Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
“(L)’ambition démesurée du projet de Gomis dépasse de loin toute visée militante : jump-cuts, compressions sonores et silences malaisants qui enchâssent les instants de grâce du film sont avant tout les échos de la déconstruction rythmique, mélodique et harmonique de la musique de l’auteur d’« Ugly Beauty ».
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Alain Gomis tisse un documentaire envoûtant tout en confrontant, via un montage aigu, la grâce de l’artiste, le narcissisme du journaliste et la froideur de la télévision.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Laura Tuillier
Cette analyse filmique minutieuse, qui prend le temps de s’attarder sur des images impressionnantes où la caméra, comme aimantée par le visage de Monk, effleure sa peau, capte la sueur et le souffle court du musicien, démonte la mécanique perverse de l’émission en exhibant une poignée de détails – mais le diable s’y loge – révélateurs.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Nicolas Geneix
L’intelligence du montage consiste à se jouer de la chronologie, des rythmes et des figures imposées en train de se construire. Ici, un ralenti, là, un fragment réitéré : il s’agit de capter un peu de ce que ressent Monk et presque de l’aider rétrospectivement par le son et par l’image.
Première
par Thomas Baurez
Après une diffusion sur Arte, ce film magnifique sort en salles. A sa vraie place.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Serge Kaganski
Un montage syncopé qui évoque le jazz, l’art scratché des DJ, et Godard.
Critikat.com
par Josué Morel
Comment saisir le génie d’un musicien, ce mystère sur lequel les mots butent ? Rewind and Play se coltine à cette question par l'entremise d'un dispositif astucieux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Septième Obsession
par Jérôme d'Estais
[Le film] parvient, avec intelligence et amour, à restituer les émotions, la grâce et la probité du génie, la modernité de sa musique face à ce Salieri poussiéreux surgi des salons parisiens.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Un documentaire ponctué de silences gênés, imprévisible et saccadé comme un air de Monk, révélateur de la frénésie médiatique aux dépens d'un artiste bienveillant mais d'avance incompris.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Cl. F.
En remaniant ces rushs dans un long-métrage resserré et nerveux (1 h 05), installant une certaine tension, Alain Gomis redonne un espace à Thelonious Monk en montrant comment celui-ci tente de résister à son interlocuteur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Monk épuisé, au bord des larmes (déclenchant les nôtres), mais stoïque, fataliste, habitué à n’être considéré que comme un fou, et celles, muettes, déchirantes, de son épouse Nellie, avec ses jolies lunettes, qui l’accompagne partout et pour qui il composa l’un de ses plus beaux morceaux : Crepuscule With Nellie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Marion Michel
À partir des rushes retrouvés de l’émission Jazz portrait, le réalisateur Alain Gomis (Félicité) compose un documentaire ironique et bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
“(L)’ambition démesurée du projet de Gomis dépasse de loin toute visée militante : jump-cuts, compressions sonores et silences malaisants qui enchâssent les instants de grâce du film sont avant tout les échos de la déconstruction rythmique, mélodique et harmonique de la musique de l’auteur d’« Ugly Beauty ».
Les Fiches du Cinéma
Alain Gomis tisse un documentaire envoûtant tout en confrontant, via un montage aigu, la grâce de l’artiste, le narcissisme du journaliste et la froideur de la télévision.
Libération
Cette analyse filmique minutieuse, qui prend le temps de s’attarder sur des images impressionnantes où la caméra, comme aimantée par le visage de Monk, effleure sa peau, capte la sueur et le souffle court du musicien, démonte la mécanique perverse de l’émission en exhibant une poignée de détails – mais le diable s’y loge – révélateurs.
Positif
L’intelligence du montage consiste à se jouer de la chronologie, des rythmes et des figures imposées en train de se construire. Ici, un ralenti, là, un fragment réitéré : il s’agit de capter un peu de ce que ressent Monk et presque de l’aider rétrospectivement par le son et par l’image.
Première
Après une diffusion sur Arte, ce film magnifique sort en salles. A sa vraie place.
Transfuge
Un montage syncopé qui évoque le jazz, l’art scratché des DJ, et Godard.
Critikat.com
Comment saisir le génie d’un musicien, ce mystère sur lequel les mots butent ? Rewind and Play se coltine à cette question par l'entremise d'un dispositif astucieux.
La Septième Obsession
[Le film] parvient, avec intelligence et amour, à restituer les émotions, la grâce et la probité du génie, la modernité de sa musique face à ce Salieri poussiéreux surgi des salons parisiens.
Le Journal du Dimanche
Un documentaire ponctué de silences gênés, imprévisible et saccadé comme un air de Monk, révélateur de la frénésie médiatique aux dépens d'un artiste bienveillant mais d'avance incompris.
Le Monde
En remaniant ces rushs dans un long-métrage resserré et nerveux (1 h 05), installant une certaine tension, Alain Gomis redonne un espace à Thelonious Monk en montrant comment celui-ci tente de résister à son interlocuteur.
Les Inrockuptibles
Monk épuisé, au bord des larmes (déclenchant les nôtres), mais stoïque, fataliste, habitué à n’être considéré que comme un fou, et celles, muettes, déchirantes, de son épouse Nellie, avec ses jolies lunettes, qui l’accompagne partout et pour qui il composa l’un de ses plus beaux morceaux : Crepuscule With Nellie.
Télérama
À partir des rushes retrouvés de l’émission Jazz portrait, le réalisateur Alain Gomis (Félicité) compose un documentaire ironique et bouleversant.