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Regine C.C
40 abonnés
226 critiques
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4,0
Publiée le 1 octobre 2023
The master has come back. Un film fascinant par son originalité et la complexité de sa réalisation car certainement on pourrait attribuer un Oscar aux animaux autant qu'à l'acteur. Il ne joue pas dogman, il est dogman. Un film qui sans aucun doute va redorer le blason de Luc Besson.
Luc Besson a perdu sa créativité depuis bien longtemps... Mais où est passé le Besson des années 90 qui nous faisait rêver avec des films comme Nikita, Leon, Le Grand Bleu et même le cinquième élément. Dogman encore un film avec le theme des chiens, avant on avait déjà eu droit à Danny the dog...film Europacop donc Besson. Anna est déjà un sous Nikita... M. BESSON par pitié faites preuve d'originalité et sortez vous vos anciens films de la tête avant d'écrire un scénario ou les films des autres.
Ce film est la nouvelle cuvée de Besson. Si vous aimez cette réinterpretation maladroite de "Joker", je paie ma tournée. On se demande vraiment pourquoi rien ne fonctionne, car photo et interprétation sont corrects.
Besson is back et quel bonheur Vu hier soir et encore saisie émotionnellement par ce film qui renoue avec Nikita Léon et d'autres sans oublier la présence de Éric Serra C'est coloré émouvant efficace avec un acteur principal renversant de talent A voir !
Suite à ma lecture de la critique dans libė , ce film ne faisait pas partie de mes priorités, Les horaires de séances aidants j'ai vu ce film , du grand Besson, Caleb Landry Jones , et sa horde canine nous font passer un grand moment d'émotion , du coup je pense zapper La critique 7 ème art de libé pour quelques temps !
Fulgurant d'ennui! Besson réalise là un film pour enfants et se prend pour Dickens. Mais un Dickens en roman photo! Je ne comprend pas l'intérêt de cette narration en flash-back qui ruine l'empathie, je ne comprend pas l'intérêt des minauderies de ce personnage qui nous raconte sa vie au passé simple au lieu de nous la montrer et de nous la faire vivre dans l'ordre chronologique (je n'ai rien contre le passé simple, à priori mais ça fait roman photo!). Je ne comprends pas pourquoi tout à l'air si bâclé, et si "à la manière de" (pas moyen de s'enlever l'image du Joker de la tête!), au point que même si on a envie d'y croire, on ne peut que s'en moquer. Je ne comprend pas comment, au bout de 45 minutes, j'avais l'impression que le film n'était pas commencé, et enfin je ne comprends pas que Besson n'ait même pas l'élégance de respecter son public en soignant au moins les scènes d'action. C'eût été le minimum dans un film de ce genre. Je donne un exemple:spoiler: quelqu'un peut-il m'expliquer pourquoi l'enfant fait un bond de trois mètres en arrière quand il reçoit un coup de feu sensé lui arracher juste un doigt et, par ricochet, lui péter la colonne vertébrale, (c'est à dire en venant de derrière lui)? ça n'a pas d'autre logique que celle de produire un "effet"… C'est donc un truc de vieux réalisateur de pubs, nul et navrant.
"Dogman" - Le Film Qui Fait Danser Les Chiens de l'Âme
Alors, si vous pensiez que Luc Besson avait perdu la main après les aventures paresseuses d'Arthur et ses potes minimoys, détrompez-vous, mes amis ! Le gars revient plus fort que Chuck Norris avec un script qui vous attrape par les attributs comme si c'était un Gremlin past-midi. Après avoir digéré les navets de "Valérian" et "Anna" qui nous ont laissés plus froids que le désert de Hoth, Besson sort sa trousse à outils et offre un thriller psychologique qui déboîte plus de mâchoires que les coups de poing de Bruce Lee.
Le pitch ? Un gosse malmené par la vie trouve son havre de paix grâce à la meute canine. Ça n'a rien à voir avec la mièvrerie d'un Disney. On est plus proche du Deadpool qui chante du Céline Dion tout en décapitant des méchants. Ce film déborde de thèmes sérieux, de quoi vous donner plus de matière à réfléchir qu'une énigme de l'Énigmatique Monsieur Corpulent (pour les geeks érudits seulement). C'est de la violence intrafamiliale, de la lutte pour survivre, des inégalités économiques, et de la cause animale qui se mélangent comme un cocktail Molotov prêt à tout faire péter.
