre les aventures de pionniers américains entre San Pedro, Santa Fe et le Montana, et leur conquête du Far West, jusqu'à Horizon, une ville pleine de terres fertiles, promesse d'avenir. Mais la menace Apache rôde... Pour raconter sa vision de la conquête de l'Ouest, le réalisateur américain multiplie les personnages, dont des femmes ayant un rôle important dans le film, mais aussi les points de vue, les lieux, comme autant de visages et de décors de sa mythologie qu'il écrit sous nos yeux, emprunte d'humanité et de modernité. Une mythologie faite d'une kyrielle d'histoires qu'il met en place sans perdre le spectateur. Avec un personnage récurrent : la violence, présence inévitable et consubstantielle aux Etats-Unis. Dans une écriture sérielle qui permet la complexité et le recul, Kevin Costner se fait également sociologue universaliste, adressant au monde actuel une alerte sur les dangers qui le guette. Un divertissement intelligent qui attise la curiosité et l'envie de voir la suite.
Quel plaisir d’entrer dans un univers western rude et entremêlé d’histoires. L’acte 1 a tout de la mise en place et donne envie de poursuite l’aventure vers les 3 autres « horizons » ! Vivement la suite
Je pense qu'il faudra juger l'oeuvre dans son ensemble. Soit à environs 10h à 12h de pellicule. Il est vrai que le montage ressemble plus à une mini série à ce stade. (Le début du tournage commence en 08/2022, alors que la série Yellowstone bat son plein...) N'en reste pas moins que l'ambition du réalisateur de Danse avec les Loups est odacieuse. Verdict final d'ici quelques années...