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Votre avis sur Horizon : une saga américaine Chapitre 1 ?
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Un peu plus de 20 ans après sa dernière réalisation, «Open Range», Kevin Costner continue d'explorer son genre de prédilection, le western, avec cette odyssée américaine prévue en 4 volets, qu'il a payé en partie de sa propre poche pour pouvoir la concrétiser.
Présenté en avant-première mondiale à Cannes en mai dernier et découvert cette semaine pour ma part, j'avoue que je suis ressorti assez mitigé de ce 1er chapitre.
Co-écrit avec l'auteur-réalisateur Jon S. Baird (Stan & Ollie, Tetris), Costner nous plonge dans un western choral, un peu à la manière d'un «La Conquête de l'Ouest» (1962), nous dépeignant un vaste pays où les dangers et les espoirs s'entremêlent, et où les destins se dessinent peu-à-peu.
Tourné en décors réels et illustré par une mise en scène classique mais appliquée rappelant le cinéma de John Ford et d'Anthony Mann (dommage que Costner n'ai pas opté pour le format Cinémascope pour pouvoir pleinement profiter de ces somptueux paysages), le film est rempli de bonnes intentions et nous propose quelques séquences plutôt bien senties en terme de tension et d'immersion (l'attaque nocturne d'une colonie par des Apaches dissidents, une discussion tendue qui bascule en duel).
Malheureusement, l'ensemble manque d'une véritable ampleur, recyclant pas mal des figures archétypales du genre (les indiens, les pionniers et leurs chariots, la veuve et sa fille, l'armée, la prostituée, le cow-boy solitaire,...), sans y apporter quelque chose de vraiment nouveau, et dont la plupart sont dénuées de cette épaisseur qui devrait les accompagner.
Un film qui ne retrouve ni vraiment la poésie de «Danse avec les Loups», ni le côté plus brut de «Open Range», mais se situant quelque part entre les deux, ayant un peu de mal à exister par lui-même.
Même si je ne me suis jamais foncièrement ennuyé devant celui-ci, le rythme de l'ensemble est plutôt inégal, déroulant son récit sans grandes fulgurances et passant d'une histoire à l'autre de manière assez aléatoire.
L'impression d'assister, d'un point de vue narratif, à la longue mise en place d'une mini-série, plus que d'un film (le long teasing du futur 2nd chapitre en clôture du film ne vient que confirmer ce sentiment "sériel").
Bref, une fresque parlant pêle-mêle du cycle de la violence et de la guerre de territoires, de résilience et de défiance, d'émancipation et d'espoir, soignée au niveau de la réalisation et du casting, mais manquant en partie d'une véritable incarnation, empêchant l'immersion et l'empathie de se faire comme il faudrait.
Rendez-vous en septembre pour voir la direction que prendront toutes ces trajectoires humaines pour la suite, que j'espère un peu plus prenante, habitée et rythmée.
Présenté en avant-première mondiale à Cannes en mai dernier et découvert cette semaine pour ma part, j'avoue que je suis ressorti assez mitigé de ce 1er chapitre.
Co-écrit avec l'auteur-réalisateur Jon S. Baird (Stan & Ollie, Tetris), Costner nous plonge dans un western choral, un peu à la manière d'un «La Conquête de l'Ouest» (1962), nous dépeignant un vaste pays où les dangers et les espoirs s'entremêlent, et où les destins se dessinent peu-à-peu.
Tourné en décors réels et illustré par une mise en scène classique mais appliquée rappelant le cinéma de John Ford et d'Anthony Mann (dommage que Costner n'ai pas opté pour le format Cinémascope pour pouvoir pleinement profiter de ces somptueux paysages), le film est rempli de bonnes intentions et nous propose quelques séquences plutôt bien senties en terme de tension et d'immersion (l'attaque nocturne d'une colonie par des Apaches dissidents, une discussion tendue qui bascule en duel).
Malheureusement, l'ensemble manque d'une véritable ampleur, recyclant pas mal des figures archétypales du genre (les indiens, les pionniers et leurs chariots, la veuve et sa fille, l'armée, la prostituée, le cow-boy solitaire,...), sans y apporter quelque chose de vraiment nouveau, et dont la plupart sont dénuées de cette épaisseur qui devrait les accompagner.
