aux début j'ai t'ai pas chaud pour voir le film je suis allé le il y a vai luc besson lui-même qui fesai la promo de sont film dans le cinéma de ma commune
aux finale le film superbe attention le film très dur sur un plan spicologique quand pensez inpire de fait réel sa fait mal aux cœur une telle histoire
le film manefique je recommande mais les personnes sensibles faire etension sa peut les retourner
Retour en beauté de Luc Besson, avec Caleb Landry Jones qui est splendide dans un rôle singulier et original qu'il honore. Un équilibre parfait entre une tragédie et l'histoire d'un super (anti) héros, intrigante du début à la fin. Une œuvre juste avec des messages forts.
Une pâle copie du Joker de Todd Phillips, qui était lui-même une pâle copie de Scorcese. Au delà de la polémique, il faut se rendre à l'évidence. Le film est extrêmement mauvais : mal écrit, mal réalisé... Et la belle performance de Caleb Landry Jones ne vient pas sauver ce naufrage audio-visuel
Avec ce film, Luc Besson signe un retour digne de ce nom ! L'histoire est poignante, la mise en scène est réussie, les chiens sont parfaitement gérés et enfin Caleb Landry Jones incarne son rôle à la perfection ! Mention spéciale pour la sublime musique d'Éric Serra !
Le film le plus nul que j'ai vu. L'histoire est triste mais n'est pas du tout prenante. On a l'impression de regarder 4 films à la fois, les musiques ne suivent pas et les dialogues sont pitoyables... C'est sincèrement nul
On retrouve dans DogMan l'univers de Besson, la musique d'Eric Serra, les décors glauques magnifiant l'histoire d'un laissé pour compte, l'alternance de scènes émouvantes et de scènes époustouflantes. L'acteur est monstrueusement talentueux et porte le film sur ses épaules. J'en suis ressortie scotchée, même si j'ai déploré quelques longueurs et dialogues quelquefois à la limite de la mièvrerie. Peut-être vaut-il mieux voir la version en V.O ? En tout cas, à voir impérativement si l'on a aimé Léon, Nikita... tous ces personnages à la marge qui ont inspiré Besson et sont entrés dans sa légende.
Besson nous livre un film d'une originalité singulière. Dogman par le biais du protagoniste Douglas nous plonge dans les paradoxes de l'existence ancrés en chaque individu. Douglas est un adulte meurtri par les stigmates de l'enfance. S'ouvre pour lui une lutte intestine permanente dans une société qui le marginalise malgré son souhait d'intégration. Le personnage va expurger le mal être qui le ronge via son élevage canin, véritable arme par destination. Son libre arbitre s'exprime par son talent artistique mais aussi par son besoin de vengeance envers les êtres humains éloignés du chemin de la rédemption. L'artiste qui vit en Douglas est l'archétype du personnage shakespearien qui l'a fasciné dès son plus jeune âge. Ce goût pour l'art et son imagination débordante paraissent antinomiques de son coté justicier méticuleux et psychorigide à la limite de la perversion. Besson nous transporte dans les mystères de l'épigénétique par la voie d'une étude anthropologique du personnage dont la violence atteint son paroxysme. L'acteur principal, Caleb Landry Jones, maîtrise son sujet à la perfection et nous rappelle un certain Joaquin Phoenix pour son interprétation magistrale dans le film Joker. Encore une fois Besson avec son compagnon de route Eric Serra va se surpasser dans ce thriller psychologique en bousculant les codes des salles obscures.
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Film remarquable. Je reconnais la patte de Luc Besson et ce film marque. Il y avait des gens avec les larmes aux yeux. Ce film est juste magnifique Je peux comprendre qu'on n'aime pas à cause du côté un peu trash mais quel film, quels plans, quelle image, quelle performance Allez voir ce film c'est un must
BESSON IS BACK!!! Un très bon film qui change un peu du style Besson: on y retrouve de l'action mais elle y est secondaire, le personnage principal est bien développé et surtout, Il est joué par un acteur EXTRAORDINAIRE. Une belle surprise pleine d'émotions, une belle histoire. La bande originale d'Éric Serra comme toujours impeccable.
Matteo Garrone peut-être rassuré, le seul film digne de ce nom portant le titre de Dogman est bien le sien. Que Besson ait eu l'intention de revenir à ses propres fondamentaux a tout de l'évidence, au vu de la personnalité de son héros : humiliation, solitude, rage, entre autres ingrédients pour accéder à la marginalisation et à la violence, son cocktail préférentiel est connu. Mais dans un film qui s'adresse davantage aux cynophiles qu'aux cinéphiles, et encore, ses limites sont criantes et les emprunts à d'autres long-métrages trop voyantes. Alors, hormis dans les instants les plus apaisés et confidentiels, où l'on apprécie les qualités de jeu de Caleb Landry Jones,spoiler: Dogman oscille entre scènes misérabilistes (les débuts façon Cosette) et grotesques (Édith Piaf en fait les frais), avec une utilisation de nos amis à quatre pattes qui dépasse de loin l'anthropomorphisme de Disney. En tous cas, il n'est plus question de réalisme mais pas non plus de fantastique comme avait pu le faire Kornél Mundruczó dans l'exceptionnel White God. Faut-il pour autant jeter le film aux chiens ? Le fait que Besson retombe dans ses travers habituels ne donne vraiment pas envie de lui donner des circonstances atténuantes. Et ce n'est pas le dénouement du film, assez ridicule, qui incite à changer d'avis.