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Biertan64
49 abonnés
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0,5
Publiée le 12 janvier 2019
Lent comme un film japonais, je me suis ennuyé sans être touché par l'histoire,les personnages ou par le côté horreur. La spoiler: scène de torture à la fin représente ce que je n'aime pas dans ce genre de film, à savoir un spoiler: réalisme sadique qu'on pourrait plutôt suggérer. Si "Audition" est sensé avoir une certaine symbolique (la place de la femme, de l'amour ou je ne sais quoi, en admettant qu'un film classé horreur puisse avoir un second sens), je ne l'ai pas du tout saisie, la dernière partie étant incompréhensible...
Ce film de Takashi Miike ne m’a franchement pas touché et cela me laisse un arrière goût amer ! Aimant beaucoup les films japonais et ayant vu les nombreuses critiques positives sur ce film, j’espérais tomber sur une pépite ! Seulement... ce film ne m’a absolument pas affecté. Petite dédicace tout de même au jeu d’acteur d’ Eihi Shiina que j’ai trouvé génial ! Et le personnage du fils du personnage principal que j’ai rudement apprécié donnant un décalage avec tout les autres personnages du film.
Malgré tout, une petite déception car aucune scène du film ne m’a marqué ce qui est peut-être ce qui me dérange au final ? mais un encouragement pour tous de voir ce film !
L'horreur est suggéré jusqu'à la dernière partie, qui reste supportable visuellement mais dérangeante psychologiquement....Le manque de clarté, le mélange entre le réel et l'inconscient peut nous perdre hélas. Les codes sud coréen ne permettent pas une compréhension total de l'oeuvre.
J'ai bien aimé le début sobre avec une montée progressive du suspense façon thriller. J'ai moins aimé quand la réalisation part en live. La raison de ce changement n'est pas mauvaises mais la réalisation devient carrément trop brouillonne à ce moment. Seul la scène finale d' anthologie qui a peut être donné des sueurs froides à certains producteurs récupère se petit ratage.
Ayant vu beaucoup de films d'horreur, j'ai longtemps attendu à voir 'cette Audition' et c'est chose faite. L'histoire prend place doucement, même très doucement et on attend avec impatience de voir les "scènes plus choquantes', mais je suis resté sur ma faim. tout se passe sur 5 petites minutes, à la toute fin. Je n'ai pas trouvé ce passage spécialement choquant.. Peut-être en ai-je trop vu.. J'ai l'impression d'avoir perdu 1h50 de ma vie..
Il faut jamais se fier aux apparences. : ) j'ai bien aimé la manière dont la solitude a été décrite, de nombreux plans sont sympas comme par exemple le moment où elle attend patiemment à genoux, seule avec le téléphone, dans une petite pièce totalement vide. Cette séquence représente bien la souffrance du personnage. Un scénario maitrisé mais une intrigue qui aurait pu être un peu plus poussée.
Amateurs de bons vieux film d'horreur, gore à souhait, passez votre chemin. L'horreur ici est tout autant mentale, dans un dédale de vrais/faux cauchemars et rêves éveillés.... Une grande sensualité est présente; tantôt agréable, tantôt atroce. Un film qui marque longtemps.
c'est vraiment un super film d'horreur, c'est bien la première fois que je ne me met pas à la place du tueur tellement il à ben pris le temps de nous faire accrocher au personnage, cette manière dont ils fait planer le doute dans l'atmosphère plutôt que dans les paroles du personnages est absolument génial, une bonne surprise vue que j'ai regarder ce film sans même savoir de quoi ça parle et donc sans aucune attente, je le recommande chaudement, tout comme le film visitor Q du même réalisateur que j'ai regarder juste avant qui est lui aussi génial ^^
Heu...Que dire? Déçue en grande partie, je suis restée sur ma fin. Je voulais voir un film d'horreur,de l'épouvante au moins, et bah non, hormis les vingts dernières minutes du film.
spoiler: Le plus absurde pour moi reste la scène du délire hallucinatoire d'Aoyama provoqué par la drogue. Totalement confuse niveau montage pour moi. Ça m'a laissée complétement perplexe, car mêlant en partie des flash-back d'Asami sur les traumas qu'elle a subis au cours de sa vie et les fantasmes sexuels d'Aoyama, c'est une "révélation" du personnage d'Asami mal amenée et incohérente puisqu'on ne sait comment Aoyama a pu y avoir accès. Genre vas-y qu'on balance ça juste avant la scène de torture qu'on puisse avoir le brief sur la vie d'Asami qui a pas su être casé avant.
Que pendant la scène de torture finale où je me suis quand même dit "Ah ouais, cool comme façon de faire", j'avais encore les méninges qui tournaient pour me repasser la boucle des scènes tirées du mental d'Aoyama, et de on ne sait où, d'avant.