Un film qui ne retrouve ni vraiment la poésie de «Danse avec les Loups», ni le côté plus brut de «Open Range», mais se situant quelque part entre les deux, ayant un peu de mal à exister par lui-même.
Même si je ne me suis jamais foncièrement ennuyé devant celui-ci, le rythme de l'ensemble est plutôt inégal, déroulant son récit sans grandes fulgurances et passant d'une histoire à l'autre de manière assez aléatoire.
L'impression d'assister, d'un point de vue narratif, à la longue mise en place d'une mini-série, plus que d'un film (le long teasing du futur 2nd chapitre en clôture du film ne vient que confirmer ce sentiment "sériel").
Bref, une fresque parlant pêle-mêle du cycle de la violence et de la guerre de territoires, de résilience et de défiance, d'émancipation et d'espoir, soignée au niveau de la réalisation et du casting, mais manquant en partie d'une véritable incarnation, empêchant l'immersion et l'empathie de se faire comme il faudrait.
Rendez-vous en septembre pour voir la direction que prendront toutes ces trajectoires humaines pour la suite, que j'espère un peu plus prenante, habitée et rythmée.
Décevant. 3 h pour rien. Histoire sans intérêt pas de fil conducteur..... Seule l image et les décors sont bien le reste sans interet
Quel souffle !!! Quelle mise en appétit pour la suite !!! Les personnages, les paysages, l’histoire de toutes ces familles… tout y est. Bravo bravo bravo. Même les spectateurs applaudissent pendant le générique de fin. *********
selenie
Dès le départ le réalisateur Kevin Costner impose l'horizon, littéralement, puis les horizons en insistant sur les paysages majestueux de l'Ouest américain. On constate vite qu'on va suivre en fait plusieurs destins qui ne se croiseront pas forcément dans l'immensité du far-west. On sent que le cinéaste a voulu un panel "historique" représentatif de son époque mais contrairement au chef d'oeuvre du genre "La Conquête de l'Ouest" (1962), Costner ne met pas en place une ligne directrice entre tous les protagonistes, reste sur une durée totale bien moindre et omet toute toute légèreté insistant sur les drames qui suivent le sillon tracé par les colons. Le réalisateur s'attarde parfois un peu trop, parfois ne développe pas assez ce qui donne a sensation d'un récit un un peu fouilli ou inabouti. Mais la mise en scène est flamboyante, la caméra est toujours en mouvement, les paysages sont toujours mis en valeur, il y a du souffle et les personnages sont bien croqués à défaut de surprendre. Mais le pire arrive à la fin, où on a droit à près de 10mn de teaser résumant ce qui va arriver dans la suite du film, 10mn qui en montre beaucoup trop. Rageant...
Site : Selenie.fr
Site : Selenie.fr
Dur de rivaliser avec Danse Avec les loups, on va voir un western, faut se laisser emporter par l’époque, il n’est jamais évident de renouveler le genre mais Kevin Costner a réalisé ce qu’il avait envie de réaliser. Moi je n’ai pas vu les 3h passer.
Vu hier..pas de rythme et un scénario tiré par les cheveux...
Esthétiquement c'est bien, mais il faut pas s'attendre à un chef d'œuvre qui capte votre attention a moins que vous ne soyez du pan pan cow boys contre les indiens.
Esthétiquement c'est bien, mais il faut pas s'attendre à un chef d'œuvre qui capte votre attention a moins que vous ne soyez du pan pan cow boys contre les indiens.
Remarquable film de Kevin Costner. Ce premier volet de cette saga se décline comme une épopée, nous livrant l'histoire abrupte de ce que dût être l'arrivée des premiers colons avides de promesses de terres vierges. Le regard que Costner porte sur les Premières Nations, notamment les tribus apaches, est tout à fait réaliste. Ils ont été dérangé sur leur territoire de chasse de façon péremptoire. Les paysage sont d'une beauté extraordinaire. Voilà un western, genre dans lequel Kevin Costner excelle à ne surtout pas rater !
