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    Dogman
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    695 critiques spectateurs

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    Sandra S
    Sandra S

    23 abonnés 101 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 janvier 2024
    Bouleversant. Luc Besson signe sa consécration avec ce film poignant que je qualifierai de chef d'œuvre.
    L'incroyable interprétation de l'acteur principal mérite un Oscar.
    C'est poétique, magnifique et plein d'amour...
    Dans les ténèbres, la lumière jaillit.
    Juste masterclass. ☀️☀️☀️☀️☀️
    Benedicte R.
    Benedicte R.

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 octobre 2023
    Un film incroyable ! Très prenant, l'acteur est extraordinaire, le rôle des chiens incroyable !!A voir
    Une magnifique interprétation. On ne ressort pas indemne.
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    232 abonnés 1 013 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 octobre 2023
    Douglas vit entouré de ses chiens, ses plus fidèles amis. Confronté aux drames depuis son enfance, ses chiens, le protègent face aux épreuves de la vie. L’histoire est plutôt haletante et touchante même si parfois un peu surfait. Mais comment ne pas avoir à l’esprit, le nom du réalisateur de ce film. Comment ne pas faire de parallèle entre cet homme, seul, qui utilise sa meute pour se défendre et le réalisateur ? Comment accepter d’entendre sans sourciller « non, rien de rien, non je ne regrette rien » en conclusion du film ? Alors, provocation ?
    Ciné-13
    Ciné-13

    124 abonnés 1 085 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 janvier 2024
    LANDRY est exceptionnel dans ce rôle de fracassé de la vie. Et BESSON ne lésinera pas pour créer de l'émotion avec du spectaculaire, ce qui est sa marque de fabrique.
    Ok, le comportement de cette meute de chiens n'est pas vraisemblable, mais c'est au service d'une sacrée histoire et on lui pardonnera! Belle habileté à nous dévoiler pas à pas une personnalité, par l'usage d'un entretien en prison avec flashbacks...
    La BO originale et sobre de SERRA alterne avec des morceaux mythiques (DIETRICH, PIAF, ZZTOP, EUYTHMICS, TRENET, MILES DAVIS). La fin est un peu too much, avec une approche christique surprenante et un peu décevante...
    WilliamV du Nord
    WilliamV du Nord

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 octobre 2023
    Magnifique ! La photographie est splendide, l'acteur principal est un génie...on voit parfaitement le travail qu'il a accompli pendant ces longs mois de préparation et de tournage...autant avec Valérian j'étais très déçu du casting autant la il s'est bien rattrapé avec le choix de cet acteur ...
    Barul Andrea
    Barul Andrea

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 octobre 2023
    C’est un chef d’œuvre, j’ai adoré du début à la fin. Que dire à part « WAOUW » bluffé jusque là toute fin.
    ffred
    ffred

    1 729 abonnés 4 021 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 octobre 2023
    Après quelques beaux ratages et une petite absence de quatre ans (Anna, imbuvable) revoilà Luc Besson. Mais c’est surtout Caleb Landry Jones (je le suis depuis Antiviral en 2012) qui m’a attiré vers ce nouveau film. Les mauvaises langues diront que c’est lui qui sauvent l'ensemble. En tout cas, comme je l’attendais, il nous gratifie une fois de plus d’une prestation époustouflante (parfois à la limite d’en faire trop ?). En tout cas après Nitram et son prix d’interprétation à Cannes en 2021, il s’impose définitivement. A côté de cela, la mise en scène de Besson est toujours là avec ses gros sabots manquant toujours de subtilité, cela ne changera sans doute jamais. Son scénario est à la fois puéril et très violent, mais aussi drôle, touchant et poignant. De belles scènes, d’autres plus poétiques, d’autres plus limites. Un peu trop de symboles christiques et d’Édith Piaf à mon goût mais bon. Et ne cherchez pas une once de réalisme dans tout cela. Paradoxalement, j’ai adhéré totalement. Le tout est mené tambour battant, je ne me suis pas ennuyé une seule seconde. Drame, fable, mélo, action, et tout de même un peu de fantastique, on trouve un peu de tout, il est vrai, dans Dogman. Mais voilà un film sombre et captivant avec un personnage, et ses fêlures, presque fascinant. Pas un chef d’œuvre, pas le meilleur opus de son auteur mais sans doute aussi pour tous ses défauts que j’ai beaucoup aimé.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 388 abonnés 4 208 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 octobre 2023
    C’est en lisant un article sur une famille qui avait jeté son enfant de 5 ans dans une cage que Luc Besson a eu l'idée de "DogMan". Meurtri par son enfance, le personnage joué par Caleb Landry Jones a trouvé son salut grâce à l'amour que lui portent ses chiens. Si nous aurions aimé davantage de burlesque dans cette fable travestie, Besson a préféré la noirceur pour exprimer la personnalité complexe d'un protagoniste fascinant. C'est son choix et "DogMan" est alors un thriller très sombre, voire violent, mais étrangement poétique et nostalgique.
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    536 abonnés 953 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 mars 2024
    Il y a un réflexe naturel à imaginer ce que serait un film si telle direction avait été empruntée, si tel passage imprévu avait bouleversé la perception sur son entièreté, ou occasionnellement si le long-métrage était sorti avec dix ou vingt ans d'avance. Bien, par bien, la question n'est là puisqu'il s'agit presque d'un automatisme pour un spectateur. Dogman m'a poussé à me poser les trois questions susmentionnées en cours de visionnage et évidemment après son générique final. En arriver là, c'est admettre que Luc Besson ne sait plus quoi raconter.

