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En s’attachant à montrer les apories de la correspondance entre Godard et Ebrahim Golestan, À vendredi, Robinson parvient à rendre d’autant plus bouleversants ces rares moments de complicité où quelque chose « passe » entre les deux hommes.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L’affaire dure huit mois et compte une trentaine d’échanges. Le drôle est que les deux hommes, l’un tenant du mystère, l’autre de la clarté, ne se comprennent pas vraiment, mais qu’ils ont en partage leur géniale solitude et la fragilité de leur grand âge. Le dialogue sombre, mais le film s’envole sur les ailes de ce malentendu.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Mitra Farahani organise la rencontre entre deux figures légendaires du cinéma. D’un côté du monde, Ebrahim Golestan, à peu près inconnu en Occident, de l’autre Jean-Luc Godard, l’inconscient de tout cinéaste qu’il le veuille ou non. Qu’est-ce que ça donne ? Un film ! Qu’on ne s’y trompe pas : ce n’est pas si fréquent !
Il y a un plaisir manifeste à voir s’échanger ces deux sales mioches que la mort semble avoir oubliés, s’amuser comme des gosses turbulents, même si de cette correspondance ne naîtra pas forcément quelque chose.
Libération
Un documentaire sur la solitude d’une force déchirante.
Critikat.com
En s’attachant à montrer les apories de la correspondance entre Godard et Ebrahim Golestan, À vendredi, Robinson parvient à rendre d’autant plus bouleversants ces rares moments de complicité où quelque chose « passe » entre les deux hommes.
Le Monde
L’affaire dure huit mois et compte une trentaine d’échanges. Le drôle est que les deux hommes, l’un tenant du mystère, l’autre de la clarté, ne se comprennent pas vraiment, mais qu’ils ont en partage leur géniale solitude et la fragilité de leur grand âge. Le dialogue sombre, mais le film s’envole sur les ailes de ce malentendu.
Les Fiches du Cinéma
Mitra Farahani organise la rencontre entre deux figures légendaires du cinéma. D’un côté du monde, Ebrahim Golestan, à peu près inconnu en Occident, de l’autre Jean-Luc Godard, l’inconscient de tout cinéaste qu’il le veuille ou non. Qu’est-ce que ça donne ? Un film ! Qu’on ne s’y trompe pas : ce n’est pas si fréquent !
Les Inrockuptibles
Il y a un plaisir manifeste à voir s’échanger ces deux sales mioches que la mort semble avoir oubliés, s’amuser comme des gosses turbulents, même si de cette correspondance ne naîtra pas forcément quelque chose.