Exellent western vite la parti 2 ! Très beau film même si le film prend son temps et cela est bien normal vue que d'autres suites sont prévue, j'ai passé un exellent moment chef d'œuvre !
Il en fallu du courage certainement à Kevin Costner pour entreprendre cette nouvelle saga sur l'Ouest, la conquête de l'Ouest pourrait on dire...le genre western semblant tellement désuet à notre époque et si loin des préoccupations et des goûts de notre jeunesse actuelle. Oui, du courage et de l'abnégation, quu comme à l'instar de Francis Ford Coppola qui a financé de ses propres deniers son dernier film, Kevin Costner a investi également plus de 30 millions de sa propre fortune sur les 100 millions de budget de son film.
Alors que dire, après son chef d'œuvre "Danse avec les loups" qui a obtenu pas moins de 7 oscars en 1991 et le classique et subblime "Open Range" en 2003, Kevin Costner avait déjà donné ses lettres de noblesse au western. Et bien Il faut croire que non, il en remets une couche avec "Horizon", une saga américaine qui se déroulera en principe en 3 parties (voire 4 si le public suit).
Je dois avouer que je suis fan du genre et que bien entendu j'ai pris un immense plaisir à decouvrir ce premier opus. Kevin Costner nous invite à suivre le destin croisé de familles de colons à la conquête de l'ouest, d'une mère et de sa fille qui ont perdu mari et frère, des indiens qui veulent sauver leur terre, une bande de mauvais cowboys qui veulent venger leur père et Kevin Costner au milieu de tout ça, qui joue un peu le rôle du sauveur et du justicier.
Mais au delà de l'histoire renouvelée, des indiens et des cowboys, Kevin Costner filme magnifiquement les grands espaces américains du Wyoming au Montana en passant par le grand Cayon.
Un petit regret quand même, et cela été d'ailleurs une surprise en visionnant le film, il n'est pas en cinémascope, et cnest dommage pour un film qui s'appelle "Horizon".
On pourrait croire qu'il va nous refaire un film pro indien comme dans Danse avec les loups, mais non, Kevin Costner ne prend mas pas partie et il montre la violence dans les deux camps...chacun se fera son idée de qui ont été les agresseurs et qui ont été les victimes...moi j'ai mon idée.
Pour résumer, nous sommes en 1859, la San Pedro Valley n'est qu'une terre hostile battue par les vents. Un homme et son fils prennent des relevés topographiques. Ils plantent des piquets pour délimiter les contours de leur futur ranch. À bonne distance, deux enfants indiens observent ces Blancs à l'activité mystérieuse, circonspects.« C'est un jeu », explique l'un des deux. Leurs parents ne sont pas du même avis. Ces premiers colons seront massacrés. Comme les suivants. Les bons westerns sont toujours une affaire de territoires, d'espaces à conquérir et à défendre.
"Il était une fois dans l'Ouest" marquait un tournant dans l'histoire du western, et ou Sergio Leone voyait dans le train la naissance de l'Amérique, Kevin Costner la voit germer dans la ville...
Ce nouveau territoire, ces nouvelles villes qui engendreront tant de souffrances, de morts, et de désillusions, mais qui comme le présage les images saccadées de la fin du premier chapitre, participera au rêve américain de ces premiers colons sur cette terre promise...et perpétreront le génocide de plus de 45 000 amerindiens.
Seule la Terre est éternelle...
Alors que dire, après son chef d'œuvre "Danse avec les loups" qui a obtenu pas moins de 7 oscars en 1991 et le classique et subblime "Open Range" en 2003, Kevin Costner avait déjà donné ses lettres de noblesse au western. Et bien Il faut croire que non, il en remets une couche avec "Horizon", une saga américaine qui se déroulera en principe en 3 parties (voire 4 si le public suit).
Je dois avouer que je suis fan du genre et que bien entendu j'ai pris un immense plaisir à decouvrir ce premier opus. Kevin Costner nous invite à suivre le destin croisé de familles de colons à la conquête de l'ouest, d'une mère et de sa fille qui ont perdu mari et frère, des indiens qui veulent sauver leur terre, une bande de mauvais cowboys qui veulent venger leur père et Kevin Costner au milieu de tout ça, qui joue un peu le rôle du sauveur et du justicier.
