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kyu f
97 abonnés
455 critiques
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2,5
Publiée le 3 septembre 2023
equalizer 3 est une très grande déception et un piètre manière de finir une trilogie. a vouloir rendre badass denzel washington à tout prix sa en fait l'inverse, pas besoin de montrer denzel comme terminator dans les ancien film pour qu'il ai la classe. Le film n'a aucune action, après une scène d'ouverture très bien fait on a 1h½ de vide, à approfondir des personnage creux qui ne servent pas le récit et le peux de scène de baston sont blindée de gore pour essayer de nous faire oubliée à quelle point c'est plat comparée au ancien. l'actrice qui joue l'enquétrice a un jeux d'acteur plat et vide, pour qu'a la fin le personnage ne servent à rien. et au final, on conclut cette sage avec un dernière épisode qui ne conclut pas l'histoire de denzel avec sa femme, ni avec les personnages des ancien film, , ni même avec les personnage du troisième opus, avec des justification bâclée pour finir en italie et au final on a un troisième film qui enleve tout ce qui fesait le charmes dans ancien film pour en faire un film d'action creux, plat et ennuyant.
La trilogie Equalizer touche à sa fin et le final est convaincant. Le film se passe entièrement en Italie et la quasi totalité des dialogues sont en italien donc si lire des sous titres vous saoulent bonne chance. L'action est moins présente que dans les deux précédents mais le film est beaucoup plus violent. J'ai été un peu déçu du grand final, !SPOILER! je trouve qu'il se débarrasse un peu facilement du chef de la mafia comparé à Equalizer 2 ou on avait le droit à un vrai duel entre Denzel Washington et Pedro Pascal. La trilogie se conclut donc avec un bon final même si j'aurais aimé un affrontement un peu plus explosif.
Denzel Washington revient dans la peau de Robert McCall. Cette fois ci l'histoire se passe en Italie plus précisément en Sicile. L'ancien espion affronte la mafia sicilienne. Le film est dans la lignée des deux précédents, il est plus sanglants que les autres. Denzel Washington à 70 ans n'a rien perdu de sa forme. Il retrouve Antoine Fuqua, et surtout les retrouvailles Dakota Fanning 20 ans après Man on fire. Toutefois, le film contient quelques longueurs comparé aux précédents, et l'action va trop vite. Mais il est plus personnel sur la psychologie de McCall, qui semble avoir trouvé le bon endroit. Un épisode qui apporte une bonne conclusion.
Si vous aimez Denzel, même à 68 ans, allez-y! Si vous aimez les superbes images léchées d'un village pittoresque, typique de la côte méditerranéenne italienne, allez-y! Si vous aimez les thrillers au scénario à suspens bien ficelé, réfléchissez-y à deux fois avant d'acheter votre place!
Bon film, mais quelque peu déçue par les décors et que cette suite ne soit pas de même qualité que les précédentes. Ceci dit, elle ne démérite pas, et offre du grand spectacle et de grands frissons. Bravo encore au réalisateur, et aux acteurs ; on sent d'ailleurs que Dakota s'est bien amusée face à Denzel.
1/5 est cela suffit largement. 3 scènes de combat et ensuite du blabla, le clicher sur l'Italie et du sous -titrage. Aucun intérêt apporte rien. Même la dernière scène de combat est nulle. Maintenant je viens de comprendre qu on fait que j'arrête de lire critique et que j'aille faire ma propre opinion.
Ainsi, les règles d'écriture seront respectées ! spoiler: Ce troisième – et dernier volet, espérons-le – de la saga Equalizer se distingue de ses prédécesseurs par son ton solennel, quasi sépulcral en ce que le personnage principal, antihéros que la caméra et le scénario ne peuvent s’empêcher d’héroïser suivant le schéma facile de la rédemption chrétienne, semble engager dans un martyre physique et psychologique. Les affres du passé reviennent sous la forme d’analepses, occasions pour Antoine Fuqua d’infuser une ultraviolence gore qui sinon ne saurait advenir dans le récit-cadre faute d’enjeux et de rythme ; le corps est fatigué, cassé, endolori, il peine à gravir les marches, comparé en somme à celui d’une petite vieille qui dit bien bonjour en suffoquant. Le cadre italien, berceau d’une renaissance empêchée encore et encore par la mafia, ne sert finalement que de prétexte à un pittoresque touristique dont se saisit à merveille la photographie soignée de Robert Richardson, habitué de Martin Scorsese et de Quentin Tarantino ; d’ailleurs, l’intégration d’un américain noir parmi des villageois blancs ne pose aucun problème, n’est même pas thématisée. Comment prendre au sérieux cette histoire de rachat spirituel dès lors que ses enjeux sensibles sont tantôt esquivés tantôt maltraités par une mise en scène complaisante dans la violence et dépourvue de pudeur ?
