Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Les Echos
par Adrien Gombeaud
A travers le trajet d'une boxeuse sourde, Sho Miyake signe un superbe film de sport et le portrait sensible d'une solitude.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette œuvre sensible et belle insiste sur son isolement et sa détermination face à l’adversité.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Un enseignement imparfait, mais touchant et qui finit par trouver son sens (un peu) grâce à la boxe.
L'Obs
par X.L.
Un anti-Rocky Balboa qui ne nous fait pas le coup de la résilience et du dépassement de soi, mais nous raconte simplement comment une page se tourne. La caméra capte la résignation silencieuse et douloureuse de Keiko. Et c’est bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Si La beauté du geste se pare des atouts du film de sport, le film s’échappe vite des figures narratives du genre pour mieux aborder son message : comment trouver sa place dans la société. Et le film utilise la boxe tantôt comme un objectif, tantôt comme une entrave.
Libération
par Laura Tuillier
La manière qu’a le cinéaste de nous faire entrer de plain-pied dans l’univers sensitif de Keiko tient d’une sorte de miracle discret qui prend à rebours le film misérabiliste pour lui préférer une variation sur la vulnérabilité.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Chèze
Une œuvre aussi puissamment sensorielle que mélancolique.
Télérama
par Samuel Douhaire
Le cinéaste chronique avec empathie et pudeur la relation touchante, pleine de mélancolie, entre cette sportive hors norme et son mentor en fin de partie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Une belle étude de personnage, rigoureuse et touchante.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Une bombe émotionnelle à retardement.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
C’est un désordre intérieur qui chamboule l’esprit de la boxeuse handicapée qui semble se réfugier dans ses propres routines en se refusant aux émotions faciles. Tout comme le film d’ailleurs, adapté d’une histoire vraie, qui en tire justement sa force avec (fort logiquement) une économie de dialogues.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par O.D.
Adapté de l'autobiographie de la boxeuse Keiko Ogasawara, le film se veut un « anti-Rocky ». Plus que la rage de vaincre, on y sent surtout la solitude et la tristesse d'une femme perdue dans un monde qu'elle ne comprend pas.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Cette adaptation d’une autobiographie choisit une ligne épurée qui, pour fragile qu’elle soit, sublime son sujet par ses détails et son ton sensible.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Par le toucher granuleux de sa photographie 16mm captant les pulsations d’un Tokyo mis à l’arrêt, "La Beauté du geste" renonce à une grande partie de ce qui est familier au genre pour se recentrer à la place sur une tendre étude de personnages dont la relation entre Keiko (Yukino Kishii) et son mentor (Tomokazu Miura) forme le cœur battant du film.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
[...] la performance de Yukino Kishii lève toutes les réticences, le poing levé et le protège-dents mordu avec férocité.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Lucie Chiquer
Inspiré de l’autobiographie de la boxeuse Keiko Ogasawara, La Beauté du geste observe, de manière détachée mais toujours avec grande simplicité, le cheminement émotionnel d’une femme mutique en quête de sérénité.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un film noble et délicat qui, dans une douceur inouïe, évoque sans démagogie ou misérabilisme la surdité au quotidien au sein de la société japonaise, à un moment où l’héroïne s’interroge sur ses choix de vie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Cl. F
Le scénario, trop corseté qu’il est par son désir de bien faire, perd en liberté, et s’éparpille aussi dans des récits parallèles, venant compléter un tableau convenu.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
A travers le trajet d'une boxeuse sourde, Sho Miyake signe un superbe film de sport et le portrait sensible d'une solitude.
20 Minutes
Cette œuvre sensible et belle insiste sur son isolement et sa détermination face à l’adversité.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un enseignement imparfait, mais touchant et qui finit par trouver son sens (un peu) grâce à la boxe.
L'Obs
Un anti-Rocky Balboa qui ne nous fait pas le coup de la résilience et du dépassement de soi, mais nous raconte simplement comment une page se tourne. La caméra capte la résignation silencieuse et douloureuse de Keiko. Et c’est bouleversant.
Le Dauphiné Libéré
Si La beauté du geste se pare des atouts du film de sport, le film s’échappe vite des figures narratives du genre pour mieux aborder son message : comment trouver sa place dans la société. Et le film utilise la boxe tantôt comme un objectif, tantôt comme une entrave.
Libération
La manière qu’a le cinéaste de nous faire entrer de plain-pied dans l’univers sensitif de Keiko tient d’une sorte de miracle discret qui prend à rebours le film misérabiliste pour lui préférer une variation sur la vulnérabilité.
Ouest France
Une œuvre aussi puissamment sensorielle que mélancolique.
Télérama
Le cinéaste chronique avec empathie et pudeur la relation touchante, pleine de mélancolie, entre cette sportive hors norme et son mentor en fin de partie.
Voici
Une belle étude de personnage, rigoureuse et touchante.
CinemaTeaser
Une bombe émotionnelle à retardement.
La Voix du Nord
C’est un désordre intérieur qui chamboule l’esprit de la boxeuse handicapée qui semble se réfugier dans ses propres routines en se refusant aux émotions faciles. Tout comme le film d’ailleurs, adapté d’une histoire vraie, qui en tire justement sa force avec (fort logiquement) une économie de dialogues.
Le Figaro
Adapté de l'autobiographie de la boxeuse Keiko Ogasawara, le film se veut un « anti-Rocky ». Plus que la rage de vaincre, on y sent surtout la solitude et la tristesse d'une femme perdue dans un monde qu'elle ne comprend pas.
Les Fiches du Cinéma
Cette adaptation d’une autobiographie choisit une ligne épurée qui, pour fragile qu’elle soit, sublime son sujet par ses détails et son ton sensible.
Les Inrockuptibles
Par le toucher granuleux de sa photographie 16mm captant les pulsations d’un Tokyo mis à l’arrêt, "La Beauté du geste" renonce à une grande partie de ce qui est familier au genre pour se recentrer à la place sur une tendre étude de personnages dont la relation entre Keiko (Yukino Kishii) et son mentor (Tomokazu Miura) forme le cœur battant du film.
Paris Match
[...] la performance de Yukino Kishii lève toutes les réticences, le poing levé et le protège-dents mordu avec férocité.
Première
Inspiré de l’autobiographie de la boxeuse Keiko Ogasawara, La Beauté du geste observe, de manière détachée mais toujours avec grande simplicité, le cheminement émotionnel d’une femme mutique en quête de sérénité.
aVoir-aLire.com
Un film noble et délicat qui, dans une douceur inouïe, évoque sans démagogie ou misérabilisme la surdité au quotidien au sein de la société japonaise, à un moment où l’héroïne s’interroge sur ses choix de vie.
Le Monde
Le scénario, trop corseté qu’il est par son désir de bien faire, perd en liberté, et s’éparpille aussi dans des récits parallèles, venant compléter un tableau convenu.