Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Après Heartstone, le réalisateur islandais Guðmundur Arnar Guðmundsson confirme son talent extraordinaire pour diriger de jeunes acteurs, et mettre en scène une intimité un peu magique. Avec en prime une note de surnaturel pour créer une ambiance envoûtante.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Servi par des jeunes acteurs éblouissants, "Les Belles Créatures" est un film édifiant, sans concessions, dont on sort tourneboulé comme après un passage dans une lessiveuse.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Libération
par Camille Nevers
Gudmundsson, doué d’un génie du récit dans l’avancée impressionniste, discrète et volcanique, réalise une œuvre incroyable d’utopie. Tout un art : faire un grand film doux sur la grande violence.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Sacha Rosset
[...] des acteurs amateurs formidables et attachants ; une bande magnifique contre le reste du monde dans la lignée du "Stand By Me" de Rob Reiner.
Ouest France
par La Rédaction
Un film sur le harcèlement scolaire, par le prisme du fantastique, pour délivrer des messages puissants.
Positif
par Eithne O'Neill
On a de la sympathie pour ces êtres en devenir.
Voici
par V.C.
Un résultat beau et brutal à la fois.
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
La singularité du film tient dans les questions précises que l’Islandais creuse délicatement. Sur la base d’un travail abouti avec ses jeunes acteurs, dont il tire des figures attachantes, il dépeint avec acuité une perméabilité entre violence et érotisme, agressivité et soin.
Critikat.com
par Pierre-Jean Delvolvé
Le film fait preuve par endroits d'une belle sensibilité adolescente, mais reste un peu trop sage.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Pierig Leray
Trop long et éparpillé, « Les belles créatures » n'en reste pas moins une chronique adolescente réussie, noyée dans la souffrance et la vengeance sociale, avec en voie de sortie, le rêve salvateur et la bienveillance maternelle, maigre imaginaire de survie dans ce tableau noirci d’une Islande comme jamais imaginée.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Monde
par M. Jo.
Si Les Belles Créatures semble citer sagement ses références et s’avère assez prévisible dans ses conclusions (le tragique social, la brutalité comme racine et horizon), le film est traversé par des éclats d’ultraviolence cathartiques, presque réjouissants, qui finissent par sortir le récit de son programme tout tracé.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
"Les Belles créatures", dans ses meilleurs moments, a des effets d’explosion sous-marine, où le drame de l’adolescence empêchée couve avant de tout emporter. Mais cette déflagration est amenuisée par des effets oniriques qui éloignent tout trouble identitaire.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Lucie Chiquer
Et au moment où le film semble atteindre son acmé, le récit prend un virage lorsque le rôle de protagoniste change de mains, introduisant au passage des éléments surnaturels, le tout avec une fluidité déconcertante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
On se laisse finalement happer par la force de ces séquences oniriques, autant que par l’énergie sombre de ces jeunes garçons qui grandissent avec leurs poings.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Attachant et incisif, ce portrait d’ados à la dérive confirme l’originalité de style son réalisateur et présente un regard original sur les laissés-pour-compte de la société islandaise.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
Après Heartstone, le réalisateur islandais Guðmundur Arnar Guðmundsson confirme son talent extraordinaire pour diriger de jeunes acteurs, et mettre en scène une intimité un peu magique. Avec en prime une note de surnaturel pour créer une ambiance envoûtante.
Franceinfo Culture
Servi par des jeunes acteurs éblouissants, "Les Belles Créatures" est un film édifiant, sans concessions, dont on sort tourneboulé comme après un passage dans une lessiveuse.
Libération
Gudmundsson, doué d’un génie du récit dans l’avancée impressionniste, discrète et volcanique, réalise une œuvre incroyable d’utopie. Tout un art : faire un grand film doux sur la grande violence.
Mad Movies
[...] des acteurs amateurs formidables et attachants ; une bande magnifique contre le reste du monde dans la lignée du "Stand By Me" de Rob Reiner.
Ouest France
Un film sur le harcèlement scolaire, par le prisme du fantastique, pour délivrer des messages puissants.
Positif
On a de la sympathie pour ces êtres en devenir.
Voici
Un résultat beau et brutal à la fois.
Cahiers du Cinéma
La singularité du film tient dans les questions précises que l’Islandais creuse délicatement. Sur la base d’un travail abouti avec ses jeunes acteurs, dont il tire des figures attachantes, il dépeint avec acuité une perméabilité entre violence et érotisme, agressivité et soin.
Critikat.com
Le film fait preuve par endroits d'une belle sensibilité adolescente, mais reste un peu trop sage.
Culturopoing.com
Trop long et éparpillé, « Les belles créatures » n'en reste pas moins une chronique adolescente réussie, noyée dans la souffrance et la vengeance sociale, avec en voie de sortie, le rêve salvateur et la bienveillance maternelle, maigre imaginaire de survie dans ce tableau noirci d’une Islande comme jamais imaginée.
Le Monde
Si Les Belles Créatures semble citer sagement ses références et s’avère assez prévisible dans ses conclusions (le tragique social, la brutalité comme racine et horizon), le film est traversé par des éclats d’ultraviolence cathartiques, presque réjouissants, qui finissent par sortir le récit de son programme tout tracé.
Les Fiches du Cinéma
"Les Belles créatures", dans ses meilleurs moments, a des effets d’explosion sous-marine, où le drame de l’adolescence empêchée couve avant de tout emporter. Mais cette déflagration est amenuisée par des effets oniriques qui éloignent tout trouble identitaire.
Première
Et au moment où le film semble atteindre son acmé, le récit prend un virage lorsque le rôle de protagoniste change de mains, introduisant au passage des éléments surnaturels, le tout avec une fluidité déconcertante.
Télérama
On se laisse finalement happer par la force de ces séquences oniriques, autant que par l’énergie sombre de ces jeunes garçons qui grandissent avec leurs poings.
aVoir-aLire.com
Attachant et incisif, ce portrait d’ados à la dérive confirme l’originalité de style son réalisateur et présente un regard original sur les laissés-pour-compte de la société islandaise.