Épique et splendide épopée. En trois heures on parcourt une bonne partie des meilleurs éléments qui font les western. Des premières scènes géniales sur les premiers pionniers qui arrivent sur leur nouvelle terre. Des scènes de combats parfaitements réalisées. Des paysages magnifiques, imposants et somptueux. Tout est à sa place sans faire trop cliché. Les péripéties prennent place en différents lieux avec différents protagonistes. Chaque acteur est carré. Il faut espérer que la seconde partie soit aussi bon et apportent des réponses aux quelques suspens qui nous sont laissés. Et espérer que le premier opus ai du succès pour permettre un 3 eme et 4 eme. Bravo, parfaite réalisation de Kévin, quelques scènes touchantes, les 3 heures passent en un éclair, l'hymne américaine génialement reprise en générique de fin.
Il y a du Tarantino dans ce premier opus de Kevin Costner... La thématique est celle de Killers of the flower moon, à savoir la colonisation des territoires indiens, mais en mieux. Les acteurs sont bluffants, les 3 heures passent vite, il m'a semblé que le choix des musiques n'était pas toujours judicieux, mais globalement je mets quatre étoiles. Moins d'immersion dans la vie indigène que dans Dances with wolves, c'est dommage. Dressée avec le poing n'est pas au casting.Une bonne préparation - paiement avec l'impression du tract "Horizon"
Je ressors de la séance dubitative... Oui, tous les éléments d'un western sont bien là : indiens, cow-boys, pionniers, soldats, combats, attaques mais la mayonnaise ne prend pas. Peut être à cause des trop nombreux personnages ( qui mettent quand même plus d'une heure et demi pour être reliés entre eux) ou bien des scènes inutiles et/ou trop longues... bref je me suis ennuyée une bonne partie du film (ma voisine s'est même endormie). Les paysages sont beaux et le budget énorme mais ça ne fait pas tout...
Magnifique! Des paysages splendides, des personnages attachants, des scènes poignantes... une véritable immersion dans l'ouest américain (les colons, les tribus indiennes, les aventuriers, la cavalerie). Kevin Costner nous propose de les suivre chacun au jour le jour sans caricature. Mention spéciale à Sienna Miller remarquable de justesse. Un moment rare de cinéma. Je n'ai pas vu passer les 3h et j'attends le 2eme volet avec impatience!
Du cinéma, du vrai. Un casting sans fausse note, de grands espaces magnifiquement filmés. Le souci de la psychologie des personnages. Une BO au diapason. Et au final 3 heures qui passent si vite. Et cette magie d'un cinéma authentique capable de nous replonger dans nos meilleurs souvenirs d' enfance devant la Dernière Séance d'Eddy Mitchell.
Il est assez cruel que surfant sur le succès de la saga "Yellowstone" Kevin Costner accouche d'un film qui est bien en deça du prequel de la série l'excellente "1893" qui surpasse "Horizons" sur tous les plans ( photographie, scénario, casting et musique).
Non pas que "Horizons" soit mauvais mais il sonne souvent comme un "disneyland" du far west avec des acteurs aux ongles impeccables juste après une attaque d'indiens et des situations un peu cliché. Le temps jugera si l'idée de cette saga pour grand écran était une bonne ou mauvaise idée. Pour ma part je n'irai pas voir les volets suivants.
Je ne sais que penser de ce film long qui est sensé nous raconter une histoire. Ce premier opus nous installe dans une série de personnages qui ne se croiseront peut-être pas dans les suites. Et cela rend le récit brouillon. Pour ce qui est de la qualité visuelle pas de soucis et les costumes sont très biens. Reste à savoir si la lenteur sera toujours là dans la suite... Cela n'enlève rien au charme du film
A côté des 3 heures somptueuses du Comte de Monte Cristo, celles d'Horizon paraissent interminables. Tout d'abord on a l'impression de voir une série tv sur grand écran : dialogues incessants, scènes d'action vite expédiées, multiplicité des personnages (on finit par ne s'intéresser à aucun), mise en scène scolaire... Qu'il est loin le temps de Danse avec les loups ! Pourquoi un format 1.85 pour filmer les grands espaces ? Certes, la variété des décors naturels laisse à désirer... et pourquoi tant de personnages ? La fin nous annonce la suite avec plein d'autres personnages... eh bien Horizon 2, se sera sans moi.
on retrouve l ame des grands westerns. Quelques longueurs mais qui ne derangent pas. Kevin Costner nous entraine dans le sillage des différents personnages. Je l ai vu 2 fois et je l ai tout autant apprécié.
Merci à Mr Kevin super spectacle qui nous rappelle notre enfance des films 🎥 cowboys et Indiens 🥰 les 3 h actions passent très vites ! nous attendons septembre pour le 2ème 👌🎬😉
N'est pas réalisateur qui veut ! Si Kevin Costner est un grand acteur, il n'a pas su construire une véritable trame dans son western. Une suite de scènes bien filmées ne font pas un film. On voit bien la volonté de raconter une épopée, mais le souffle n'y est pas. Problème: Les dialogues et les motivations des situations sont parfois bizarres... On doit deviner les intentions des personnages. Bref, ce n'est pas le chef d'oeuvre proclamé. Un western, quoi.
L’efficacité de certaines séquences, en particulier épiques lors de l’attaque initiale mais aussi pathétiques quand il s’agit de remettre des écussons brodés aux soldats sur le départ, témoigne de l’indéniable savoir-faire du cinéaste, producteur et acteur Kevin Costner, hélas desservi par cette triple casquette qui pèse sur lui comme le poids de la notoriété sur le dos d’un auteur. Il manque au premier chapitre de la saga Horizon le truchement d’un regard extérieur à même de conseiller et de retrancher ; à la place se construit une fresque démesurée moins par son envergure dramatique ou cinématographique que par sa longueur et par son rythme en dents de scie, qui confond le récit choral et la dispersion approximative de séquences inégales, tantôt maîtrisées tantôt confondantes de lourdeur. En refusant deux écueils contemporains, c’est-à-dire la psychologisation à tout-va des personnages et la linéarité du scénario, Costner embrasse l’élan de conquête de l’Ouest perçu sur différents territoires, et restitue la convergence de leurs finalités, de leurs périls, de leurs espoirs ; pour autant, il ne confère pas à ses figures suffisamment de chair et de matière pour exister pleinement à l’écran et ainsi résister à la structure épisodique. La réalisation, dans ses cadrages, dans la composition de ses plans, dans son montage, semble souvent expédiée, notamment lors des dialogues au sein de la tribu indienne. La beauté des paysages, eux omniprésents à l’écran, elle révélée par des plans d’introduction augmentés d’indications textuelles sur le lieu, s’atteint jamais la puissance escomptée parce qu’elle se heurte à la négligence d’un ensemble qui aurait trouvé format plus judicieux dans la série. La partition musicale de John Debney écrase davantage qu’elle élève cette œuvre dépassée par l’ampleur de son projet individuel, là où il aurait dû jouer la carte de la collectivité.