Après un 2e film un peu ronflant, ce 3e film a tout pour plaire aux fans du premier film. Captivant du début à la fin, Denzel au meilleur de sa forme, le film repose en grande partie sur son charisme. L'Italie apporte du charme au film, comme cela était le cas dans Fast et MI7, bien que cliché mais vraiment cool. A voir !
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3,5
Publiée le 3 novembre 2023
C'est clairement le meilleur opus de « Equalizer » . Quelle bonne idèe que d'avoir tournè ce troisième volet en Italie et plus particulièrement dans un cadre magnifique de la côte amalfitaine! Tout charisme et mystère, Denzel Washington alias Robert McCall erre dans ce petit paradis sur Terre qui surprend par la beautè des paysages! L'histoire d'un tueur professionnel implacable qui trouve la rèdemption! L'histoire d'un homme qui parle peu et qui agit quand c'est nècessaire, mais surtout l'histoire d'un homme qui se retrouve finalement face à lui-même! Ne vous attendez pas à de l'action non stop, il y en a peu! Mais plutôt l'efficacitè, le rythme de l'histoire, la violence froide et sèche...tout est là pour servir "Equalizer" troisième du nom (2023), interprètè - en dedans - par un excellent Denzel Washington qui clôt parfaitement la trilogie! Pour dire vrai, c'est ce qu'à fait de mieux Antoine Fuqua depuis "Brooklyn's Finest" (2010)...
Un peu à l image de la fin de filmographie de Liam Neeson, c est du cinéma d action pour vieux. Malgré toute l admiration que j ai pour Denzel Washington il fait peine à voir dans ce film où il n a pas grand chose à jouer (à part déplier des serviettes pour poser une tasse de thé). Côté action pas grand chose à se mettre sous la dent, le peu de scènes essaient de compenser leur manque d idées par une violence graphique gratuite qui dessert le film. À part ça,le village italien ou il se déroule est joli, même s il faut se fader une série de clichés franchement ridicules. On dirait du cinéma Europacorp mais sans le côté taré que pouvait avoir certains films de ce studio.
Rien de bien nouveau sous le soleil italien. Antoine Fuqua ne va sûrement pas renouveler le genre avec "Equalizer 3". Film d'action sans surprise mais bien exécuté. Très cliché mais efficace. On en demande pas beaucoup plus de cette franchise qui assure au moins un divertissement correct.
Un troisième opus divertissant et brutal avec un Denzel fatigué mais toujours aussi badass qui se coltine la mafia italienne, pas aidé par un scénario minimaliste avec pas mal de lourdeurs. 2,75
Antoine Fuqua s’était un peu égaré avec The Guilty et Infinite, il revient donc aux fondamentaux et à ce qu’il fait le mieux, le bon action movie. Et ce 3ème opus de Equalizer remplit encore parfaitement son cahier des charges. On prend un plaisir certain à retrouver Robert McCall, sous les traits du toujours aussi charismatique Denzel Washington. Une fois encore ça dérouille le malandrin à tour de bras avec une efficacité redoutable et cette fois le nouveau prince du vigilante s’attaque tout simplement à la Camorra, puissante mafia italienne.
Les scènes d’action sont toujours parfaitement calibrées mais un peu moins présentes qu’à l’accoutumée puisque Fuqua va beaucoup s’attarder ici sur la psychologie de son personnage, jusqu’ici survolée. Ça change et ce n’est pas désagréable, tout comme les magnifiques paysages de la côte amalfitaine et la musique entêtante.
C’est assez amusant au final de voir comme les trois épisodes sont différents sur le fond, en façade c’est assez régressif et jouissif mais chacun des opus a quelque chose à raconter, ce qui fait de cette saga une belle réussite dans un univers finalement assez surchargé. En tout cas ce 3ème opus est encore une fois réussi malgré quelques légères baisses de régime. Un vrai plaisir.
L'action débute plus tôt que le précédent volet et, contrairement à lui, la volonté de se poser - en fait, carrément de s'intégrer -du héros m'a semblé plus naturelle, parce que sans doute mieux introduite. L'intrigue est également plus travaillée, quant au rythme et au jeu d'acteur, il est aussi bon. Une réussite de plus pour Antoine Fuqua et son acteur fétiche.
Créer un personnage récurrent, surtout s'il défend les opprimés, permet de fidéliser le spectateur. Dès la scène d'ouverture, on est plongé dans la violence, notre héros ne fait pas dans la dentelle! Un film d'action efficace, bien réalisé mais mené sans surprise. A noter que, presque 20 ans après Man on fire, le solide D. Washington retrouve D. Fanning et, les paysages de ce coin de Sicile sont superbes.