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Alma Viva est la consécration d’une œuvre déjà foisonnante, et d’une rare cohérence. Brouillant les frontières entre éléments fictifs et biographiques, Cristèle Alves Meira nous convie au cœur d’un récit intime, où la chronique familiale rencontre le spirituel.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Spirituel et âpre, le film évoque avec poésie le lien entre la vie et la mort, si bien qu’on aurait aimé qu’il dure un peu plus longtemps (une heure et demie). Et il nous émeut jusqu’à la dernière seconde.
Intelligente organisation des espaces permettant au scénario de préserver son mystère tout en le maintenant dans une pragmatique dimension sociale qui parachève la forte singularité de la fiction.
Cristèle Alves Meira trouve un équilibre épatant entre un regard quasi-anthropologique sur le Portugal traditionnel et une poésie flirtant avec le fantastique, qui doit beaucoup à l'excentricité de ses personnages.
Naissance d’une cinéaste magique : en moins d’une heure trente, avec une simplicité confondante, Cristèle Alves Meira embrasse la chronique naturaliste et le conte occulte, le western rural et le drame familial.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
« Alma Viva » révèle une cinéaste au geste sûr qui dépeint la vie de ce Portugal hors du temps comme si on y était, interroge ses croyances, son rapport à la nature (...) à travers le regard vierge d’une enfant, incarnée avec un naturel joliment énigmatique par la propre fille de la réalisatrice.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Récit de fantômes qui convoque la sorcellerie et les croyances, ce premier film portugais sublime autant le territoire et la culture qu’il filme que le propos qu’il engage autour de ce qui se transmet de femme en femme.
Il en résulte une œuvre originale sur la transmission entre générations et la magie de la nature, qui culmine avec un regard caméra final fort audacieux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Josué Morel : Si l’hybridité semble être le maître-mot de ce premier long, la manière dont il tresse ses différents fils témoigne d’un caractère étonnamment sage.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Curieusement quelque chose ne fonctionne pas dans "Alma Viva", qui l'empêche de sortir d’une routine du cinéma du réel [...] comme si, en contradiction avec l’éveil de son héroïne, le film ne sortait jamais des rails, ne fuyait jamais son état des lieux. Le cinéma de Cristèle Alves Meira est joli, mais comme Salomé, il semble quelque peu effrayé par les appels de l’au-delà. Il reste sage comme ses images.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
On se laisse embarquer – ou pas – dans cette chronique familiale émaillée de drames inexpliqués et d’incidents ou de disputes dont on ne connaît pas l’origine.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Bande à part
Alma Viva est la consécration d’une œuvre déjà foisonnante, et d’une rare cohérence. Brouillant les frontières entre éléments fictifs et biographiques, Cristèle Alves Meira nous convie au cœur d’un récit intime, où la chronique familiale rencontre le spirituel.
Ecran Large
Poignant et bouleversant par instants, Alma Viva est un très grand premier film.
Elle
Spirituel et âpre, le film évoque avec poésie le lien entre la vie et la mort, si bien qu’on aurait aimé qu’il dure un peu plus longtemps (une heure et demie). Et il nous émeut jusqu’à la dernière seconde.
La Septième Obsession
Intelligente organisation des espaces permettant au scénario de préserver son mystère tout en le maintenant dans une pragmatique dimension sociale qui parachève la forte singularité de la fiction.
Le Figaro
La réalisatrice fait la chronique délicate et réaliste d'un étrange été.
Le Point
Une fresque familiale drôle et poignante.
Positif
La cinéaste donne d'autant plus de force à ses incarnations que ses images ont quelque chose de charnel.
Sud Ouest
Cristèle Alves Meira trouve un équilibre épatant entre un regard quasi-anthropologique sur le Portugal traditionnel et une poésie flirtant avec le fantastique, qui doit beaucoup à l'excentricité de ses personnages.
Télérama
Naissance d’une cinéaste magique : en moins d’une heure trente, avec une simplicité confondante, Cristèle Alves Meira embrasse la chronique naturaliste et le conte occulte, le western rural et le drame familial.
Cahiers du Cinéma
Alma viva tire sa modeste réussite de la manière dont il saisit une conscience enfantine dans l’impureté de ce qu’elle attrape au vol.
CinemaTeaser
Une belle profession de foi.
L'Obs
« Alma Viva » révèle une cinéaste au geste sûr qui dépeint la vie de ce Portugal hors du temps comme si on y était, interroge ses croyances, son rapport à la nature (...) à travers le regard vierge d’une enfant, incarnée avec un naturel joliment énigmatique par la propre fille de la réalisatrice.
La Croix
Le résultat est un mélange surprenant alliant le conte fantastique au burlesque de la comédie à l’italienne [...].
Le Journal du Dimanche
Joli premier long métrage que ce récit initiatique qui conjugue naturalisme et fantastique en puisant dans le folklore local.
Le Monde
Film féministe sans discours, récit d’émancipation sans le revendiquer, photographie d’un pays où la modernité côtoie les rites anciens.
Les Fiches du Cinéma
Cette fiction délicate et sensible est d’une indéniable beauté plastique, mais son manque d’audace l’empêche d’être totalement réussie.
Les Inrockuptibles
Récit de fantômes qui convoque la sorcellerie et les croyances, ce premier film portugais sublime autant le territoire et la culture qu’il filme que le propos qu’il engage autour de ce qui se transmet de femme en femme.
Libération
Rien de pire que les contes d’adultes qui édulcorent les expériences de l’enfance. Celui-ci, modeste, charme avec les moyens de l’innocence.
Première
Il en résulte une œuvre originale sur la transmission entre générations et la magie de la nature, qui culmine avec un regard caméra final fort audacieux.
Critikat.com
Josué Morel : Si l’hybridité semble être le maître-mot de ce premier long, la manière dont il tresse ses différents fils témoigne d’un caractère étonnamment sage.
Culturopoing.com
Curieusement quelque chose ne fonctionne pas dans "Alma Viva", qui l'empêche de sortir d’une routine du cinéma du réel [...] comme si, en contradiction avec l’éveil de son héroïne, le film ne sortait jamais des rails, ne fuyait jamais son état des lieux. Le cinéma de Cristèle Alves Meira est joli, mais comme Salomé, il semble quelque peu effrayé par les appels de l’au-delà. Il reste sage comme ses images.
Le Parisien
On se laisse embarquer – ou pas – dans cette chronique familiale émaillée de drames inexpliqués et d’incidents ou de disputes dont on ne connaît pas l’origine.