Dommage ! J'ai finalement accroché vers le milieu du film malgré un début difficile. Puis le réalisateur semble être parti dans des hallucinations à travers le héro du film (Si héro il y a) que je n'ai pas compris pour ensuite aller dans du quasi insoutenable pour un final extravagant ! spoiler: La fille qui parle avec son os brisé au cou est d'un goût douteux ! Quel était l'intérêt de ce film ?
Je ne savais pas du tout à quoi m'attendre avec ce film. La seule chose que je savais c'est que c'est un film d'horreur... C'est pour cela que la première heure et vingt minutes environ qui a nettement plus l'apparence d'un drame sentimental m'a beaucoup surpris. Mais bon j'ai suivi car cela pouvait déboucher sur quelque chose d'intéressant même si rien n'avait été approfondi jusque-là... Après ça, on enchaîne sur des effets grand-guignolesques répétitifs vite lassants et ridicules pour nous mettre en point d'orgue spoiler: une séquence de torture totalement gratuite avec, oh surprise, le personnage féminin principal qui est une psychopathe.
Totalement gratuit sur tout le reste aussi, car que ce soit en tant que drame sentimental ou en tant que film d'horreur "Audition" ne raconte absolument rien, ne délivre aucun message de fond. Si la vacuité avait été considérée comme une grande qualité cinématographique, "Audition" aurait été sans aucun doute un chef d'oeuvre dans ce domaine.
Si certains films s'oublient des qu'on les a vus, d'autres dont ce "Audition" marquent de façon indélébile. J'avais beau être prévenu, je me suis laissé entrainé et paf me voila dans les tréfonds de la terreur. Takashi Miike le réalisateur qui nous a plus habitué à des déchainements de violence stylisée ( de Itchi the killer à Django) nous emmène dans une histoire d'amour étrange: un veuf cherche à se remarier et fait passer un casting à de jeunes prétendantes persuadées d'auditionner pour la télé ( superbe scène des auditions ) et tombe amoureux de la mystérieuse Asami; Par une mise en scène assez classique et élégante, Miike insinue la violence au milieu de l'émotion amoureuse, loin des gros sabots. Pas recommandé aux âmes sensibles, ni aux rationalistes tant le montage final avec flashbacks et onirisme peut désarçonner.
L'esthétique horrifique barrée de Takashi Miike m'a laissé complètement de marbre, de même que les amis avec qui j'ai maté cette "Audition" (2003). On est resté miraculeusement jusqu'au bout, sans comprendre l'engouement des allo-cinéens, tant ce film m'a paru chiant et interminable. Même quand les évènements finissent par arriver, la symbolique incompréhensible du cinéaste japonais m'a laissé sur le côté du chemin. Désolé.
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3,5
Publiée le 19 février 2016
Ce diable de Takashi Miike a encore frappè fort et de nombreuses images du film laboureront encore la mèmoire! C'ètait sans doute l'objectif du rèalisateur japonais qui n'en finit plus de mettre en scène des oeuvres particulièrement marquantes! Sorti en 1999 avec le label « interdit aux moins de 18 ans » , son mètrage l'est assurèment et ce n'est pas le genre d'audition que l'on voit à « The Voice » ou à « La nouvelle star » . C'est en sortant de la projection qu'on a le coeur retournè, on se sent pas très bien en repensant à tout ce qu'on a vu à l'ècran! Pas grand chose durant la première moitiè du film avec un rythme narratif aussi lent qu'un escargot mais une seconde partie qui dèmènage en montant crescendo vers l'horreur. "Audition" prèsente une structure originale, à plusieurs niveaux de fiction, grâce à laquelle sont èvitèes à la fois la schèmatisation du problème et la mise à distance du spectateur! Difficile d'oublier Eihi Shiina et son « Kilikilikili » , sa seringue et son fil tranchant comme une lame de rasoir qui vous traumatiseront pour longtemps! Terrifiant moment! Les âmes sensibles sont prièes de s'abstenir...
Véritable film diesel, le spectateur plongera tout en douceur dans la vie d'un producteur quinquagénaire, endeuillé par la mort de sa femme, qui souhaite reprendre sa vie en main. Première étape : trouver une nouvelle compagne. Pour cela, il décide d'organiser, sur les conseils d'un ami, un casting fictif. Cette idée saugrenue pose les bases d'un film au rythme narratif très lent qui ira crescendo jusqu'à la soit disant apothéotique scène finale qui pour moi n'as rien de bien grandiose. Je voulais mettre 2 étoiles mais pour le spoiler: "kilikilikili" je met la moyenne.