Caleb Landry Jones, ce mec est comme la trilogie originale de Star Wars : il vous cloue sur place. Son jeu est plus convaincant que Keanu Reeves dans un vestiaire de Bullet-Time. Après un petit rôle dans "X-Men: Le Commencement," il se faufile ici dans nos âmes comme un ninja de Naruto. Vous allez kiffer chacune de ses expressions faciales, et vous risquez de devenir fanboy comme un gosse avec un nouvel action figure de Spider-Man.
Luc Besson sort le grand jeu visuel comme un cosplayer avec une nouvelle armure Iron Man. Les décors et les couleurs sont aussi séduisants que Poison Ivy en pleine crise de printemps. Et la bande-son ? Elle est plus sexy que Lara Croft escaladant une falaise. Besson sait jouer avec nos émotions, comme un joueur de D&D manipulant les dés. Les répliques sont comme des boules de cristal, elles vous feront réfléchir comme si vous aviez subi un Imperius Charm.
Bien sûr, il y a quelques bizarreries dans ce film. Parfois, on se demande si Besson a fumé un truc plus fort que les champignons de Mario. Mais au final, c'est le titre "Dogman" qui prend tout son sens : c'est un film qui vous mord comme un chien affamé. Et même si on aurait aimé plus de toutous à l'écran, ça n'aurait probablement pas changé grand-chose à la qualité du film. On ne regarde pas "Die Hard" pour les tartines, après tout.
Alors, "Dogman" pourrait bien vous rappeler "Joker," mais ça ne veut pas dire qu'ils sont jumeaux siamois. Ce film, c'est comme si Batman se lançait dans la danse du canard avec le Pingouin. C'est glaçant, marquant, et une surprise plus grande que l'annonce de Half-Life 3. Si vous cherchez un film qui vous fera rire, pleurer, et vous interroger sur la vie comme un philosophe de salon après quelques bières, "Dogman" est fait pour vous. C'est du cinéma qui secoue les puces et qui vous laissera sur le carreau comme un power-up en fin de partie. En un mot : FANTASTIQUE !
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Excellent film. La prestation de l'acteur principal est époustouflante et tout fonctionne superbement bien. Un très bon cru qui mérite chaque centime payé pour sa place
Je ne comprends absolument pas certaines critiques positives lues. Le film est complètement raté. Sa narration chronologique entre 2 conversations est datée, ses personnages archi caricaturaux, les situations souvent gênantes (interprétation de Piaf, l'assureur). Besson pompe à droite, à gauche sans aucune gêne (même dans ses propres productions comme Danny the Dog). Le Joker n'est pas ici une source d'inspiration mais un véritable plagiat. Landry Jones est bon mais il nois fait du Joaquin Phoenix à chaque instant. Même la bande originale est copiée. De plus, on ne sait pas à qui s'adresse ce film : un moment il est archi violent, et l'autre neuneu avec sa bande de chien qui commet des larcins tel un nanard des années 80. Je n'ai quasiment ressenti aucune émotion devant ce personnage rejeté censé nous attendrir. Un des pires Besson vraiment.
Nul. Tout est ridicule et mal écrit. La tentative de plagiat du Joker de Philips ou de l'inspiration de Scorsese n'est même pas réussie a par peut être sur quelques aspects de la photographie. On s'ennuie très vite et on rit parfois tellement c'est mauvais sans avoir le plaisir d'une série Z assumée. La bande annonce avait l'air intéressante... Limitez vous a la bande annonce et allez voir un autre film.
Je suis sorti de la salle bouleversé, avec l'envie de revoir ce film une deuxième fois.
Je ne comprends vraiment pas ceux qui affirment qu'il n'y a aucune intrigue. Il s'agit ni plus ni moins de raconter l'histoire d'une personnalité qui se construit au contact de la cruauté, des souffrances surmontées, de l'amour voire de la foi (j'ai particulièrement aimé cette dernière dimension explorée autant de manière critique que d'une façon "ouverte"). Je n'ai pas vu le temps passer, tant on est traversé par toute une palette d'émotions durant le film (la révolte, la peur, la joie, la compassion, bref tout...), en plus d'être vraiment ébloui par l'interprétation magistrale de Caleb Landry Jones qui porte brillamment le film sur ses épaules ( spoiler: le passage durant lequel il incarne Edith Piaf m'a fait verser une larme )
Une vraie pépite que je vous conseille vivement d'aller voir.
