Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Poulpe, chien ou un peu des deux, DogMan trouve sa place avec Léon et Nikita dans le panthéon des héros dont Luc Besson a fait des icônes de la culture populaire.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Magistralement interprété par Caleb Landry Jones (prix d'interprétation à Cannes en 2021 pour «Nitram»), cet anti-héros handicapé, élevé par les animaux tel Mowgli, est aussi terrifiant qu’attachant.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Closer
par J.B.
Cette farce cruelle à la Joker offre aussi d'hilarantes scènes d'action canines. Intense, du rire aux larmes.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Absolument fascinant, rayonnant jusque dans sa folie burlesque, Caleb Landry Jones, déjà Prix d’interprétation en 2021 à Cannes dans la peau d’un tueur entre solitude et aliénation, dans Nitram de Justin Kurzel, est admirable.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Douglas est un personnage des plus chargés et ses tenants et aboutissants ne font pas dans la nuance. Mais Luc Besson a trouvé un vrai sujet, et le développe avec dramaturgie, jusqu'au bout, ce qui n'est pas si courant. Faisant fi de tout réalisme, le réalisateur filme un conte.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Etude d’un personnage et d’un caractère complexe, la mise en scène à la cinématographie impeccable, sans trop de fioritures narratives, crée une tension constante jusqu’à un final christique.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un récit poignant, porté par la performance renversante d’intelligence et de subtilité de Caleb Landry Jones, littéralement possédé par son personnage.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Dans le rôle-titre, Caleb Landry Jones, prix d’interprétation masculine à Cannes en 2021 pour son rôle de tueur de masse dans « Nitram », sidère tant il se montre tantôt émouvant, effrayant, dérangeant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Philippe Lemoine
Si le film pèche par certains excès, il emporte le spectateur dans un monde où la violence côtoie la naïveté.
Paris Match
par Benjamin Locoge
Luc Besson signe là l’un de ses meilleurs films, revenant sans trombone ni trompette à ce qu’il sait faire de mieux : du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 2 semaines
par Yoann Jenan
Quelques moments manquent de subtilité mais ne ternissent pas une fable aussi personnelle que puissante.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Alors qu’il caractérise à gros traits les méchants de son film, menant DogMan à d’inévitables poncifs, il réussit néanmoins quelques beaux et vrais tours de force. De purs moments de cinéma, désarmants, qui, sur le papier, ne devraient pas fonctionner et qui, pourtant, finissent par emporter (...).
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Une fable excessive mais fascinante.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Pas d’humour à deux balles, pas d’effets de manche clinquants, mais un film sombre qui aborde des séquences attendues ou potentiellement grotesques avec un premier degré qui leur donne un drôle de charme funèbre.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
L'avantage avec Dogman, c'est qu'il ne laisse pas indifférent. Il est à prendre ou à laisser. On aime ou on déteste dès les premières images, qui montrent un travesti ensanglanté, déguisé en Marilyn Monroe, regard hagard, perruque blonde de travers et rimmel qui coule.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Pierre Lunn
Avec cet acteur hors-norme, Besson a trouvé un interprète à la hauteur de ses visions régressives. Le comédien accroche un nouveau rôle de weirdo à son CV déjà bien perché. Rien de pervers ni de sulfureux ici : CLJ parvient juste par son intensité à transcender son rôle de freak gentil et à pousser tous les curseurs dans le rouge. Ce qu’on appelle une vraie perf.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Luc Besson compose un singulier patchwork, entre fable gothique, film de superhéros dépressif et récit à la Dickens, mais il parvient sans mal à nous embarquer dans son univers proche de la BD.
Télé Loisirs
par Yoann Jenan
Les quelques manques de subtilité dans des scènes pivots ne ternissent pas la réussite globale du film. Une fable aussi personnelle que puissante.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Luc Besson retrouve l’inspiration avec ce thriller qui se laisse regarder sans déplaisir. Et son interprète Caleb Landry Jones s’impose définitivement dans la cour des grands.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Mélodrame, polar de série B, conte adulte, « DogMan » est tout cela à la fois, maladroit et sincère, il évoque par à-coups la quasi intégralité des réalisations de son créateur, des plus célèbres aux plus conspuées. Il porte en ce sens tous les stigmates de l’univers bessonien, dont il pourrait constituer un best-of.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par N. S.
Le film a un joker : Caleb Landry Jones. L’acteur traverse avec une grâce miraculeuse ce nanar exalté qu’accompagne une opération de réhabilitation médiatique bien rodée de saint Luc.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
S'il fallait une raison de vous jeter sur DogMan, Caleb Landry Jones en est une excellente. La seule. Sans lui, il ne resterait qu'une farce ridicule, une volonté de dénonciation gênée et gênante d'une société de la part d'un réalisateur qui remue la queue plus qu'il n'aboie.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Monde
par J. Ma.
