Avis sur Ladybitch

Le soi-disant « making off » d'une pièce de théâtre sert de prétexte à montrer comment le fait d'avoir un pouvoir en tant que réalisateur confirmé, peut vite devenir un abus de pouvoir. La comédienne Ela qui a obtenu le rôle principal de Lulu dans la pièce de théâtre« Erdgeist » est dirigée par Franz Kramer qui va vite outrepasser sa fonction de metteur en scène pour la harceler sexuellement. Le problème, c'est qu'il est coutumier de ce genre de comportements. Le film se centre sur les réactions d'Ela qui ne compte pas se laisser faire. La dernière demi heure est la plus intéressante.

CATASTROPHE. digne des pires film qui soit, tout les acteurs sont mauvais, même les figurant, la mise en scène est un véritable désastre (si ont peux appeler ça une mise en scène...), le caméraman est drogué... le scénario n'a absolument aucun sens (ça ne ressemble en rien a un semblant de scénario...) , les costumes sont HORRIBLES, dignes de vieux chiffon ramassé dans une benne a ordure.....

Un désastre....

Une équipe de tournage nous plonge dans les coulisses d'une production théâtrale dirigée par un metteur en scène renommé, qui a curieusement choisi une actrice débutante, dépourvue de talent et de charme, pour le rôle principal - une décision mystérieuse. spoiler:
Lors d'une soirée animée dans un bar, le metteur en scène embrasse l'actrice en question. Malgré son refus et son départ indemne, elle devient soudainement traumatisée, sans explication des auteurs. Par la suite, elle s'emploie à saboter le projet en dénonçant le comportement inapproprié du metteur en scène. spoiler:

Le film essaie de s'inscrire dans le mouvement #MeToo en adoptant une approche wokiste, mais la dénonciation est maladroite, invraisemblable et calamiteuse, portant préjudice au véritable combat contre le harcèlement au travail, particulièrement dans le monde du cinéma et du théâtre. Le concept de faux documentaire ne fonctionne qu'au début. La protagoniste se promenant en dehors des répétitions en costume et accessoires de scène. Elle manque de charisme, d'émotion, ne suscitant aucune compassion. Les conflits semblent forcés et peu crédibles, entravant la progression de l'histoire. Le potentiel de mouvement s'amorce brièvement pour s'éteindre rapidement, faisant "phisht" de manière décevante.