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Bryan V.
70 abonnés
922 critiques
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3,0
Publiée le 15 mars 2022
Un film plutôt sympa, sans être pour autant transcendant ! Je trouve que ça manque probablement trop d'originalité, surtout pour un film d'une durée de quasiment deux heures (une heure et cinquante-huit minutes exactement).
Ce film m'a énormément fait penser à l'adaptation de Slenderman. Je m'explique, le film Slenderman n'avait rien à voir avec sa crepypasta et son personnage adapté, tout comme ce film à rien à voir avec ça. Cependant, le fait d'y avoir une forêt, des disparitions et du paranormal, tous les ingrédients rappellent ce précédent métrage Slenderman avec plus de maturité bien qu'un côté teen-ager soit présent.
Après, je ne mettrais peut-être pas les deux films au même niveau, car malgré des similitudes qui ne passent pas inaperçues, celui-ci a tout de même bien plus de profondeur, il reste intéressant.
Aie aiieeeee aiieeeeee :( Réalisateur de the grudge, que j avais bien aimé à l' époque alors goooooo, c est parti pour celui ci. La 1ère heure reste assez platonique... puis vient la suite, digne d' un asile de perchés vraiment perchés. Films avec légendes, entités, soit c est top, soit... ben vous perdez 2h de votre vie.... Fuyez, sinon il vous rattapera.... mister navet est là !
Je loupe rarement l'occasion de découvrir un nouveau film d'horreur asiatique... tant il est vrai que ce cinéma original et dépaysant m'a déjà procuré quelques-uns des plus délicieux frissons de ma longue carrière de cinéphile. C'est dans cet état d'esprit très favorable que je me suis lancé dans le visionnage de « Jukaï, la forêt des suicides », réalisé en 2021 par Takashi Shimizu, le « papa » de « The grudge ». Le début du film se révèle d'ailleurs intriguant et je me suis rapidement laissé embarquer dans cette étrange forêt à la profondeur vaguement inquiétante. Malheureusement, assez vite, l'intrigue perd nettement en intensité et l'histoire se met à « patiner dans la semoule » sans qu'on comprenne réellement où le scénario veut nous emmener. Pire, l'ambiance générale se dégrade à son tour, le réalisateur semblant hésiter sur le ton qu'il doit employer... quelques scènes presque comiques tombent totalement à plat et détraquent encore un peu plus une ligne narrative qui commence sérieusement à avoir du plomb dans l'aile. L'ensemble reste tout de même regardable, à condition d'être indulgent et de se concentrer sur les deux jeunes héroïnes qui font le job avec conviction (mais là, je suis à mon max). Décevant !
Enorme, monumentale déception que cette “Forêt des suicides'', qui se situe dans la continuité du ‘Village oublié (Inanuki)’ sorti voici deux ans, et qui ne m’avait déjà convaincu qu’à moitié. J’attends beaucoup de Takashi Shimizu, pour avoir incarné presque à lui-seul le Ju-on avec les terrifiantes versions originales de ‘The grudge’...et j’étais plutôt bien disposé envers son choix de délaisser le genre avant qu’il ne s’étiole pour commencer à tourner des films qui évoquent les légendes urbaines japonaises. Cette fois, il s’agit d’une boîte maudite, liée à la sinistre forêt d’Ahokigahara (la “forêt des suicides”, au pied du mont Fuji) et à la légende d’un village situé au plus profond des bois, qui serait habité par ceux dont le suicide aurait échoué et ne seraient jamais parvenu à ressortir de cette véritable “mer d’arbres”. Comme son prédécesseur immédiat, ‘Jukai’ démontre sans difficultés les compétences de mise en scène de Shimizu , dégage une atmosphère trouble qui semble de prime abord intéressante, en tout cas beaucoup moins frontale que celle des Ju-on, ce qui n’est pas pour déplaire depuis qu’il est devenu impossible au moindre film de flippe de me faire sursauter. Certes, il y a parfois un peu d’abus de numérique mais le réalisateur parvient malgré tout à donner corps à ses visions cauchemardesques. Non, ce qui coince complètement, c’est le scénario : l’insertion permanente de flashbacks et de séquences oniriques au sein de la trame principale se fait dans une agitation brouillonne à peine croyable, totalement indigne d’un film qui sort dans les salles (japonaises, mais bon). C’est comme si les différentes sections du film avaient été assemblées au petit bonheur la chance, par un stagiaire-monteur bourré. On finit par y retrouver ses jeunes, bien sûr, mais on passe plus de temps à recoller entre eux les morceaux de ce script confus qu’à profiter de l’atmosphère menaçante, de toute façon terriblement malmenée par cet authentique travail de cochon.
