Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Vincent Poli
Cette générosité en trouvailles visuelles qui renvoie à la spontanéité du cinéma des premiers temps (image en négatif, caméra à l’envers) soutient une approche à la fois brute et ludique du réel.
L'Obs
par François Forestier
Un vrai trip de cinéma pur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
De bout en bout fait d’échos et de rebonds successifs via des dilatations temporelles (symptôme intense du confinement), Jet Lag nous emmène doucement voir le monde, nous, spectateurs et spectatrices, comme les enfants sans famille que nous sommes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
Plutôt que de chercher à retenir un temps dont la linéarité semble de moins en moins certaine, Xinyuan donne matière à cette impression diffuse de jet lag, cette sensation singulière qui superpose à un lieu l’ombre d’un autre lieu, ce sentiment de brouillage de l’espace-temps qui caractérise normalement les grands voyages mais a pu aussi se déployer lors de notre longue immobilité confinée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Passant de la fiction au documentaire, la jeune réalisatrice chinoise ne déçoit pas, faisant d’un journal de confinement un remède paradoxal au rétrécissement des imaginaires.
Télérama
par Emmanuelle Skyvington
Dans un éblouissant noir et blanc, se déploie un jeu de miroirs entre passé et présent. Histoire et anecdotes se télescopent, achevant de brouiller les frontières du temps et de l’espace.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Thomas Grignon
La caméra de Zheng Lu Xinyuan filme tout ce qui passe devant elle, comme pour arracher encore quelques pages au livre du temps, mêmes les plus impudiques.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Ma. Mt
A l’instar de The Cloud in Her Room, Jet Lag tourne à son avantage un format jugé disgracieux, le noir et blanc vidéo, qui devient entre les mains de la réalisatrice une sorte de pâte impressionniste, un brouillard électrique, une lave tranquille.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Thierry Chèze
Entre documentaire et essai vidéo, Jet Lag mêle images tournées par la réalisatrice et d’autres piochées sur Internet dans un geste d’abord déstabilisant voire abscons mais sur la longueur totalement envoûtant où l’enfermement conduit à la quête de ses racines.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Après The Cloud in Her Room, Zheng Lu Xinyuan propose un documentaire sous forme de journal intime mêlant l’actualité du monde (2020-2021) à une chronique familiale. La matière du film est variée mais les images intimes sont néanmoins trop peu développées.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
Cette générosité en trouvailles visuelles qui renvoie à la spontanéité du cinéma des premiers temps (image en négatif, caméra à l’envers) soutient une approche à la fois brute et ludique du réel.
L'Obs
Un vrai trip de cinéma pur.
Les Inrockuptibles
De bout en bout fait d’échos et de rebonds successifs via des dilatations temporelles (symptôme intense du confinement), Jet Lag nous emmène doucement voir le monde, nous, spectateurs et spectatrices, comme les enfants sans famille que nous sommes.
Libération
Plutôt que de chercher à retenir un temps dont la linéarité semble de moins en moins certaine, Xinyuan donne matière à cette impression diffuse de jet lag, cette sensation singulière qui superpose à un lieu l’ombre d’un autre lieu, ce sentiment de brouillage de l’espace-temps qui caractérise normalement les grands voyages mais a pu aussi se déployer lors de notre longue immobilité confinée.
Transfuge
Passant de la fiction au documentaire, la jeune réalisatrice chinoise ne déçoit pas, faisant d’un journal de confinement un remède paradoxal au rétrécissement des imaginaires.
Télérama
Dans un éblouissant noir et blanc, se déploie un jeu de miroirs entre passé et présent. Histoire et anecdotes se télescopent, achevant de brouiller les frontières du temps et de l’espace.
Critikat.com
La caméra de Zheng Lu Xinyuan filme tout ce qui passe devant elle, comme pour arracher encore quelques pages au livre du temps, mêmes les plus impudiques.
Le Monde
A l’instar de The Cloud in Her Room, Jet Lag tourne à son avantage un format jugé disgracieux, le noir et blanc vidéo, qui devient entre les mains de la réalisatrice une sorte de pâte impressionniste, un brouillard électrique, une lave tranquille.
Première
Entre documentaire et essai vidéo, Jet Lag mêle images tournées par la réalisatrice et d’autres piochées sur Internet dans un geste d’abord déstabilisant voire abscons mais sur la longueur totalement envoûtant où l’enfermement conduit à la quête de ses racines.
Les Fiches du Cinéma
Après The Cloud in Her Room, Zheng Lu Xinyuan propose un documentaire sous forme de journal intime mêlant l’actualité du monde (2020-2021) à une chronique familiale. La matière du film est variée mais les images intimes sont néanmoins trop peu développées.