    Les bandes-annonces et la promotion faisaient penser au récent Joker de Todd Phillips. Régulièrement attaqué pour pour son écriture défectueuse voire même délictueuse, Besson évite cette fois de répliquer le film de Phillips tout en y repiquant certaines idées pour les mettre à sa sauce. Dont acte. Il s'agit d'un énième personnage d'inadapté en décalage avec son environnement, avec les autres. Figure sacrifiée et sacrificielle par excellence, héros ambigu et incompris, voué à un carnage pour exister au yeux de tous,...Oui, le scénariste a déjà filmé ça une fois, deux fois, trois fois voire plus. Et en mieux. On admettra que l'homme n'a jamais été subtil à la plume ou derrière une caméra, ni hier ni jamais. Pour peu que l'émotion soit de la partie, les quelques fautes sont atténuées sinon pardonnées. Le Besson du jour est hélas bien mal inspiré malgré la très bonne prestation de Caleb Landry Jones. Non seulement il radote, mais il le fait mal.

    Dans le registre d'un conte, on aurait pu accepter le concept de cette créature dans le "folklore" et s'accommoder d'une narration dépouillée, quand bien même cela signifie reléguer la plupart des personnages à des fonctions et rien de plus. Encore faut-il l'habiter un minimum. Or, Dogman souffre de sa narration bancale, ponctuée d'ellipses et de facilités, et de protagonistes délestés de la moindre consistance (le géniteur aux gros yeux, le frangin dégénéré, le mafieux bling-bling, l'agent d'assurance soudainement perfide). Pire, aucun d'eux n'a le moindre impact sur l’intrigue. Untel apparait puis disparait, un autre arrive puis repart et ainsi de suite. Même l'escapade par le monde du spectacle - réussie, celle-là - ne débouche nulle part. Pour vous dire, quand le climax arrive, il vous faudra peut-être creuser votre mémoire pour comprendre ce qui se passe et pourquoi. Vous n'y êtes pour rien, ça fait juste une heure que ce segment là a été abandonné sur le bas côté. Du reste, il s'agit d'une redite franchement mollassonne et bête de Léon. On aurait pu en rire, le film faisait d'ailleurs mine de lorgner (tardivement) dans ce délire régressif en imaginant les possibilités d'un homme "connecté" à nos braves toutous. Peine perdue, on reste très en surface.

    Récapitulons, le Joker bis chez 30 millions d'amis c'est pas vraiment ça. Lassie version Besson, pas tout à fait non plus. Admettons qu'on se livre à l'analyse, même en tant qu'autoportrait caché, ce serait tout de même assez embarrassant. Puisqu'en lieu et place d'un artiste rejeté tel qu'il se présente, Dogman témoigne au contraire de la tromperie de cette posture victimaire. En particulier de la part d'un réalisateur qui - outre les diverses accusations et controverses dont il fait l'objet - tourne en rond et à vide depuis plusieurs décennies.
    Ricco92
    Ricco92