Nous sommes Les #Jukai. Adrien a créé notre forêt Jadis. Jadis, notre forêt, était prospère, avec le temps, elle fût l'hégémonie, des guerres de clan rival qui opposait le Barfour, avec l'Exjispéria. au Bord, de faire la paix avec le Sinabre, et le Mont Sinabre, les villageois, se fûrent braquer, avant le commandement de la lettre des troupes ennemis. Depuis ce moment, nous avons échuré de régner, en tant qu'esprit troublé de la forêt, où nous partageons nous pleurs pour 1000 ans, avant de réascencionner, quand le Maitre PATEYN TCHIN Viendra, et survivra avec Adrien, dans 1200 ans, pour conjurer la forêt, avec 500 des plus grands passeurs d'âmes de la planète, dans des troupes d'encens, et de saugiers, qui nous montreront le chemin du coeur, et de la retrouvaille, avec notre pensée. priez pour nous, âmes peinées, qui avons été attaqués par les KIBRA, avant que leur maitre ne nous redonne un grain de vie, voir peut être un jour, une nouvelle vie épanouie, dans le grain de la félicité. Adrien mets 4 étoiles pour cette description de nos esprits mourrants.
Un film japonais qui est long à se mettre en place, des longueurs, des passages énervants avec certains personnages. Un doublage très mauvais, des acteurs mauvais. C'est mal fait, histoire brouillonne.
"Suicide Forest Village" est le deuxième film de la série "Horror Village" de Takashi Shimizu après "Howling Village" et avant le troisième "Ushikubi Village" prévu pour cette année. Le réalisateur s'intéresse à la célèbre forêt d'Aokigahara qui a la triste réputation d'être la forêt où les gens vont se suicider. Cette forêt à la fois sinistre et effrayante est responsable de nombreuses légendes urbaines. La forêt est le point de départ de l'histoire, mais le 3/4 du film ne se déroule pas là-bas. L'histoire se concentre sur Hibiki et Mei, deux sœurs vivant chez leur grand-mère depuis la mort de leur mère, qui vont être confrontées à une mystérieuse boite, une étrange malédiction et des morts suspectes. Si Takashi Shimizu n'a jamais arrêté de réaliser des films, il n'est jamais vraiment parvenu à créer quelque chose de semblable à "Ju-on". Il n'y a plus jamais eu de Kayako ni de films avec une ambiance similaire. Le réalisateur est capable de quelques coups d'éclat et on le remarque ici avec quelques scènes angoissantes, mais l'ensemble est très inégal et manque de consistance. "Suicide Forest Village" est beaucoup trop long pour ce qu'il a à raconter et cette histoire sur la malédiction traîne en longueurs. Bref, un film décevant.
