comme depuis quelque temps dans le cinéma c'est les même personnage qui sont méchant et les même qui sont gentil ce film est trop caricatural il ne raconte rien il est loin le cinquième élément...
Du point de vue de la narration, le scénario est une série de clichés et de rebondissements prévisibles. L'histoire est linéaire, dénuée de subtilité, et les dialogues sont plats et dépourvus de profondeur. Les tentatives de créer des twists inattendus tombent à plat, car ils sont mal exécutés et mal intégrés à l'intrigue.
La performance des acteurs est tout aussi décevante. Des acteurs talentueux semblent être enfermés dans des rôles mal écrits et mal développés.
Excellente interprétation pour Dogman, beau thriller et conte à la fois. On se laisse porter par le récit. Excellent scénario basé sur un fait divers tragique.
Un film écrit par Satan lui-même. Adieu les hommes, adieu la virilité, bonjour la nouvelle génération. Quelle piètre image de l'humanité que montre ce film.
Un plagiat du film "Joker" en plus ridicule et perturbé. Caleb Landry Jones livre une performance médiocre. De plus le rythme est mauvais, on s'ennuie beaucoup.
Très grosse déception, on ne va pas se mentir. Quand on a autant de moyens et d'expérience que Luc Besson, on se doit de faire beaucoup mieux. Depuis quelques années, il réalise des grosses productions pour plaire à la masse et on est très loin des "Léon" ou "Nikita". Ici, on baigne dans le cliché et le manque d'originalité. Ça tourne vite en rond et heureusement que l'acteur principal porte le film parce que sinon ce serait bien triste. La bande originale aussi est assez complète et il y a du rythme, ce serait mentir de dire le contraire. Mais pour tout le reste, c'est très décevant et ln frôle parfois même le ridicule. Aucun suspense, tout est téléphoné et franchement je m'attendais à bien mieux même sans demander le chef d'œuvre. Je suis sévère mais avec un réalisateur comme ça, on peut que s'attendre à mieux. À vous de voir maintenant. 9 20.
Agréablement surprise franchement woah quel prestation de l'acteur Caleb Landry Jones que je connaissais pas effectivement il joue merveilleusement bien les personnages surtout quand il a interprèté Édith Piaf j'étais scotché car je m'attendais pas à cette prestation woah woah je vous conseille fortement ce film pour moi Luc Besson à frapper un grand coup.
."Dogman" est un film efficace qui pourrait trouver un débouché commercial et permettre au réalisateur de renouer avec le succès.
Son pitch tient en deux lignes : L’incroyable histoire d’un enfant, meurtri par la vie, qui trouvera son salut grâce à l’amour que lui portent ses chiens.
Ceci dit, d'un point de vue strictement cinéphile c'est une tout autre histoire.
Luc Besson aime le cinéma, les grandes histoires, les acteurs et les actrices....le soucis c'est qu'il n'arrive pas ou plus à proposer des histoires originales.
J'ai été de la génération "Grand Bleu", puis je l'ai suivi sur "Subway" et "Nikita" avant de décrocher de sa fusée intersidérante.
Dans "Dogman" c'est simple, Besson a semé des petits cailloux qui sont autant d'indices sur sa cinéphilie.
"Old Boy" pour la violence née d'une longue séquestration, "Tenue de soirée" pour le travestissement parfois un peu ridicule en "Marylin pour routier", "La Môme" pour un hommage à Piaf probablement pour se connecter au public américain et même "l'incroyable voyage" pour les saynètes mettant en mouvement la ribambelle de chiens errants qui constituent la famille du héros.
Le choix même de l'acteur m'interroge, tant je vois Philip Seymour Hoffmann comme une copie originale, malheureusement disparu.
Donc au final je suis partagé entre vous dire que c'est un film honnête qui va au bout de son histoire et vous proposer d'aller voir un vrai film d'auteur fait sans promesse marketing ou regard sur le compteur des entrées.
Un retour en force avec un Luc besson bien différent plus mâture un scénario bien plus tissé une histoire plus réaliste et profondément touchante il reste quelque pointes à la besson un peux persistante mais juste ce qu'il faut pour ne pas sombré dans la bessonmanie des acteurs touchants une histoire poignante avec certaines periodes d'ascenseurs émotionnels tout les ingrédients sont la pour intégrer et être totalement capter le film et sans oublier un Caleb Landry Jones prodigieux qui arrive à endossé avec brio tout les costumes qui lui sont donnés et à mon avis prochainement le futur JOKER ...
Cela fait longtemps que je n'avais pas vu un film de Besson aussi "pêchu", aussi torturé aussi. C'est sans doute en partie dû à la qualité de l'interprétation de Caleb Landry Jones, mais je pense que le scénario et la mise en scène contribuent aussi grandement à la réussite de ce film.
L'histoire prend la forme d'un retour en arrière général, au sein duquel sont insérés d'autres petits flash-back. Durant les scènes d'enfance, l'anti-héros est incarné par un gamin pas très expressif. Le contraste est grand avec le personnage devenu adulte, qui fait passer tellement de choses avec si peu d'expression.
Les amateurs de film d'action seront aussi séduits... surtout par la dernière partie.
Quant aux amoureux des chiens, ils apprécieront de voir mises à l'honneur différentes races. On voit les sacs à puces sous différents angles : fragiles, tendres, drôles, menaçants... Ce sont des acteurs à part entière de l'histoire.
C'est finalement assez original, même si l'on sent l'influence d'une brochette de thrillers (le Joker bien sûr, mais pas que). Ici ou là, les spectateurs attentifs remarqueront aussi des allusions de Besson à certains de ses anciens films.
Un très bon cru, à savourer à température ambiante.
Quel film du grand Luc Besson un film bouleversant. J'ai adoré à la fin j'avais envie d'applaudir. Besson ses derniers temps ses films étaient plutôt moyen mais là on esr du niveau de Léon. L'acteur est énorme. A voir et revoir.
Une étrange transgenre est retrouvée conduisant un camion rempli de chiens, blessée. La police demande à une psychologue de l'interroger : Douglas va lui raconter son histoire, à partir de l'enfance la plus sombre possible jusqu'à sa vie partagée avec une petite centaine de chiens. Portrait d'un être blessé mais solaire. En salle le 27 septembre.
spoiler: Dogman est un portrait plein de charme d'un être humain hors du commun. L'acteur principal crève l'écran en adoptant une personnalité proche de celle du Joker tout en restant du côté de la lumière et de la bienveillance envers ses pairs, malgré les blessures qu'on lui inflige. La présence de nombreux chiens coordonnés pour les besoins du film est une vraie force qui donne à l'intrigue un cachet et une originalité. Dommage que Luc Besson ait pris le parti de couper son récit avec les entretiens redondants avec la psychologue. Ils n'apportent pas grand chose et sonnent creux philosophiquement.