    231 abonnés 2 156 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 octobre 2023
    Certains artistes ne sont jamais aussi bons que lorsqu'ils sont au pied du mur (on pense notamment à Sylvester Stallone). Luc Besson doit être de ceux-là. En effet, à force d'accumuler les succès dans les années 80 et 90, le cinéaste semblait troquer l'artistique contre le commercial notamment dans ses productions qui pouvaient céder à la fainéantise et aux répétitions de formules. On pouvait donc le penser fini et pourtant Dogman se révèle être un de ses meilleurs films.
    En effet, le cinéaste semble vouloir renouveler son cinéma en allant vers une plus petite production avec un sujet moins commercial et en changeant même un peu sa manière de filmer (son habitude de centrer les personnages dans le cadre est nettement moins présente amenant une plus grande variété de cadre).
    Si on pourra toujours lui reprocher certains aspects peu réalistes spoiler: (l'obéissance aveugle des chiens à Douglas)
    alliées à une vision assez naïve, voire enfantine, du monde, des méchants caricaturaux spoiler: (notamment le père et le frère de Douglas)
    et, comme d'habitude, des aspects scénaristiques problématiques spoiler: (la scène d'action finale qui semble être là essentiellement pour livrer son lot de séquences à grand spectacle)
    , on est surpris de la noirceur de l'ensemble, de la vision sombre de l'humanité qui est présentée et par l'originalité de son personnage principal spoiler: (un travesti reclus avec des chiens qui lui obéissent au doigt et à l’œil qui peut faire penser au Pingouin de Batman, le défi)
    .
    Ce dernier permet à Caleb Landry Jones d'offrir une prestation impressionnante. Son interprétation d'un individu très atypique est un des principaux éléments de la réussite d'un film qui aurait facilement pu devenir ridicule.
    En outre, on peut également être surpris par le fait que la bande-originale d'Éric Serra est, à l'image du reste du film, plus discrète qu'habituellement : on retiendra ainsi surtout les utilisations de grands classiques de la chanson (essentiellement française avec des standards d'Édith Piaf ou de Charles Trenet).
    Malgré ses défauts, Dogman est donc une très bonne surprise qui peut redonner espoir dans un Luc Besson qui semble avoir changé son rapport au cinéma pour enfin reprivilégier l'artistique plutôt que le commercial.
    CH1218
    CH1218

    207 abonnés 2 904 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 juin 2024
    Sombre, attachant et bien mis en scène, le meilleur film de Luc Besson depuis des lustres. Mon enthousiasme à l’encontre de « Dogman » se porte avant tout sur son acteur principal : Caleb Landry Jones. On peut pinailler sur le scénario et sa crédibilité mais pas sur son interprétation. Elle est tout bonnement éblouissante.
    Citrouilleman
    Citrouilleman

    78 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 octobre 2023
    Luc Besson revient avec un film prenant, émouvant particulièrement bien réussi. A noter la prestation magistrale de Caleb Landry Jones.
    MediaShow
    MediaShow

    146 abonnés 541 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 octobre 2023
    Avec Dogman, Luc Besson signe très certainement son meilleur film depuis le Cinquième Elément sorti en 1997. Un thriller dramatique très personnel, marquant et surtout très bien écrit. Ajoutons à cela une mise en scène fabuleuse et immersive, ainsi qu’une excellente interprétation de Caleb Landry Jones. L’un des meilleurs films de cette année 2023 !

    Mon avis sans spoilers : https://mediashowbydk.com/2023/10/04/critique-film-dogman/
    Fiers R.
    Fiers R.

    111 abonnés 445 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 octobre 2023
    Après vingt ans d’errance d’où surnagent quelques œuvres tout juste correctes (allez au hasard « Adèle Blanc-sec »), l’un de nos cinéastes les plus prometteurs dans les années 90 et aussi l’un des plus connus à l’international revient enfin avec un film réussi et qui lui ressemble. « Dogman » cristallise en effet ce que le cinéaste sait faire de mieux : le portrait d’une âme abîmée par la vie qui va se retrouver dans des circonstances extraordinaires comme il avait pu le faire avec les illustres et cultes « Nikita » et surtout « Léon ». Car, depuis le carton gigantesque critique et public de « Le Cinquième élément » il y a vingt-cinq ans, Besson s’est fourvoyé dans des blockbusters hollywoodiens sans saveur comme « Lucy » et le plébiscite public qu’on lui connaît ou des projets pharaonesques pas toujours recommandables tels que la saga pour enfants des Minimoys ou le crash « Valerian et la cité des 1000 planètes ». Mais il aussi beaucoup produit, des séries B d’action (les « Taken ») voire des séries Z ridicules (« La Malédiction d’Arthur »). Le cinéaste et producteur était donc plutôt devenu synonyme d’argent (en gain mais aussi en perte) que de projets qualitatifs. En revenant par la petite porte (15 M$ de budget quand même) avec « Dogman », il retourne donc à l’essentiel de son cinéma et de ce qu’il sait faire de mieux avec un film humble, rare et dont il a le secret.