Au pied du mont Fuji, la forêt Aokigahara abrite la désolation, où certains y viennent pour se perdre corps et âme. Gus Van Sant et Jason Zada l’ont d’ailleurs déjà foulé de leur mélancolie ou de leur sentiment de frissons. De même, le cinéaste nippon Tomoyuki Takimoto (Jyukai) a profité de la légende urbaine, afin d’investir un lieu qui semble bien maudit par ceux qui y ont laissé leur vie. Et alors que « Inunaki, le village oublié » vient de boucler sa trame, le projet revient dans les mains de Takashi Shimizu, qui a porté et exporté son effrayant « Ju-On : The Grudge ». Pourtant, nous le saurons bien loin de la maîtrise d’autrefois, bien qu’il reste un des cadors nationaux à perpétuer un souffle culturel à travers la J-Horror. En se penchant sur la thématique du suicide, il fait malheureusement face aux limites d’un récit, qui se donnera toutes les chances pour alpaguer le spectateur curieux et sceptique, tout en offrant quelques séquences bien bricolées pour les amateurs du genre, mais qui disperse toute la tension dans un labyrinthe mental et bancal.
L’ouverture intrigante laisse rapidement place aux défauts symptomatiques que le film va traîner, tout au long de son exploration, tantôt mélancolique, tantôt intemporelle. On y trouvera assez d’empreintes et de styles de cinéastes dans une première partie, qui épuise le potentiel du found-footage, en l’alimentant d’une couverture réseau social, histoire d’embarrasser le jeune public sur le fond quasi documentaire de la chose. Il y a donc de la place pour satisfaire une certaine dose d’authenticité, tout en laissant la malédiction d’une boîte maudite dicter son rythme. La narration subit ainsi la lenteur d’une intrigue que l’on découvre avec des qualités qu’on aura vite fait d’évaluer et digérer aujourd’hui. Il ne reste plus que les fantômes et les ombres des lieux pour se convaincre de sa pertinence. La direction artistique témoigne de cela, mais au lieu d’en faire une force de persuasion, nous passons à côté du rituel imposé par une galerie de personnages, qui manquent de nuancer leur motivation.
Hikibi et Naki rôdent autour de cette célèbre mer d’arbres, car un artefact les y ramène. Vers qui, vers quoi ? C’est toute la question spirituelle dont on tente de rationaliser la réponse, par la grâce de l’horreur subtile. Les quelque rares scènes poignantes dans ce sens se noieront malheureusement dans tous les mouvements qui vont se croiser, puis se recroiser dans un dernier acte honnête, mais moins inspiré par sa mise en scène. Le drame d’une famille qui est poussée à la folie devient le combat d’un groupe, qui fait face à leur propre sentiment, absorbant toute la douleur des relations perdues ou que chacun redoute. La foi est ébranlée et la raison se transforme en une épée de Damoclès, prêt à donner le coup de grâce à celles et ceux qui se seront détournés de leur voie.
« Jukaï, la forêt des suicides » (Jukai Mura) peut sembler habile pour nous tromper, mais le sentiment n’y est pas ou n’y est plus. Si le cinéma de Shimizu trouve de bonnes raisons de frôler de prêt la forêt, il ne dégage pas cette tension qui fait que le drame intime des deux sœurs aurait pu devenir un enjeu plus conséquent pour leur entourage. Une fois que le jeu d’enquête aura pris fin, c’est dans la précipitation que l’on se donne les moyens de conclure sur des valeurs intergénérationnelles que l’on aura mis du temps à préserver.
Un film plutôt perché, entre tradition, mythe et légende urbaine... Une forêt maudite, une boîte maudite, des adulescents en quête de réponse. Il n'y a pas vraiment de rythme, c'est très lent d'abord, presque ennuyeux pdt une heure. La suite est sans surprise et peu originale en fait. Bref, un film très moyen.
Film japonais qui a trouvé le chemin jusque chez nous et on se demande bien pourquoi. Il dure beaucoup trop longtemps et le rythme est lent. Il ne casse pas des briques et il ne ferait pas tomber un inuit du traîneau. J'ai surtout retenu que les japonais aiment les portes coulissantes, c'est vous dire l'impact du film sur mon cerveau. N'ayez crainte, vous n'aurez pas peur en le visionnant, c'est mou.