Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Transfuge
par Serge Kaganski
Bonello signe là un film sombre, anxiogène, angoissé, magnifique de puissance et d’invention. Un film de notre temps, pour notre temps.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Bertrand Bonello s’aventure dans un genre hybride, entre le fantastique, le réalisme social et le plaidoyer écologique : un chef-d’œuvre absolu.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Mais, chose peu habituelle chez Bonello, l’inquiétude prend une forme franchement ludique, voire comique. Loin de désamorcer la violence, l’humour lui donne une autre dimension : il saisit et glace comme des rires enregistrés qui tombent au mauvais moment.
Ecran Large
par Mathieu Victor-Pujebet
Parfois trop théorique et trop explicatif, Coma reste un des films les plus beaux et inquiets réalisés par Bertrand Bonello. C'est un voyage hallucinogène à la fois fou, drôle, terrifiant et bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Monde
par Mathieu Macheret
Avec une remarquable économie de moyens, Bertrand Bonello livre avec Coma une petite boule de rêverie et de terreur larvée, dialoguant librement avec un certain imaginaire d’horreur, de surréalisme ou de science-fiction.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Le révélateur, c’est enfin le film lui-même. Un essai poétique audacieux et ramassé à très forte densité, dans lequel se réverbèrent avec éclat tous les espoirs et les angoisses de l’époque.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Lamm
Coma est un film limbesque, un limbe de film, qui entend profiter de la marge, de l’interstice qui lui donne son corps, pour s’inventer sous nos yeux, pour nous, avec nous.
La critique complète est disponible sur le site Libération
CinemaTeaser
par Renan Cros
Radical mais hypnotique.
L'Humanité
par Sophie Joubert
« Chacun de nous est plus ou moins victime du rêve des autres. Même quand c’est la plus gracieuse jeune fille, c’est une terrible dévorante, par ses rêves », a écrit Gilles Deleuze dans Qu’est-ce que l’acte de création? (1987). Passant outre l’avertissement du philosophe, figure tutélaire du film, Bertrand Bonello signe une œuvre troublante, à défaut d’être complètement réussie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Ce n’est pas toujours lisible ou confortable pour le spectateur, mais le geste esthétique et politique est stupéfiant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Jérôme d'Estais
Coma prouve que Bonello n’est jamais meilleur sorcier et plus surprenant prophète que lorsqu’il s’oublie pour offrir (le film à une génération), avec les moyens du bord, fragmentant, télescopant, testant, passant du simple au complexe, de l’intime à l’universel, la foi dans la fiction, la musique et les images, intacte au premier (beau) jour de Quelque chose d’organique (1998).
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Audacieux, foisonnant, provocateur et perturbant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Positif
par Eithne O’Neill
Une fable fantastique, sombre et parfois divertissante.
Première
par Thierry Chèze
On a du mal à saisir où veut nous emmener Bonello. Mais en mêlant reconstitution d’un sitcom avec des poupées Barbie et Ken (...) il développe à l’écran un climat lynchien dans un geste de plasticien, où son travail sur la lumière comme sur les sons rend ce puzzle aussi abscons qu’impressionnant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Louis Guichard
Un malicieux mélange de genres.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Corentin Lê
Après Nocturama, Coma s’apparente pour Bonello à une nouvelle tentative désespérée – car vouée à l’échec – de saisir une époque qui lui échappe.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Parisien
par La Rédaction
Le fond n’est pas inintéressant (le film aborde l’angoisse que suscitent chez les jeunes la pandémie et le réchauffement climatique, les liens virtuels, le complotisme…), mais la forme, bricolée, s’avère franchement rébarbative.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Trois ans après Zombie Child, Bonello sonde un peu plus encore les âmes adolescentes. Entre l’expérimentation et l’errance fantasmagorique, il signe un film certes formellement singulier, mais dont le projet (macabre) se donne beaucoup de mal pour convaincre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Transfuge
Bonello signe là un film sombre, anxiogène, angoissé, magnifique de puissance et d’invention. Un film de notre temps, pour notre temps.
aVoir-aLire.com
Bertrand Bonello s’aventure dans un genre hybride, entre le fantastique, le réalisme social et le plaidoyer écologique : un chef-d’œuvre absolu.
Cahiers du Cinéma
Mais, chose peu habituelle chez Bonello, l’inquiétude prend une forme franchement ludique, voire comique. Loin de désamorcer la violence, l’humour lui donne une autre dimension : il saisit et glace comme des rires enregistrés qui tombent au mauvais moment.
Ecran Large
Parfois trop théorique et trop explicatif, Coma reste un des films les plus beaux et inquiets réalisés par Bertrand Bonello. C'est un voyage hallucinogène à la fois fou, drôle, terrifiant et bouleversant.
Le Monde
Avec une remarquable économie de moyens, Bertrand Bonello livre avec Coma une petite boule de rêverie et de terreur larvée, dialoguant librement avec un certain imaginaire d’horreur, de surréalisme ou de science-fiction.
Les Inrockuptibles
Le révélateur, c’est enfin le film lui-même. Un essai poétique audacieux et ramassé à très forte densité, dans lequel se réverbèrent avec éclat tous les espoirs et les angoisses de l’époque.
Libération
Coma est un film limbesque, un limbe de film, qui entend profiter de la marge, de l’interstice qui lui donne son corps, pour s’inventer sous nos yeux, pour nous, avec nous.
CinemaTeaser
Radical mais hypnotique.
L'Humanité
« Chacun de nous est plus ou moins victime du rêve des autres. Même quand c’est la plus gracieuse jeune fille, c’est une terrible dévorante, par ses rêves », a écrit Gilles Deleuze dans Qu’est-ce que l’acte de création? (1987). Passant outre l’avertissement du philosophe, figure tutélaire du film, Bertrand Bonello signe une œuvre troublante, à défaut d’être complètement réussie.
L'Obs
Ce n’est pas toujours lisible ou confortable pour le spectateur, mais le geste esthétique et politique est stupéfiant.
La Septième Obsession
Coma prouve que Bonello n’est jamais meilleur sorcier et plus surprenant prophète que lorsqu’il s’oublie pour offrir (le film à une génération), avec les moyens du bord, fragmentant, télescopant, testant, passant du simple au complexe, de l’intime à l’universel, la foi dans la fiction, la musique et les images, intacte au premier (beau) jour de Quelque chose d’organique (1998).
Le Journal du Dimanche
Audacieux, foisonnant, provocateur et perturbant.
Positif
Une fable fantastique, sombre et parfois divertissante.
Première
On a du mal à saisir où veut nous emmener Bonello. Mais en mêlant reconstitution d’un sitcom avec des poupées Barbie et Ken (...) il développe à l’écran un climat lynchien dans un geste de plasticien, où son travail sur la lumière comme sur les sons rend ce puzzle aussi abscons qu’impressionnant.
Télérama
Un malicieux mélange de genres.
Critikat.com
Après Nocturama, Coma s’apparente pour Bonello à une nouvelle tentative désespérée – car vouée à l’échec – de saisir une époque qui lui échappe.
Le Parisien
Le fond n’est pas inintéressant (le film aborde l’angoisse que suscitent chez les jeunes la pandémie et le réchauffement climatique, les liens virtuels, le complotisme…), mais la forme, bricolée, s’avère franchement rébarbative.
Les Fiches du Cinéma
Trois ans après Zombie Child, Bonello sonde un peu plus encore les âmes adolescentes. Entre l’expérimentation et l’errance fantasmagorique, il signe un film certes formellement singulier, mais dont le projet (macabre) se donne beaucoup de mal pour convaincre.