Autant dire que le risque de la grandiloquence et du grotesque est ici assumé, alors même qu’il ressort de cette fantaisie paroxystique quelques moments d’incongruité expressionniste – Douglas surinterprétant par exemple en play-back La foule de Piaf juché stoïquement sur ses jambes en métal – qui la sauvent de sa constante propension à la surenchère.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Le réalisateur de « Nikita » revient avec un film brouillon et bruyant, que quelques belles idées de mise en scène ne parviennent pas à sauver.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Sud Ouest
par Julien Rousset
On pense souvent à Nikita ou à Léon. Mais on retrouve aussi les éternelles faiblesses de son cinéma : mise en scène emphatique, musique tonitruante, interprétation, de Caleb Landry Jones en l’occurrence, qui s’abîme dans l’outrance, et, dans le récit ou les dialogues, une candeur qui confine à la naïveté.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Marie Sauvion
Un immense fatras que la performance sincère de Caleb Landry Jones ne parvient pas à sauver.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Accordons au moins cette originalité à Dogman : nul autre que Luc Besson aurait pu imaginer un film aussi monstrueusement boursouflé, mêlant si bizarrement extrême candeur et goût du sang.
Le Figaro
par É.N.
Le scénario est bêta, d'une désarmante puérilité, filmé comme un clip des années 1980.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Le comeback de Luc Besson n’est pas synonyme de retour à un cinéma de qualité : "Dogman" s’apparente à un fourre-tout mystique où on s’ennuie ferme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Theo Ribeton
Le dernier film de l’ancien roi du box-office atteint des gouffres de bêtise et de mauvais goût qui le rendent presque fascinant malgré lui.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
Après des années de catastrophes industrielles, le cinéaste français tente un retour avec un thriller mièvre, empreint de morale larmoyante sur l’état de la société.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par François Cau
"DogMan" a l'air convaincu d'incarner un idéal de film d'auteur humain, même quand il trahit sa nature de rebond sensationnaliste sous les couches de maquillage.
20 Minutes
Poulpe, chien ou un peu des deux, DogMan trouve sa place avec Léon et Nikita dans le panthéon des héros dont Luc Besson a fait des icônes de la culture populaire.
CNews
Magistralement interprété par Caleb Landry Jones (prix d'interprétation à Cannes en 2021 pour «Nitram»), cet anti-héros handicapé, élevé par les animaux tel Mowgli, est aussi terrifiant qu’attachant.
Closer
Cette farce cruelle à la Joker offre aussi d'hilarantes scènes d'action canines. Intense, du rire aux larmes.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Absolument fascinant, rayonnant jusque dans sa folie burlesque, Caleb Landry Jones, déjà Prix d’interprétation en 2021 à Cannes dans la peau d’un tueur entre solitude et aliénation, dans Nitram de Justin Kurzel, est admirable.
Franceinfo Culture
Douglas est un personnage des plus chargés et ses tenants et aboutissants ne font pas dans la nuance. Mais Luc Besson a trouvé un vrai sujet, et le développe avec dramaturgie, jusqu'au bout, ce qui n'est pas si courant. Faisant fi de tout réalisme, le réalisateur filme un conte.
Le Dauphiné Libéré
Etude d’un personnage et d’un caractère complexe, la mise en scène à la cinématographie impeccable, sans trop de fioritures narratives, crée une tension constante jusqu’à un final christique.
Le Journal du Dimanche
Un récit poignant, porté par la performance renversante d’intelligence et de subtilité de Caleb Landry Jones, littéralement possédé par son personnage.
Le Parisien
Dans le rôle-titre, Caleb Landry Jones, prix d’interprétation masculine à Cannes en 2021 pour son rôle de tueur de masse dans « Nitram », sidère tant il se montre tantôt émouvant, effrayant, dérangeant.
Ouest France
Si le film pèche par certains excès, il emporte le spectateur dans un monde où la violence côtoie la naïveté.
Paris Match
Luc Besson signe là l’un de ses meilleurs films, revenant sans trombone ni trompette à ce qu’il sait faire de mieux : du cinéma.
Télé 2 semaines
Quelques moments manquent de subtilité mais ne ternissent pas une fable aussi personnelle que puissante.
CinemaTeaser
Alors qu’il caractérise à gros traits les méchants de son film, menant DogMan à d’inévitables poncifs, il réussit néanmoins quelques beaux et vrais tours de force. De purs moments de cinéma, désarmants, qui, sur le papier, ne devraient pas fonctionner et qui, pourtant, finissent par emporter (...).