Mais au delà de l'histoire renouvelée, des indiens et des cowboys, Kevin Costner filme magnifiquement les grands espaces américains du Wyoming au Montana en passant par le grand Cayon.
Un petit regret quand même, et cela été d'ailleurs une surprise en visionnant le film, il n'est pas en cinémascope, et cnest dommage pour un film qui s'appelle "Horizon".
On pourrait croire qu'il va nous refaire un film pro indien comme dans Danse avec les loups, mais non, Kevin Costner ne prend mas pas partie et il montre la violence dans les deux camps...chacun se fera son idée de qui ont été les agresseurs et qui ont été les victimes...moi j'ai mon idée.
Pour résumer, nous sommes en 1859, la San Pedro Valley n'est qu'une terre hostile battue par les vents. Un homme et son fils prennent des relevés topographiques. Ils plantent des piquets pour délimiter les contours de leur futur ranch. À bonne distance, deux enfants indiens observent ces Blancs à l'activité mystérieuse, circonspects.« C'est un jeu », explique l'un des deux. Leurs parents ne sont pas du même avis. Ces premiers colons seront massacrés. Comme les suivants. Les bons westerns sont toujours une affaire de territoires, d'espaces à conquérir et à défendre.
"Il était une fois dans l'Ouest" marquait un tournant dans l'histoire du western, et ou Sergio Leone voyait dans le train la naissance de l'Amérique, Kevin Costner la voit germer dans la ville...
Ce nouveau territoire, ces nouvelles villes qui engendreront tant de souffrances, de morts, et de désillusions, mais qui comme le présage les images saccadées de la fin du premier chapitre, participera au rêve américain de ces premiers colons sur cette terre promise...et perpétreront le génocide de plus de 45 000 amerindiens.
Seule la Terre est éternelle...
Dans l'esprit c'est un peu la petite maison dans la prairie et sur la forme c'est raté. Les 3 heures auraient pu servir à développer un scénario solide avec des messages puissants mais non... c'est juste très lent.
On ne reconnait pas les grandes sagas américaines !
Brouillon , violent,un scénario très faible qui nous répète ce que beaucoup de film nous dit en beaucoup mieux ..,
Sauf si vous avez du temps à perdre, allez plutôt prendre l’air dans la nature ou vous instruire dans un musée .
Il y aussi de bons films 😄
Brouillon , violent,un scénario très faible qui nous répète ce que beaucoup de film nous dit en beaucoup mieux ..,
Sauf si vous avez du temps à perdre, allez plutôt prendre l’air dans la nature ou vous instruire dans un musée .
Il y aussi de bons films 😄
Horizon, une très bonne réalisation de K Costner, paysages grandioses, cavacaldes et fusillades réalistes, par contre au niveau du scénario c'est un peu brouillon, beaucoup de personnages sans réelle profondeur ni passé, on a du mal à suivre les actions des personnages comme s'il y avait eu des coupures qui gênent la fluidité de l'histoire, exemple la rencontre fortuite entre Costner et le frère bavard sur le chemin de la cabane, aussi lorsque la fille et Costner se retrouvent dans le camp alors que sur la scène précédente ils étaient sur la colline. Dommage, perso je n'irai pas voir la suite.
Une vision de de la conquête de l'Ouest américain. Point positif le casting et la photographie. L'histoire est un peu compliqué à suivre à certains moments.
Excellente cinématographie et enfin un western epic! La bande sonore est toute aussi belle un on ne voit pas le temps passé. Il devrait y avoir plus de film comme ça.
Paysages sublimes du sud de l'Utah, bonne description de cette conquête de l'Ouest, si dangereuse pour les blancs, si révoltante pour les indiens, talentueux récit d'histoires humaines ayant tous le même but, même si parfois pour le spectateur un peu confus, on voit peu le visage de Kevin Costner, comme s'il voulait se cacher, et
bien que quelques longueurs, reste un
beau film et une belle musique.
bien que quelques longueurs, reste un
beau film et une belle musique.
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