Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Le paradoxe de ces langues sinon mortes, du moins qui “s’éteignent”, tient à la capacité agissante de leurs fragments remémorés, porteurs de lambeaux d’enfance – d’où des attaques de séquences dans lesquelles chacune des personnes filmées, de dos près d’une fenêtre, laisse remonter à la surface quelques mots, en une furtive anamnèse.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une plongée culturelle stimulante et élégiaque au coeur de notre humanité.
Positif
par Eithne O’Neill
Ce film bijou reprend l’élégant dispositif de "Yiddish" (2019).
L'Obs
par François Forestier
Ces récits sont bouleversants, et ce bref film nous fait plonger dans une histoire millénaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
Dans ce bout à bout (...) chaque témoignage interroge avec précision la relation qu'on peut entretenir avec ce qu'on appelle communément la langue maternelle.
Télérama
par Cécile Marchand Ménard
Autrefois directrice de la photographie, notamment auprès d’Agnès Varda, Nurith Aviv opte ici pour une mise en scène sobre, déjà éprouvée dans son moyen métrage D’une langue à l’autre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Thomas Baurez
Le dispositif qui voit s’enchaîner face caméra les six intervenants a le mérite de la simplicité même s’il rend l’ensemble un tantinet monotone. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si le sujet peut intéresser quelques initiés à la complexité linguistique et à l’empreinte de langue maternelle dans nos histoires de vie, le ton très didactique déroute le spectateur plus qu’il ne convainc.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
Le paradoxe de ces langues sinon mortes, du moins qui “s’éteignent”, tient à la capacité agissante de leurs fragments remémorés, porteurs de lambeaux d’enfance – d’où des attaques de séquences dans lesquelles chacune des personnes filmées, de dos près d’une fenêtre, laisse remonter à la surface quelques mots, en une furtive anamnèse.
Les Fiches du Cinéma
Une plongée culturelle stimulante et élégiaque au coeur de notre humanité.
Positif
Ce film bijou reprend l’élégant dispositif de "Yiddish" (2019).
L'Obs
Ces récits sont bouleversants, et ce bref film nous fait plonger dans une histoire millénaire.
Le Monde
Dans ce bout à bout (...) chaque témoignage interroge avec précision la relation qu'on peut entretenir avec ce qu'on appelle communément la langue maternelle.
Télérama
Autrefois directrice de la photographie, notamment auprès d’Agnès Varda, Nurith Aviv opte ici pour une mise en scène sobre, déjà éprouvée dans son moyen métrage D’une langue à l’autre.
Première
Le dispositif qui voit s’enchaîner face caméra les six intervenants a le mérite de la simplicité même s’il rend l’ensemble un tantinet monotone. Dommage.
aVoir-aLire.com
Si le sujet peut intéresser quelques initiés à la complexité linguistique et à l’empreinte de langue maternelle dans nos histoires de vie, le ton très didactique déroute le spectateur plus qu’il ne convainc.