Ça fait bien longtemps que je trouve les films de Besson très mauvais (on avait atteint le summum de la nullité avec « Lucy »), mais encouragée par la moyenne spectateur à 4 étoiles sur 5, et la présence de Caleb Landry Jones, j’ai décidé de lancer la lecture de « Dogman ».
Il m’a fallu moins de dix minutes pour comprendre que je n’aimerais pas non plus ce nouveau film, mais j’ai souhaité le regarder en entier parce que j’adore les animaux (si si, c’est une raison valable). Bon et aussi, j’étais quand même curieuse de voir jusqu’où ça pouvait s’enfoncer. En se sens, j’ai été plutôt agréablement surprise par le deuxième tiers du film et le passage de ce Messie/Joker dans un club transformiste. Ce fut la seule séquence vraiment digne d’être visionnée. (Et celle qui augmente ma note générale…)
Pour le reste, c’est d’une rare mièvrerie et il faut bien reconnaître qu’on n’avait plus vu un monde où les personnages sont si binaires, depuis fort longtemps. Ici, on est soit un très méchant soit un très gentil. Et si l’on est gentil, il y a fort à parier qu’on soit en grande souffrance à cause d’un méchant. Voilà pour la psychologie des personnages.
Le plagiat raté provenant du « Joker » de Todd Philips est si peu dissimulé (certains accords de la BO de celui-ci n’ont même pas été modifiés, Eric Serra non plus n’a honte de rien) que c’en devient malaisant.
La figure du martyr christique doté de pouvoirs magiques (donc à ranger dans la catégorie « fantastique », ce n’est pas un drame, c’est un film fantastique puisque les animaux ont beau être aussi « intelligents » que nous, ils ne sont simplement pas faits pour comprendre la grammaire grand bien leur fasse), non vraiment ça ne passe plus.
Un très beau conte plein de sensibilité et de moments de charme. Une fois de plus, un film unique et rare, comme toujours avec Luc BESSON, parfaitement filmé et joué. Et ces moments musicaux vraiment sublimes !
C'est un film que l'on va adorer ou détester. Perso j'ai adoré. Le film est audacieux, culotté, un mélange d'action et de poésie. Luc Besson est un très grand réalisateur qui se réinvente chaque fois avec brio. Chapeau bas. Son acteur principal Caleb Landry Jones est juste époustouflant, quel que soit son travestissement. Ses scènes avec Jojo T. Gibbs sont d'une grande intensité. La dernière scène, du film, très belle, ne s'oublie pas. Ce film est peut être un OVNI, mais ce qui est sur, c'est du grand cinéma
L’incroyable histoire d’un enfant, meurtri par la vie, qui trouvera son salut grâce à l’amour que lui procurent ses chiens…
4 ans après le ridicule Anna (2019) sa courte traversée du désert liée à ses démêlés judiciaires, Luc Besson est de retour avec un drame psychologique où un enfant martyr se lie d’amitié avec une horde de chiens.
Basé quasi exclusivement sur des flashbacks, le film revient sur l’enfance désastreuse du jeune garçon qui, à défaut d’amour au sein de sa propre famille, finira par en trouver auprès des chiens. Les années passent et le jeune garçon cède sa place à un travesti inadapté en fauteuil roulant qui dresse ses chiens spoiler: pour commettre des cambriolages.
Si l’on fait abstraction du scénario qui s’avère particulièrement absurde spoiler: (une meute de chiens dressés pour voler les riches pour donner aux pauvres, un gang ultra-stéréotypé et un enfant martyr qui trouvera le salut en devenant drag-queen) , il n’y a bien que la prestation (voir, la performance) de Caleb Landry Jones qui ne m’aura pas fait regretter le déplacement.
L’ensemble se veut mièvre, tout en étant contrebalancé par des scènes de violences purement gratuites et grotesques. 120 minutes sur un travesti en fauteuil roulant qui vit en ermite avec ses clebs, le tout, achevé par une symbolique religieuse lourdingue, autant vous dire qu’il faut s’armer de patience pour supporter et digérer l’ensemble.