    Alors bien sûr on ne retrouve clairement pas la magnificence de ses deux œuvres phares citées plus haut, ni celle de « Le grand bleu », qui reste un indémodable pour beaucoup, mais ce « Dogman » a du cœur, de l’esprit et un petit quelque chose que beaucoup de productions actuelles et faites pour le grand public n’ont pas : un sujet original et un personnage principal avec une vraie histoire. Il faudra donc passer sur le côté improbable de certaines scènes (notamment toutes celles avec les chiens qui lui obéissent au doigt et à l’œil) et au côté misérabiliste un peu excessif de ce que vit le personnage principal qui semble devoir subir tous les maux du monde. C’en est même presque parfois un peu trop manichéen, jusque dans cette vision tranchée et binaire entre le Bien et le Mal ou les riches et les pauvres. Mais c’est un peu le côté naïf du cinéma de Besson qu’on aime qui revient ici et cela fait du bien. Alors on prend ce nouveau film comme un conte moderne et ça passe. Un conte bien réalisé, captivant et dont on ne sait jamais là où il va nous emmener. Et il y en a des moments sublimes et des fulgurances dans ce film...

    À commencer par ces deux séquences emballées par les musiques d’Edith Piaf, à l’ampleur mélodramatique et visuelle incroyable. Le final d’abord, beau à se damner, presque onirique, et surtout cette incroyable interprétation en mode travesti dans un cabaret drag de l’illustre « La Foule » par le protagoniste principal. Des instants de grâce, hypnotiques, magnifiés par l’extraordinaire composition de Caleb Landry Jones, récipiendaire du prix d’interprétation masculine à Cannes l’an passé pour « Nitram ». Il n’y a pas à dire, sa composition de cet être détruit par tout ce que peut offrir la vie et qui trouve réconfort auprès des chiens est dantesque et se passe de mots. On suit donc, à travers une classique structure en flashbacks racontée à une psychiatre sociale empathique, son parcours constitué de drames familiaux, de déception amoureuse et de trafics pour survivre. « Dogman » ne souffre d’aucune baisse de rythme, peut compter sur le sens de la mise en scène toujours aiguisé de Besson avec ses forces et quelques faiblesses et un récit surprenant du début à la fin. Pas le film du siècle certes, pas plus que le meilleur de son auteur, mais un beau long-métrage à la fois divertissant, prenant, imprévisible et émouvant.

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    Roger D
    Roger D

    80 abonnés 896 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 octobre 2023
    Un film de Luc Besson reste toujours un petit évènement même si les enchaînements d'échecs cuisant plus les soucis de justice peuvent un peu freiner cette enthousiasme. Donc nous voici lancé dans cette histoire triste de cette homme à part qui à vécu l'enfer enfant et qui, grâce à l'amour de chiens, dont il s'occupe, va devenir un protecteur des petits gens. Il ne faut pas s'attendre à quasi deux heures de fusillade , la bande annonce est un peu trompeuse. On part sur son histoire puis on vient petit à petit sur le final mode "action". Raconté grâce à la rencontre de Douglas et Evelyn une psy venu l'analysé pour savoir quoi en faire. C'est bien fait, le personnage est attachant et on a envie qu'il s'en sorte avec tout ce qu'il a vécu. Oui la performance de Caleb Landry Jones est à noté avec mention spécial quand il "chante" du Piaf, on voit bien sur ses lèvres qu'il "chante" (met des guillemets car il fait semblant) en français avec tout ce que comporte dans la prononciation de Mme Piaf!!! Chapeau!! S'il fallait un bémol je dirais que le mec cumul les ennuis mais dans les grandes largeurs mais bon cela amène au final donc fallait sûrement bien cela.
    NOTE : 8/10
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