La Romancière, le film et le heureux hasard : Critique presse
La Romancière, le film et le heureux hasard
Note moyenne
3,8
14 titres de presse
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
Culturopoing.com
Ecran Large
La Septième Obsession
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Libération
Paris Match
Première
Transfuge
L'Obs
Les Inrockuptibles
Marie Claire
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Si La Romancière… se termine dans ce hall désert à la fin d’une séance, c’est peut-être parce que, plus qu’aucun autre, cet opus raconte moins qu’il ne trace un espace possible, comme un augure, le carré dans lequel s’imagine un film à faire.
Critikat.com
par Robin Vaz
À l'issue du film, ce qui perdure dans la mémoire réside moins dans les circonvolutions du récit que dans les apparitions cristallisant notre attention : elles suspendent toute logique interprétative, en imposant l’évidence de leur tranquille présence.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Maryline Alligier
C'est là, « juste sous nos yeux », des fleurs, un bouquet qui se compose en couleurs, un visage qui irradie et une déclaration d'amour.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par François Verstraete
Plus qu’un exercice de style, le film s’inscrit dans un processus osé, déstabilisant, mais toujours passionnant... que n’aurait pas renié Eric Rohmer. Hong Sang-soo démontre surtout une fois de plus qu’il n’a pas, ou peu, d’équivalents.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Septième Obsession
par Maryline Alligier
C’est magnifique.
Le Monde
par M. Mt
La Romancière… est donc, à proprement parler, le récit d’une régénération, ou comment une femme de lettres en vient à troquer le stylo pour une caméra et à se réinventer cinéaste. A ne pas manquer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Hong Sangsoo livre un beau film acerbe sur la morbidité du langage artistique - à travers l’immixtion d’une réflexion sur son propre cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Luc Chessel
Au milieu d’un film simple et fait presque tout seul, le maître coréen Hong Sang-soo cache une déclaration d’amour à son actrice fétiche, Kim Min-hee, et la clé de tout son cinéma fait d’heureux accidents.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Jamais le cinéaste sud-coréen n'avait autant parlé de lui et de son cinéma - même s'il ne l'avouera pas aussi facilement, pudique qu'il est.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Estelle Aubin
Avec La Romancière, le film et le heureux hasard (Grand prix du jury à la Berlinale en février 2022), le prolifique cinéaste sud-coréen Hong Sang-soo poursuit son œuvre minimaliste et magistrale, dans les confins des sentiments et des rencontres fortuites.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Séverine Danflous
Hang Sangsoo poursuit ses méditations sur l’art, l’amitié, l’amour, en quête d’apaisement. Les questionnements soulevés l’air de rien par ce film en fa dièse mineur et do bémol majeur s’inscrivent dans une suite musicale de cette œuvre de la ligne claire.
L'Obs
par François Forestier
Un film de l’ordre du rêve, auquel il faut s’abandonner. C’est comme un parfum de fleurs : évanescent, charmant, insaisissable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Le film s’offre davantage comme un précipité de réflexions, de secrets et de clés à déchiffrer sur le pouvoir de la fiction, sa collision avec le réel, sa nécessité et cette dévoration entre les deux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Emily Barnett
En quelques plans-séquences très longs et une poignée d'individus parlant littérature et cinéma (des artistes en panne d'inspiration), il parvient à produire une fine méditation existentielle.
Cahiers du Cinéma
Si La Romancière… se termine dans ce hall désert à la fin d’une séance, c’est peut-être parce que, plus qu’aucun autre, cet opus raconte moins qu’il ne trace un espace possible, comme un augure, le carré dans lequel s’imagine un film à faire.
Critikat.com
À l'issue du film, ce qui perdure dans la mémoire réside moins dans les circonvolutions du récit que dans les apparitions cristallisant notre attention : elles suspendent toute logique interprétative, en imposant l’évidence de leur tranquille présence.
Culturopoing.com
C'est là, « juste sous nos yeux », des fleurs, un bouquet qui se compose en couleurs, un visage qui irradie et une déclaration d'amour.
Ecran Large
Plus qu’un exercice de style, le film s’inscrit dans un processus osé, déstabilisant, mais toujours passionnant... que n’aurait pas renié Eric Rohmer. Hong Sang-soo démontre surtout une fois de plus qu’il n’a pas, ou peu, d’équivalents.
La Septième Obsession
C’est magnifique.
Le Monde
La Romancière… est donc, à proprement parler, le récit d’une régénération, ou comment une femme de lettres en vient à troquer le stylo pour une caméra et à se réinventer cinéaste. A ne pas manquer.
Les Fiches du Cinéma
Hong Sangsoo livre un beau film acerbe sur la morbidité du langage artistique - à travers l’immixtion d’une réflexion sur son propre cinéma.
Libération
Au milieu d’un film simple et fait presque tout seul, le maître coréen Hong Sang-soo cache une déclaration d’amour à son actrice fétiche, Kim Min-hee, et la clé de tout son cinéma fait d’heureux accidents.
Paris Match
Jamais le cinéaste sud-coréen n'avait autant parlé de lui et de son cinéma - même s'il ne l'avouera pas aussi facilement, pudique qu'il est.
Première
Avec La Romancière, le film et le heureux hasard (Grand prix du jury à la Berlinale en février 2022), le prolifique cinéaste sud-coréen Hong Sang-soo poursuit son œuvre minimaliste et magistrale, dans les confins des sentiments et des rencontres fortuites.
Transfuge
Hang Sangsoo poursuit ses méditations sur l’art, l’amitié, l’amour, en quête d’apaisement. Les questionnements soulevés l’air de rien par ce film en fa dièse mineur et do bémol majeur s’inscrivent dans une suite musicale de cette œuvre de la ligne claire.
L'Obs
Un film de l’ordre du rêve, auquel il faut s’abandonner. C’est comme un parfum de fleurs : évanescent, charmant, insaisissable.
Les Inrockuptibles
Le film s’offre davantage comme un précipité de réflexions, de secrets et de clés à déchiffrer sur le pouvoir de la fiction, sa collision avec le réel, sa nécessité et cette dévoration entre les deux.
Marie Claire
En quelques plans-séquences très longs et une poignée d'individus parlant littérature et cinéma (des artistes en panne d'inspiration), il parvient à produire une fine méditation existentielle.