La Croix
Une fable excessive mais fascinante.
La Voix du Nord
Pas d’humour à deux balles, pas d’effets de manche clinquants, mais un film sombre qui aborde des séquences attendues ou potentiellement grotesques avec un premier degré qui leur donne un drôle de charme funèbre.
Le Point
L'avantage avec Dogman, c'est qu'il ne laisse pas indifférent. Il est à prendre ou à laisser. On aime ou on déteste dès les premières images, qui montrent un travesti ensanglanté, déguisé en Marilyn Monroe, regard hagard, perruque blonde de travers et rimmel qui coule.
Première
Avec cet acteur hors-norme, Besson a trouvé un interprète à la hauteur de ses visions régressives. Le comédien accroche un nouveau rôle de weirdo à son CV déjà bien perché. Rien de pervers ni de sulfureux ici : CLJ parvient juste par son intensité à transcender son rôle de freak gentil et à pousser tous les curseurs dans le rouge. Ce qu’on appelle une vraie perf.
Télé 7 Jours
Luc Besson compose un singulier patchwork, entre fable gothique, film de superhéros dépressif et récit à la Dickens, mais il parvient sans mal à nous embarquer dans son univers proche de la BD.
Télé Loisirs
Les quelques manques de subtilité dans des scènes pivots ne ternissent pas la réussite globale du film. Une fable aussi personnelle que puissante.
aVoir-aLire.com
Luc Besson retrouve l’inspiration avec ce thriller qui se laisse regarder sans déplaisir. Et son interprète Caleb Landry Jones s’impose définitivement dans la cour des grands.
Culturopoing.com
Mélodrame, polar de série B, conte adulte, « DogMan » est tout cela à la fois, maladroit et sincère, il évoque par à-coups la quasi intégralité des réalisations de son créateur, des plus célèbres aux plus conspuées. Il porte en ce sens tous les stigmates de l’univers bessonien, dont il pourrait constituer un best-of.
L'Obs
Le film a un joker : Caleb Landry Jones. L’acteur traverse avec une grâce miraculeuse ce nanar exalté qu’accompagne une opération de réhabilitation médiatique bien rodée de saint Luc.
Le Journal du Geek
S'il fallait une raison de vous jeter sur DogMan, Caleb Landry Jones en est une excellente. La seule. Sans lui, il ne resterait qu'une farce ridicule, une volonté de dénonciation gênée et gênante d'une société de la part d'un réalisateur qui remue la queue plus qu'il n'aboie.
Le Monde
Autant dire que le risque de la grandiloquence et du grotesque est ici assumé, alors même qu’il ressort de cette fantaisie paroxystique quelques moments d’incongruité expressionniste – Douglas surinterprétant par exemple en play-back La foule de Piaf juché stoïquement sur ses jambes en métal – qui la sauvent de sa constante propension à la surenchère.
Les Echos
Le réalisateur de « Nikita » revient avec un film brouillon et bruyant, que quelques belles idées de mise en scène ne parviennent pas à sauver.
Sud Ouest
On pense souvent à Nikita ou à Léon. Mais on retrouve aussi les éternelles faiblesses de son cinéma : mise en scène emphatique, musique tonitruante, interprétation, de Caleb Landry Jones en l’occurrence, qui s’abîme dans l’outrance, et, dans le récit ou les dialogues, une candeur qui confine à la naïveté.
Télérama
Un immense fatras que la performance sincère de Caleb Landry Jones ne parvient pas à sauver.
Cahiers du Cinéma
Accordons au moins cette originalité à Dogman : nul autre que Luc Besson aurait pu imaginer un film aussi monstrueusement boursouflé, mêlant si bizarrement extrême candeur et goût du sang.
Le Figaro
Le scénario est bêta, d'une désarmante puérilité, filmé comme un clip des années 1980.
Les Fiches du Cinéma
Le comeback de Luc Besson n’est pas synonyme de retour à un cinéma de qualité : "Dogman" s’apparente à un fourre-tout mystique où on s’ennuie ferme.
Les Inrockuptibles
Le dernier film de l’ancien roi du box-office atteint des gouffres de bêtise et de mauvais goût qui le rendent presque fascinant malgré lui.
Libération
Après des années de catastrophes industrielles, le cinéaste français tente un retour avec un thriller mièvre, empreint de morale larmoyante sur l’état de la société.
Mad Movies
"DogMan" a l'air convaincu d'incarner un idéal de film d'auteur humain, même quand il trahit sa nature de rebond sensationnaliste sous les couches de maquillage.